Comme dit l’invité : s’il n’y a plus d’industrie lourde et polluante boche = il n’y a plus d’Europe, plus d’euro. Ce serait souhaitable. Et pourtant, je pense que l’UE peut survivre à cela. Ce qui rend l’euro insupportable pour les pays d’Europe du sud, c’est son taux bien trop élevé. Quand tout le monde sera pauvre de la même façon, l’Europe sera plus viable. Pour l’instant, on a un continent qui fonctionne à deux vitesse : l’industrie lourde boche et sa main-d’œuvre turco-roumaine bon marché (d’où la volonté de Merkel d’avoir voulu faire venir de l’immigré...donc, les partisans de la race blanche unis derrière l’Almanya : on se réveille !) qui se fait au détriment des pays du sud de l’Europe désindustrialisés par la concurrence de l’Almanya, la volonté des USA d’avoir des "alliés" faibles et les règles de l’UE (donc de l’Almanya, comme dit l’invité) de privilégier l’ultralibéral sur le national.
On se trouve donc en face de deux cas de figure :
Soit la zone euro fait une chute relative et repart avec plus de cohérence, une industrie mieux répartie sur le continent et pas tout pour un, rien pour les autres.
Soit il y a effondrement total, de style Russie des années 90, et là, on se trouve en face d’un autre cas de figure : l’UE se désagrège et les nations redeviennent libre et sortent de cette prison des peuples que fut l’UE, un peu comme l’empire des habsbourg fut une prison pour les peuples des Balkans épris de liberté (d’où l’acte héroïque, par exemple, d’un frère Serbe comme Gavrilo Princip). Un effondrement signifierait une période de chaos plus ou moins dure. C’est le côté négatif de la fin d’une UE qui n’aura pas voulu négocier la fin de son existence, dont les élites se seront accrochées à leur pré-carré de profiteurs, comme les fanatiques pan-germanistes se sont accrochés au sol Russe de Stalingrad ou comme les nazis ukrainiens, descendants des pan-germanistes de 40, se sont accroché vainement au sol Russe de Marioupol. Un fin dans la douleur et le chaos qui fera mal.
Le côté positif, c’est que quel que soit celui qui profitera le plus de la fin de l’UE, même les USA, le message final sera clair et net : voilà comment périt un système ultralibéral, dont les nations sont inféodées à l’empire, sa Banque et ses auxiliaires / sous-fifres / alliés (israhell, Berlin, Zelensky, etc.) et qui rejette la souveraineté nationale.
Ce serait donc une défaite idéologique majeure pour nos élites.
Mieux vaut donc qu’elles se maintiennent au pouvoir.
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