On doit être un des seuls pays du monde à avoir une élite qui crache sur son pays. On appellera ça de l’autoracisme. À ce niveau de détestation, on peut dire qu’on est champions du monde. Le peuple français, qui aime la France, sa France, n’y peut rien, car il n’a pas accès aux manettes de l’information et de la désinformation. Ceux qui parlent de « haine » à longueur de journée, et qui sont payés pour ça, devraient jeter un œil sur cette haine d’État, cette haine institutionnalisée, et relativiser leur jugement sur les patriotes qui eux, aiment la France. Il ne faut pas chercher ailleurs la détestation des jeunes, qu’ils soient blancs ou pas, pour leur propre patrie, ce qui explique en partie leur manque de confiance en eux.

Yseult, c’est cette grosse chanteuse noire – jusqu’à preuve du contraire, qualifier une personne de grosse alors qu’elle est grosse n’est pas de la grossophobie – qui s’est tirée à Bruxelles après avoir touché un prix de la chanson, pour mieux cracher sur la France depuis la Belgique, une France qui l’a faite reine. C’est l’attitude classique des fausses victimes de racisme exploitées par les agents de l’idéologie antiraciste, un antiracisme qui n’est, au fond, que le racisme antifrançais.

Yseult a donc été choisie par Macron pour être la marraine de la Francophonie 2024. Naturellement, critiquer ce choix ne peut être que raciste, et grossophobe en passant.

La pauvrette ne se rend même pas compte qu’elle est utilisée par le Président comme un boulet contre les patriotes français, ceux que l’idéologie dominante appelle les fascistes ou les racistes, au choix, ce qui est bien pratique. Macron se fout évidemment de sa musique...

Dans la même veine antifrançaise, on a Assa Traoré qui a été reçue comme une reine à la tribune de l’ONU pour, oh surprise, cracher sur la France et sa police. c’était le 15 novembre 2022 dans le cadre de la « Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discriminations raciales » (CERD), le moyen par lequel les instances internationales veulent interdir toute résistance à l’immigration massive.
Assa a évidemment refourgué le dossier de la mort de son frère, un truand notoire décédé lors d’une interpellation par les gendarmes. Elle a osé parler d’un « permis de tuer » des forces de l’ordre. On est bien dans le fantasme antiraciste.

La réaction des commissaires de police ne s’est pas fait attendre.

Il s’agit d’un vol manifeste du « prestige » de la victime : ceux qui auraient été légitimes pour parler de violences policières sont les Gilets jaunes – cette France périphérique totalement discriminée –, qui viennent de réactiver, sous l’égide de Maxime Nicolle, leur mouvement. Mais ils n’ont pas l’heur de plaire au Président, et ils ne sont pas manipulables.