L’ethno-nationalisme attire les Européens les plus conscients. Car il n’existe aucun racisme chez les Blancs. Le racisme n’est qu’une projection de la mentalité pathologique des complexés venus d’ailleurs, parce qu’au fond d’eux ils savent la hiérarchie biologique et parce qu’ils ont écouté toujours les mêmes souffleurs malveillants.
Les races différenciées sont un fait scientifique incontestable. Dès lors, comment peut-on prétendre être différents extérieurement et les mêmes intérieurement ? Au cœur même de notre intimité notre génome est foncièrement différent... mais nous serions les mêmes ? Sophismes ! foutaises !
Pour que la plus grandiose et la plus belle civilisation au monde émerge, l’Europe, cette conquérante païenne devenue chrétienne, il a fallu un substrat : nous-même, notre cerveau, notre génome. Rien n’existe vraiment par hasard. Si le siège de Saint Pierre, le centre de la Chrétienté authentique, la seule, se trouve en Europe, c’est parce que Dieu lui-même a donné par l’histoire aux peuples européens une sensibilité que les autres n’ont pas.
Ce ne sont ni les latinos, ni les noirs ni les arabes ni ces autres arabes que sont les juifs qui ont atteint le sommet de l’humanité ; ce sont les Européens, les Blancs, la race des Seigneurs.
Même si tous les humains sont potentiellement dignes du sommet de l’humanité, ce serait folie que nier la tendance. Notre universalisme, fruit d’une longue évolution guidée par Dieu, est la signature même de notre supériorité. Cette universalité compatissante et bienveillante a été détournée par des conspirateurs et par des profiteurs de tous bords qui constituent de facto une faction de l’armée des Ténèbres.
Le communautarisme des nomades chez nous est le signe de leur opportunisme unilatéral, qui prend sans jamais rendre.
L’anticommunautarisme antinomadiste n’est pas un ethno-nationalisme mais un refus de l’opportunisme.
L’ethno-nationalisme, lui, est tout simplement la condition naturelle de toute nation ; actuellement, c’est l’homéostasie vitale, le retour à la normale, la reconquête de notre identité dont nous avons été séparé extrêmement violemment par des décennies de manipulations mentales ordurières et indécentes, par les manipulateurs que l’on connaît.
Voilà ce qu’est la race : la race est la règle, l’individu peut éventuellement être l’exception ; mais l’exception n’est jamais la règle. Nous ne sommes pas un ramassis d’individus contrairement aux dires de la doxa aux ordres.
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