Egalité et Réconciliation
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Une semaine sur Twitter S03E32

La récolte hebdomadaire d’Arthur Sapaudia

 

Une semaine sur Twitter, c’est la bouffée d’oxygène (ou de haine ?) que tu attends tous les dimanches. Alors installe toi avec ta petite famille et admirez ensemble notre belle démocratie, que le monde entier nous envie !

 

Saison 3, épisode 32 – « Ça marche toujours, la victimisation. »

 

 

P’tain, faut avoir le sens de l’humour, hein !

 

 

Mais rigole, putain !

 

 

Toujours pas ?

 

 

Bon, cette fois tu vas rire !

 

 

Après tout ça, une bonne dose de démocratie !

 

 

Vous souvenez-vous de la vidéo de la semaine passée qui démontrait le lien entre la féminisation des garçons et la prise de paracétamol lors de la gestation ?

 

 

Oups…

 

 

Minute pub !

 

 

Retour au réel !

 

 

In memoriam

 

 

L’IA est là !

 

 

Alain Soral aussi !

 

 

Bonus :

 

 

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25 Commentaires

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  • #3564787
    Le 28 septembre à 13:36 par Bali
    Une semaine sur Twitter S03E32

    A propos du témoignage de Zeb Boykin accuse le FBI de mentir sur l’assassinat de Charlie Kirk : j’ai découvert cette semaine le film "À cause d’un assassinat" sorti en 1974, signé Alan J. Pakula, qui traite exactement de ce qu’affirme Zeb Boykin. Il y a les vrais tueurs et les faux. On voit parfaitement les scènes de tirs bien restituées à l’écran. La balistique, juste une thèse ?

    "À cause d’un assassinat illustre à la perfection le climat paranoïaque régnant alors aux États-Unis, au lendemain des meurtres des frères Kennedy et de Martin Luther King, bientôt suivis par le scandale du Watergate. Alan J. Pakula a su donner forme à cette obsession de la conspiration, à laquelle il consacra deux autres films, Klute et Les Hommes du Président." (source : carlottafilms.com)

     

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  • #3564806
    Le 28 septembre à 15:01 par Saturnin Pompier
    Une semaine sur Twitter S03E32

    Le judaïsme, c’est chouette pour les amateurs, c’est la seule religion qui permet de sucer de bites de mineurs dans le cadre de la loi. Et en plus, les suceurs sont payés, n’est-ce pas ?

     

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    • #3564854
      Le 28 septembre à 18:04 par Yacine
      Une semaine sur Twitter S03E32

      Il existe un tas de professions où les suceurs sont payés : dans les médias, la politique, le tertiaire, ...

       
  • #3564809
    Le 28 septembre à 15:24 par Saturnin Pompier
    Une semaine sur Twitter S03E32

    "Le tatouage est plus grotesque encore et plus douloureux. Sur la peau de l’imbécile qui le paye, un soi-disant artiste dessine des linéaments grossiers, le plus souvent obscènes. Il y fait déflagrer un peu de poudre, et la cicatrice de cette très cuisante brûlure est colorée en bleu, ou en rouge, ou en vert, ou en jaune, selon la composition chimique de la poudre qui a brûlé. On a dressé une sorte de catalogue de ces tatouages divers. C’est un monument stupéfiant de la vilenie humaine. Certes, dans les classes qui se disent supérieures (*), le tatouage n’est pas chose commune ; mais, pour déshonorer l’humanité entière, c’est assez que des milliers et des milliers d’individus portent imprimés sur leur peau en caractères indélébiles les stigmates de leur ineptie."

    Charles Richet, "L´homme stupide", 1919

    En Europe, pour trouver ce phénomène massif des tatouages il faudrait sans doute remonter très loin dans le passé, et dans des peuplades primitives, durant la Préhistoire. Enfin, il faudrait vérifier. En tous les cas, c’est une manifestation claire de régression civilisationnelle. On assiste à un basculement anthropologique évident. L’Europe fait marche arrière. Il n´y a qu´à descendre dans la rue pour s’en apercevoir.

    (*) C´était encore l’époque où les tatoués (en Occident) étaient soit des marins (qui avaient rapporté ça des îles du Pacifique), des légionnaires, des bagnards, des gens de la pègre, des gitans et autres groupes déclassés et marginaux, comme nous le rappelle Soral. Les gens honnêtes ne se tatouaient pas.

     

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    • #3564845
      Le 28 septembre à 17:34 par à chier
      Une semaine sur Twitter S03E32

      Le tatouage est le symptôme d’un problème d’identité et l’expression d’une frustration à être. Je trouve.

