Voici ce que dit Lucien Cerise dans l’interview de lui récemment publiée sur le site de strategika.fr et intitulée "Pass sanitaire, biopolitique et apartheid social" :
"Que produit la substance active des quatre vaccins autorisés et injectés en France ? Il y a deux vaccins à OGM, AstraZeneca et Janssen, et deux vaccins à ARN messager, Pfizer et Moderna. (9) On connaît la toxicité des Organismes Génétiquement Modifiés dans l’alimentation : j’ai des doutes quant au fait que cela deviendrait salvateur quand c’est injecté dans le bras. Quant aux vaccins à ARN messager, ils passent l’ordre à nos cellules de produire une molécule infectieuse du virus, la protéine de pointe, ou protéine Spike en franglais : « Les scientifiques synthétisent la séquence ARNm de production de la protéine Spike au sein d’une vésicule lipidique (sous forme de lipide, donc de sérum) appelée liposome. Une fois l’injection de cette vésicule faite dans le haut du bras, le processus de transcription et de traduction suit son cours : les ribosomes vont lire l’ARN messager, puis les cellules vont produire la protéine Spike. Le système immunitaire découvre une protéine qui n’est pas censée être là, ce qui entraîne une réponse et apprend au corps à détruire le pathogène. Contrairement à un vaccin traditionnel, l’entraînement est entièrement auto-généré par le corps, qui produit lui-même les protéines. » (10) Or, le corps humain ne produit pas naturellement cette protéine. On est donc véritablement « augmenté », au sens transhumaniste, car on acquiert une nouvelle capacité – qui plus est, une capacité pathogène du sars-cov-2, ce qui lance une véritable guerre civile dans le corps, qui doit se battre contre lui-même puisqu’il se met à produire lui-même synthétiquement ce que l’on reproche au virus. Nous devenons notre propre bourreau, notre propre agent contaminateur. C’est une violence inédite infligée aux cellules et au corps, et c’est ainsi que débutent les cancers, par un stress cellulaire intense. Il faut ensuite de 3 à 5 ans en moyenne entre les premières divisions cellulaires sous l’effet du stress – purement physique ou psychosomatique – et les premiers symptômes. Le groupe test des vaccinés va donc connaître une vague de cancers d’ici 5 ans, mais pas le groupe témoin, et c’est pour ça que le pouvoir veut injecter absolument tout le monde (sauf lui-même), pour qu’il n’y ait pas de groupe témoin survivant, qui permettrait d’accuser les vaccins."
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