@ fin de race
On sait aujourd’hui que sans la science, le "nouvel ordre mondial" serait impossible... Mais une science détournée à son profit, car combien d’inventions sont passées sous silence, ignorées, n’obtiennent pas de brevet ou de financement malgré le génie de leurs inventeurs pour des choses qui faciliteraient la vie de tous durablement ?
Tout à fait d’accord ! En s’auto-proclamant portées par la sagesse, la science et le progrès ; les élites dévoient la sagesse, la science et le progrès dont elles sont les parasites et qui existait bien avant elles.
C’est regrettable. Les oligarques noircissent tout ce qu’ils touchent et l’on pense, parfois à raison, qu’en jetant le bébé avec l’eau du bain on se débarrassera du problème.
Aujourd’hui, le Système glorifie le progrès technique et la médecine moderne et les utilisent pour fliquer le peuple. Or, le progrès technique et la médecine moderne ont leur aspect bénéfique (qu’une femme puisse accoucher sans douleur, que l’on puisse restreindre la mortalité infantile et que l’on puisse se déplacer aux 4 coins de l’hexagone (!) pour aller voir sa famille, on peut critiquer cela, mais c’est plutôt positif).
Les élites arguent que si l’on se débarrasse d’elles, on se débarrassera aussi de tous ces conforts permis par la science. Or, lorsqu’elles nous auront trop appauvri pour que l’on puisse profiter de ces conforts, il est impensable qu’elles puissent se maintenir en l’état. C’est le confort qui empêche les gens de se révolter, or, les élites veulent le leur ôter parce qu’elles préfèrent les peuples corvéables "à l’ancienne" (dans leur esprit), oubliant de ce fait les pactes tacites empêchant le peuple de se révolter contre les élites, élites qui sapent ces pactes sciemment ou pas.
On doit vivre sans confort pour retrouver l’énergie de vivre, mais c’est pour que leurs descendants aient accès à ce confort que nos ancêtres se sont battus.
On pourra dire que cela illustre l’expression : Les périodes dures, engendrent des hommes forts qui engendrent des périodes douces, qui elles-mêmes engendrent des hommes faibles qui, eux, donnent des périodes dures.
Or, la période que nous vivons pose cette question, se battra-t-on encore pour donner un bel avenir à nos descendants si l’on sait qu’ils seront pourris à leur tour par ce qui nous avait été donné ? Ne pas pouvoir répondre à cette question ne donne comme bonne réponse que le nihilisme, le "No Future", la passivité face à l’oppression.