La situation est explosive et compliquée. Il n’y a que le bon sens pour les arrêter. Un conflit armé déclencherait une réaction en chaine pour les états-unis et sa politique aussi bien intérieure qu’extérieure. Ces plans et préparatifs montrent qu’ils sont pris dans une spirale d’ingérence. C’est la continuation d’une politique de domination où les présidents américains n’ont été que des jouets dans les mains des intérêts sionistes obstinés et irresponsables. L’entrée en guerre des USA contre la Syrie va saigner les États-Unis. Coup double ou suite de l’effondrement économique voulu par les élites talmudiaques, la suite est dans la marche militaire, la fuite c’est la fin. Un succès en Syrie redonnerait confiance à l’Amérique anémiée et névrosée mais pas la santé. Un leader charismatique devra lancer un message fort pour que le reste des américains suivent ou ne suivent pas. Si Obama ne fait rien, il sera bientôt remplacé par celui à qui on demandera de continuer la suite du plan d’esclavage mondial. McCain est déjà sur le pont pour arranger les foules, mais il n’a pas le charisme voulu. Un message fort sera t’il lancé par Poutine pour arrêter le délire américain ?
L’Amérique se retrouve donc bloquée par ses alliances et choix passés, entre attaquer tout de suite ou demain. A moins qu’un sursaut de réalisme, peut-être du peuple lui-même ou à sa suite, ne fasse sortir le Congrès de sa torpeur, de son hallucination. Ce serait le status quo, mêlant des émotions et des attitudes contradictoires. Incapable de prendre des décisions claires dans un climat de suspicion et d’égoïsme matérialiste, ils feront finalement des concessions qui se retourneront contre eux. L’histoire est-elle écrite ?