Partie 1/2 :
Cet échange,malgré quelques nuances pro américaines évidentes des participants à l’émission,les idées débattues ne manquent pas d’intérêt.
Plusieurs grilles de lecture du thème,bien que portant sur la guerre déclarée à Huaweï par Trump,nous invitent à évoquer quelques graves illusions des systèmes politiques,tant à l’intérieur des USA et de la Chine eux-mêmes,quà l’intérieur du système oligarque de l’UE. Notons,à ce sujet,quelques éléments importants :
l’humanité croyait que cette obsession de la guerre de l’empire états-unien est enterrée avec la guerre froide. Mais non. La guerre,toujours la guerre et rien que la guerre,telle est la raison d’existence de cette empire foncièrement sanguinaire.
en quoi cette guerre,voulue par Trump,est bénéfique aux classes populaires qui les ont porté au pouvoir ? Trump n’en dit pas mot. Non,parce que le chef de l’exécutif
a omis cette immense question,mais il sait qui se cache derrière ces tensions permanentes qui actionnent les leviers de l’Etat de son propre pays...
de même,la Chine qui compte porter ses efforts sur le commerce,est mise sous pression militaire ,notamment en mer de Chine méridionale. Les bénéfices du commerce pour les citoyens chinois ne seraient pas donc de cette abondance à laquelle leur régime politique a fait miroiter au temps de Deng Xiaoping,et persiste à le faire...
nous arrivons,ensuite,à l’UE. Les participants ont souligné deux faits des plus démoralisants : le discours des oligarques des pays européens,et qui vendent du vent aux citoyens de leurs pays respectifs,en leur faisant croire que l’UE c’est la"prospérité". Deuxièmement,un des invités de l’émission,a clairement dit que l’Europe peut recevoir la gifle des USA,par l’instauration des barrières douanières sur les voitures,l’agriculture et d’autres secteurs stratégiques. Alors,ceux des citoyens qui comptent encore sur les les bulletins de vote ont tout intérêt à regarder la dure réalité en face,et revenir à une politique nationale,pure et dure,avec des portées moins flamboyantes,mais au moins c’est du sûr.Ne dit-on pas : un tiens vaut mieux que deux tu l’auras.
( suite sur la Partie 2/2 )
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