Il n’y aura pas de guerre.
Et quand bien même l’OTAN déciderait d’agresser ouvertement la Syrie. Ces navires russes et chinois ne bougeraient pas.
Ils se contenteraient de faire transiter des batteries anti-aerienne, de la nourriture, de l’eau, et certainement des munitions ou de l’équipement léger, via l’Iran (qui a déjà dit vouloir soutenir la Syrie en cas de guerre, ils n’ont pas le choix).
Si guerre il ya, la Syrie sera seule.
Elle et des volontaires iraniens, voire irakiens et libanais (et si la nation arabe est encore un rêve partagé avec les maghrébins, il y aura sûrement l’Algérie qui officieusement laissera partir des membres du polisario en Iran (comme lorsque la Libye fût illégalement mise à sac par l’ONU, la ligue arabe et évidemment l’OTAN. J’y crois moyen, l’Algérie avait interdit à ses ressortissant d’aller en Irak en 2003, ils avaient peur que comme lors de l’invasion de l’afghanistan, des jeunes militarisés et endoctriné par une quelconque idéologie ennemie ne refoute le bordel chez eux).
En réalité la Russie ne défend que sa base.
Si le régime tombe, les terroristes ne pourront pas les déloger sans combattre, ils auront d’autres chats à fouetter.
La diplomatie russe va dans notre sens, mais il ne faut pas oublier que Poutine est le président de la fédération russe, pas du tiers-monde. Ils défendent leurs intérêts, par chance, on les partage.