      Cette mode est typique de notre société matérialiste où à défaut de se trouver, l’individu se tourne vers l’extérieur et les signes de reconnaissance qui lui sont suggérés - c’est le principe de la mode, celle-ci étant synonyme d’appartenance au groupe...

      Mais en plus avec un athéisme forcené où toute idée d’élévation est fasciste, et un règne du tout marchand, on obtient : des déglingués. Tatoués, percés, colorés, etc.

      Du coup j’ai l’impression d’être intelligent quand je surfe sur Tiktok par curiosité. C’est dingue. Ça donne un tableau de l’intelligence humaine en 2025... après le Christ. Alors je me dis qu’on mérite vraiment un reboot. Beaucoup sont partis très loin.

       
    • #3564949
      Le 29 septembre à 08:47 par toto l’asticot
      Une semaine sur Twitter S03E32

      Dans les années 1980 les gens tatoués étaient les putes, les paumés et les marins.
      Aujourd’hui.
      C’est pareil
      .
      Mais au delà de la mode etc. le soucis du tatouage c’est que ça dispense tout un chacun de reconnaissance par les empreintes digitales.
      .
      Par exemple, un homme 1m75, yx bleus, cheveux châtain la trentaine il y en a des quantités.
      en revanche
      un homme 1m75, yx bleus, cheveux châtain la trentaine, avec tatoué sur le pectoral, une pièce de monnaie .... il y en a infiniment moins et si de surcroit il a un tatouage à la con sur l’avant bras, on réduit encore la probabilité .
      Ainsi à un changement de régime politique, les gens tatoués seront tellement reconnaissables qu’ils en seront réduits à accepter.

       
    • #3564985
      Le 29 septembre à 12:24 par Vib
      Une semaine sur Twitter S03E32

      Tatoué, pucé, testé, vacciné, stérilisé… Bon pour l’adoption !

       
    • #3564995
      Le 29 septembre à 13:09 par Gargan
      Une semaine sur Twitter S03E32

      @Toto
      Le non tatoué sera aussi facilement reconnaissable à l"inverse, car en très faible nombre...

       
  • #3564830
    Le 28 septembre à 16:25 par Picaros
    Une semaine sur Twitter S03E32

    Je n’ai pas tout compris avec la manip facetime.

     

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  • #3564874
    Le 28 septembre à 19:56 par cftc
    Une semaine sur Twitter S03E32

    Tout cela est surréaliste...y compris la position de meloni qui a le feu au cul à domicile. Alain a raison de qualifier ce discours de baratin car meloni le déclame seulement parce que la pression du peuple italien - de tradition Catholique - ne lui laisse plus le choix. Idem pour l’Espagne - également de tradition Catholique - dont le premier ministre sánchez gesticule...alors qu’il suffirait de fermer le détroit de Gibraltar aux bateaux qui transportent des armes à la communauté génocidaire.

     

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    • #3564901
      Le 29 septembre à 01:54 par koussikoussa
      Une semaine sur Twitter S03E32

      Les Arabes basculent vers la Chine. Pas demain. Maintenant. La peur, le sang et l’humiliation les y poussent. Plus Israël frappe, plus Pékin récolte.

      Et au centre de ce désastre, il y a Netanyahou. L’Hitler de notre temps. Non pas le copieur, mais le jumeau maudit. Même arrogance, même obsession, même certitude de forger l’Histoire par la violence. Il se croit l’ultime rempart, il n’est que l’artisan de la chute.

      Chaque bombe larguée, chaque gosse enterré, chaque ville écrasée ne fabrique pas la sécurité, mais une coalition. Le Moyen-Orient s’ouvre aux dragons, et Bibi en est le parrain involontaire ( le sauveur des non-juifs ).

      Hitler a fait trembler l’Europe. Bibi fera trembler Israël et les USA. C’est sa signature, son héritage, sa damnation. L’Histoire ne pardonne jamais, elle mord des petites fesses. Et cette morsure, déjà, s’abat sur lui.

       
    • #3564903
      Le 29 septembre à 03:10 par anonyme
      Une semaine sur Twitter S03E32

      Le détroit de Gibraltar appartient aux anglais ! Quant à la charmante Meloni elle gère très bien son pays et a su tirer le meilleur parti de l’UE ! Je préfère le "baratin " de Meloni que les rodomontades et la complicité génocidaire du locataire de la maison blanche !

       
  • #3564882
    Le 28 septembre à 21:46 par Saturnin Pompier
    Une semaine sur Twitter S03E32

    Les tatouages et les tatoués

    Première partie

    Pendant des siècles, la peau a été considérée comme un reflet de pureté, de dignité et de respect de soi. Aujourd’hui, cependant, le tatouage corporel est devenu un symbole de fausse rébellion et une mode, et révèle en réalité un phénomène bien profond : la dégradation sociale et culturelle de notre époque.

