Comme dit dans un précédent post, c’est bien l’AZT qui a tué le plus de monde... après les premiers essais de vaccins contre l’hépatite B dans les années 80 !
Classique : on nous refait le même coup avec ce que Soral appelle, à juste titre, le couillonavirus ! Il faut se rendre compte que les positifs au Covid 19 (= et encore, ces tests ne sont capables de reconnaître que des fragments de protéines et autres résidus qu’on impute à ce couillonavirus) ne détectent pas le virus (= pour cela, il faudrait prendre 5 à 10 mL de sang et le foutre dans un Western Blot (= très coûteux et long) afin de purifier et de chercher le virus en lui-même (= cf. explications d’Etienne de Harven, le plus grand virologue, qui m’a convaincu de la non existence du VIH par son exposé clair il y a quelques années à Paris) ! Les gens parlent beaucoup de choses dont ils ne maîtrisent pas les bases.
Il faut rappeler que les gens testés positifs au Covid19 et qui vont à l’hosto sont généralement très vite grabataires ; posez-vous la question de savoir si ce n’est pas en fait la médication et l’hospitalisation qui sont synonymes de mort (renseignez-vous sur le protocole que vont littéralement SUBIR ces patients ? Si vous votre terrain immunologique est faiblard, alors que votre famille commande un cercueil illico presto !).
Pour rappel ultime : des tas de virus, microbes, champignons nous visitent chaque jour ; ils constituent même notre ADN, dont la physique quantique nous apprend que c’est un produit issu de vibrations... Après, nos cellules sont soit permissives (= elles laissent le virus entrer) ou bien elles ne le sont pas. Et figurez-vous qu’aun "grand" autoproclamé expert ne sait expliquer pourquoi une cellule est permissive ou non !
Et après, ça va prétendre nous guérir du couillonavirus. Il faudrait surtout découvrir le vaccins contre le connerie (avec effets secondaires mortels souhaités !!!).