Vu sur le blog de M. Gollnisch, un papier datant du 16/01/2011, au sujet des financements des partis politiques pour l’année 2009. Voir ici : http://www.gollnisch.com/2011/01/06.... Et effectivement, comme il le fait remarquer, on pourrait se demander comment un parti qui a perdu plus de 50 % de ses adhérents en 10 ans (selon une enquête de Rue89 pour les législatives 2007), peut dépenser près de 30 millions d’euros en 2009 ?
Il y avait en 2009, 296 formations politiques ayant déposé des comptes au Cnccfp. Avec la création du PG et d’autres petits partis en 2010, combien d’officines de financements bénéficient des subventions de l’Etat en 2012 ?
D’après le journal "La Tribune" le PS, contrairement à l’UMP, compte plus sur la contribution de ses élus alors que l’UMP fait appel aux contributions privées. Quand "La Tribune" parle d’un financement d’élus socialistes, elle ne précise pas que le PS français fait partie du PSI, dont le président était, il y a peu, M. Panpadréou et dont Ben Ali faisait également parti, en autre.
D’après le site "Le Gaulois", repris par un blogueur, voir là : http://www.piedsnoirs-aujourdhui.co..., les financements de campagnes présidentielles se font bien en amont des dates officielles. En fait, dès la fin d’une campagne, les grands partis cherchent déjà à financer la campagne suivante et apparemment, dans cette course, tous les coups sont permis.
D’après "Médiapart", en 2007, Sarkozy aurait bénéficié des dons de la communauté juive de la City de Londres. En 2012, on pourrait penser que ce généreux donateur ait préféré Hollande, d’où son voyage express à Londres pour affirmer publiquement son allégeance. Quant-à Le Pen, elle a préféré New-York et son puissant CFR républicain. A t-elle passé l’oral avec succès ? On en sera rien.