Dans sa chronique radiophonique du 18 février 2016 sur RTL, Eric Zemmour fait semblant de s’en prendre à Obama, taxé, au mieux, d’attentiste, au pire de lâche, dans le conflit syrien. Selon lui, le numéro un américain laisse Poutine faire le sale boulot. L’Amérique serait donc encore plus cynique qu’on ne le croit.
« C’est le grand paradoxe américain : la puissance qui est censée garantir l’ordre mondial est aussi un prédateur qui le détruit »