Il faut savoir qu’il y a en suisse (à Lauzanne je crois) une institution de concilliation internationale qui gère les conflits entre banques avec une cour de justice quand la conciliation n’aboutit pas. cette cour ne siège pratiquement jamais car les conflits se règlent généralement à l’amiable, les règles de "morale" interbancaire étant généralement respectées par toutes les banques de peur d’être exclues du système.
Les banques racailles sont donc une exception (la State bank of India par exemple est connue comme le loup blanc par toutes les banques d’affaire sérieuses pour être absolument non crédible à cause d’une corruption généralisée de ses fonctionnaires ).Or une banque qui ne se plie pas aux décisions de justice interbancaire risque de se voir exclure des chambres de compensation internationales et donc du marché financier international
Tout çà pour dire que cette histoire d’arnaque pue car quand une banque demande à une autre banque d’annuler un transfert pour irrégularité, celle-ci le fait toujours : c’est le b,a ba de l’éthique bancaire (je rappelle qu’il n’y a aucun mouvement physique d’argent lors d’un transfert, ce n’est qu’une opération comptable, du virtuel). or à moins que la somme ait été retirée en liquide et sortie du territoire d’Israel, la somme aurait du être retrouvée dans les livres de compte et restituée tant qu’elle reste dans le réseau bancaire international peu importe qu’elle soit passée par 50 comptes différents.
En fait le département du nord ne fait rien pour récuperer son argent alors qu’il le pourrait facilement en frappant à la bonnes porte :
On ne refuse pas aux banquiers ce qu’on refuse aux états quand ils enquêtent sur des circuits financiers opaques, ce qui prouve une fois de plus que le vrai pouvoir est financier et non politique
Répondre à ce message