Dans cette affaire, on ne sait si on doit pleurer la mort de Gilles Jacquier ou le sort des malheureux qui lui ont ôté la vie, odieusement poussés à la faute par Bachard el Assad et ses sbires.
Et soudain tout s’éclaire :
La crise économique ? De pauvres banquiers poussés à la faute par des peuples de vauriens et de fainéants cupides et avides, seulement désireux de se complaire dans leur misérable humanité de pauvres.
La situation en Palestine ? Une armée de valeureux, généreux et courageux soldats de Tsahal poussés à la faute par d’infâmes palestiniens incapables de reconnaissance pour ceux qui s’évertuent à leur aménager une cage tout juste grande comme un confetti de carnaval.
La crise de la morale et des valeurs ? De sympathiques personnages dévoués de tout leur être à la cause publique et à la bonne marche du monde, parfaitement polyglottes et d’une intelligence supérieure, sournoisement poussés à la faute par des soubrettes démoniaques, ivres de sexe et de luxure, dans des hôtels 4 étoiles.
Oui, vraiment, il y a quelque chose de pourri en ce bas monde et il est plus que temps de châtier tous ces infâmes (ils pullulent sur le site E&R) sans qui tout irait tellement mieux pour les victimes de nos basses turpitudes !