    Ceux qui défendent le tatouage ​parlent de ​"libre expression​" ​d´ "individualité​", de ​"personnalité​".​.. Mais quelle individualité peut-il y avoir dans une pratique si répandue qu’elle est devenue uniforme ? À chaque coin de rue, sur chaque plateforme des réseaux sociaux, bras, cous et visages ​(même le bas du dos) sont marqués des mêmes symboles : barbouillages polynésiens, celtiques ou autres, des flammes qui sortent du col la chemise et remontent sur le cou, têtes de mort, phrases à la con en anglais low cost. Le paradoxe est évident : ce que l’on vend comme de l’authenticité n’est rien d’autre qu’une obéissanc​e à une tendance superficielle. Être tatoué aujourd’hui, ce n’est pas être libre : c’est être esclave de la mode.​

    Avant, être tatoué c’était être un dur (​"C´est un dur​, c’est un tatoué​", disait-on dans le temps)​. ​Aujourd’hui c’est le code à barres des abrutis.

    Un tatouage n’est ni un vêtement, ni un accessoire que l’on peut enlever. C’est une empreinte irréversible qui perdure pour toujours. Croit-on vraiment que les choix impulsifs de​ ces demeurés se verront aussi bien à 60 ans, lorsque la peau se relâchera et que le teint sera estompé ? Imaginez un papillon sur la fesse d’une mémère. Ce n’est pas seulement le corps qui se détériore, c’est le souvenir même d’une époque d​´imbécilité qui est marquée à jamais.

    L’essor du tatouage est indissociable de son contexte social. Là où régnait autrefois un idéal de sobriété, d’élégance et de respect du corps, prédomine aujourd’hui une culture de l’éphémère, de la provocation facile et d’un exhibitionnisme constant. C’est la même logique qui transforme la musique en bruit, la politique en spectacle et l’éducation en formalité vide de sens : tout doit être immédiat, accrocheur et superficiel. Les tatouages ne sont qu’une autre facette de cette culture du "prêt-à-jeter".

     

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  • #3564883
    Le 28 septembre à 21:48 par Saturnin Pompier
    Une semaine sur Twitter S03E32

    Les tatouages et les tatoués

    Deuxième partie (et fin)

    En fin de compte, la tendance du tatouage n’est pas un phénomène isolé. Il reflète une société qui a perdu le sens de la permanence, le respect des traditions et l’importance de ce qui compte vraiment. Nous marquons notre peau parce que nous ne savons plus comment marquer notre vie de véritables accomplissements. Nous remplissons notre corps de dessins parce que nous avons vidé l’esprit de son sens.

    Les tatouages ne sont ni un art, ni une liberté, ni une identité. Ils sont la cicatrice volontaire d’une société en déclin, trop distraite par ses caprices pour reconnaître la perte des valeurs cachées sous l’encre.

    L’essor des tatouages n’est pas un hasard. Il s’inscrit dans cette même culture qui glorifie le vulgaire, qui transforme le banal en spectacle et l’éphémère en norme. La peau transformée en toile bon marché n’est qu’un symbole supplémentaire du déclin du sérieux, de l’élégance et du respect.

    Des peuples forts se sont distingués par leurs accomplissements, leurs œuvres, leur grandeur. Aujourd’hui, nous nous distinguons par des marques ​ineptes sur notre peau. Quel avenir pour une société qui, au lieu de laisser sa marque dans l’histoire, se limite à se ​gribouiller l’épiderme​ ?

     

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  • #3565011
    Le 29 septembre à 13:56 par RÉSISTANCE
    Une semaine sur Twitter S03E32

    Matrix et la femme en rouge.... bien vu Patron !

     

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  • #3565026
    Le 29 septembre à 15:47 par RÉSISTANCE
    Une semaine sur Twitter S03E32

    MESSAGE POUR AS : s’il y a une part de vérité dans les différents films MATRIX alors je pense que les vaccinés ( les mauvais) seront capables de décupler une force phénoménale et de voler comme des démons ( en exorcisme on sait ça ). AS regarde l’extrait du dernier volet de MATRIX où NEO demande la paix à la machine suprême ( tête de l’I. A. = antechrist) on y voit apparaître un visage sur cet ordinateur suprême et moi ce visage me fait penser à celui dé TRUMP. FORCE ET HONNEUR

     

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  • #3565057
    Le 29 septembre à 18:50 par Surnom
    Une semaine sur Twitter S03E32

    Merci ER pour ce florilège, qu’est ce que être juif....le patron lui a répondu d’une manière qu’elle n’oubliera jamais.
    J’ai suivi à l’époque certaines de ses vidéos, ce n’était qu’arrogance et je t’en rajoute.

     

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