Entrons dans le vif du sujet avec l’inauguration d’un nom de rue par l’équipe de la mairie de Paris (à droite) et les représentants de la communauté LGBT (à gauche), qui réclame des martyrs et des personnalités. Personne ne connaît Pierre Seel, il est moins connu que Balzac ou Bonaparte mais tout l’objet de l’opération est de le faire connaître par un nom de rue gravé dans le marbre de l’éternité. Inversement, des noms de rues de personnalités controversées – traduction : que la bien-pensance condamne en vertu de ses lois culturelles non écrites sous l’influence des lobbies dominants mais issus de minorités pseudo-souffrantes – sont éliminés par des maires qui pensent ainsi se faire bien voir des autorités morales sus-citées que personne n’a élues. Anne Hidalgo, le maire irréel d’une capitale sale et endettée, pense de la sorte se mettre dans la poche les 100 000 voix gays locales. Aux enfants qui seraient étonnés par cette image, la propagande raconte que les trans sont sympas, qu’ils souffrent et qu’il faut leur donner de l’argent, du pouvoir politique et un changement de sexe gratuit, et aussi des enfants achetés au tiers-monde qui lui en chie vraiment. Dans le monde du désastre, il y a une logique.
Après les rues homos, les places sionistes. Le même maire, Anne Hidalgo, prisonnière des lobbies – avec un gros syndrome de Stockholm en prime – inaugure ici, au milieu de ses tortionnaires et geôliers, une place à la gloire de la future capitale d’Israël et du monde (et aussi de l’univers, allons-y gayment), comme le prédit le vieux mage Attali. Au moins, avec ces docteurs Folamour, on sait à quoi s’en tenir.
C"est la chanteuse qui a été sélectionnée par discrimination positive pour animer la fête de la musique à l’Élysée le 21 juin 2019. On se souvient tous, le choc visuel a été sévère, de la fête 2018 avec les trans black en folie et le Président ravi. Pongo se prend pour une reine, la reine du kuduro, mais c’est une artiste, pourquoi pas. Peut-être que notre Président aurait voulu être noir, ou noire, comme le chantait Nino Ferrer. On n’a rien contre cette excellente chanteuse mais le président de la République française devrait peut-être penser à mettre des petits Français à l’honneur ce jour-là, car la préférence antinationale ne vaut pas mieux que la préférence nationale.
Les mots nous manquent pour décrire cette scène. Ce n’est pas une métaphore, il faut le prendre au sens littéral : on ne sait pas comment nommer ce couple qui attend un chien. Une analyse sémiologique de la photo présente plusieurs contradictions, ou injonctions contradictoires : les pistes reviennent sur elles-mêmes et se tamponnent. Par exemple, la chose de droite, qui est visiblement enceinte, a aussi une barbe. Vous nous direz, il y a des femmes à barbe et elles ont le droit d’enfanter un enfant à barbe.
D’accord, mais il y a plus grave : la casquette de gangsta rap (à l’envers comme signe d’insoumission antiflic) et les lunettes, ça ne peut pas aller ensemble ! Les rappeurs ne sont pas des intellectuels, ça se saurait ! Une autre chose nous intrigue : la boule à l’oreille gauche de la chose de droite. Est-ce une maladie ? Une oreille enceinte ? Enceinte de quoi ? Un nanochiot ou une nanochiotte ? Tout est possible. Et où sont les seins ? Les femmes enceintes de chiots, même à barbe, ont des gros nichons pour allaiter leur chiot. Or là, pas de seins. Mammectomie pour faire genre Angelina Jolie ? Cancer ? Si jeune ? Rien ne tient dans cette photo.
Si on regarde bien la date, on voit que Doudou prononce ces mots en 2013, donc bien avant de devenir le PM de Macron. Du coup il a soit menti, soit évolué. On dira qu’un homme politique ne ment pas, il évolue. À l’époque il n’était pas le majordome d’un petit prince LGBT. Relaxe.
