Les femmes sont les premières victimes du féminisme à qui elles n’ont rien demandé.
Lors des grandes batailles du "féminisme militant" nombre de femmes anonymes faisaient très justement remarquer que la volonté des féministes d’ouvrir grand le monde du travail aux femmes, non seulement instaurait la triple journée, mais laissait les enfants en déshérence.
Nombre de femmes souhaiteraient pouvoir économiquement rester dans leur foyer et s’occuper de leur famille, le coût de la vie rend cette volonté impossible pour beaucoup, ce modèle étant réservé aux couches aisées. Le sexisme et la misogynie masculine du XIXéme bourgeois et ses excès (prolifération des maison closes) ont poussé nombre de femmes a refuser cet état de fait dégradant et à chercher une revalorisation dans le travail rémunéré.
Les responsabilités sont partagées, les solutions seront en commun.