Vous n’allez pas le croire : cette danse est effectuée par des membres du CSA. Ces fonctionnaires rigoureux, surpayés à l’abri des regards des contribuables, et pour cause, ont le droit de s’amuser. Mais est-ce qu’on fait ça, nous, chez E&R ? On aurait l’air de quoi ? Un peu de décence, messieurs-dames les censeurs de la télé qui tiquent sur un nichon mais qui laissent passer la propagande sioniste de masse. C’est toujours pareil, il y a le pouvoir visible et le pouvoir profond, la justice visible et la justice profonde.
Il y a les pubs réussies, comme celle de Wonderbra – regardez-moi dans les yeux, j’ai dit dans les yeux –, c’est-à-dire qui donne envie de peloter (dans le meilleur des cas) la salope sur l’affiche, et les pubs ratées. Celle-ci est ratée : le Système veut nous vendre l’invasion migratoire, mais il prend en photo le mec qui a probablement coupé des bras à Lagos, au Nigeria. Le sosie de Guy Georges pour vendre l’amour entre les peuples, c’est risqué. On ne va pas balancer l’agence qui a fait ça, un mélange possible entre Publicis et le CRIF – Publicrif ? – mais il faut soit virer le créatif, soit lui changer sa coke. Ou alors c’est un facho infiltré. Le complotisme est une intelligence supérieure.
Ça, c’est l’homme le plus puissant du monde. On vous laisse réfléchir à la phrase et aux mots qui la composent. Cet avorton dont même une guenon en chaleur ne voudrait pas est assis sur une capitalisation de 184 milliards de dollars le 7 août 2019 à 5h27 UTC. Il est à la tête d’une entreprise de surveillance-délation mondiale qui soutire des informations à 2,41 milliards d’êtres humains et vous savez quoi ? Tout le monde trouve ça normal. Un conseil : sur Facebook, dites n’importe quoi, écrivez des conneries, liez-vous d’amitié avec des nazes, des nazis et des juifs, draguez des folles, jaimez des fachos et des gauchos, en un mot brouillez les pistes. C’est à la fois un acte de sauvegarde personnelle et de sauvegarde collective. Jaimez ? Jaimez n’est pas le prénom d’un dealer mexicain mais la 2e personne du pluriel du verbe jaimer. On espère que l’Académie l’acceptera. Finky, si tu nous écoutes...
On va terminer cette galerie de l’étrange sur un feu d’artifice : Taha Bouhafs. Ce petit agent du mondialisme antiraciste franco-algérien antifrançais, cochez les contradictions, a commencé dans la lutte pour le peuple palestinien, ce qui est une noble cause. Depuis qu’il s’est fait remarquer en filmant – oh, par hasard – Benalla en train de taper des manifestants, Taha s’est fait embaucher par les gauchistes de Là-bas s’i j’y suis, le site de Daniel Mermet, un ex-pilier de France Inter, et surtout le site des jeunes sionistes StreetPress. Taha n’a pas menti sur ses convictions, il a évolué, comme d’autres avant lui : Manuel Valls, grand défenseur de la cause palestinienne, a trébuché un jour sur une carpe farcie dans un dîner du CRIF et il est devenu le premier défenseur de la cause israélienne. Cela ne lui a pas porté chance puisqu’il a perdu tous ses mandats, et il a dégringolé socialement et sexuellement (il a changé de meuf pour une pire). Cela devrait servir de leçon aux autres larbins du sionisme...
Taha, qui a été arrêté par la police et quelque peu molesté, est protégé par toute la nomenklatura de gauche antiflic. Même Amnesty International a volé à son secours. On ne savait pas qu’on détenait une telle vedette de la liberté en France, et aussi de la haine antifrançaise. Mais ça, tout le monde semble s’en foutre.
Sauf nous. On peut prédire sans risque de se planter à la Jacques Attali que la carrière de Taha sera de courte durée. Les poubelles de la petite histoire ne sont jamais loin. Tata Boufsa !
- No comment...
Le bonus (gratos) de la Rédaction