Témoignage 2,( Alep , octobre 2017)
....."La montée d’escalier est propre et l’appartement dans lequel nous pénétrons est bien tenu et confortable.
Nous sommes reçu par Monsieur DAQNEESH le père d’OMRAN . Celui-ci nous raconte ce qui s’est passé le 18 août 2016. Il nous décrit , nous dit-il une scène hallucinante, dont le scénario serait joué par ces fameux Casques Blancs. Ce jour là, ALEP est tranquille, les bombardements ont cessés. Ce monsieur et sa famille habitent une petite maison dans ce quartier d’ALEP. Soudain sa maison explose alors qu’il était dans la cuisine. Par bonheur , la famille qu’il s’efforce de dégager des décombres est saine et sauve. Son fils, le petit OMRAN, est quelque peu coincé dans les décombres. D’apparence, ses blessures ne sont que superficielles. C’est alors que surgissent les Casques Blancs et leur ambulance , on ne sait d’où ??? Le petit OMRAN est alors saisi , grimé rapidement avec de la poussière et emmené jusqu’à l’ambulance . La scène étant filmée par une caméra complaisante. La vidéo sera diffusée sur le web à charge de Bachar EL ASSAD qui, nous le savons tous, bombarde et gaze son peuple.
Suite à cette scène, le père d’OMRAN semble avoir été contacté par les Casques Blancs qui lui auraient proposé avec insistance une indemnité pour la destruction de sa maison. Il lui a même été proposé de l’expatrier, lui et sa famille en TURQUIE, dans une maison qui lui serait donnée. C’est SAÏD, un journaliste syrien retraité, rencontré plus tard qui me précisera que les Casques Blancs étaient une pseudo ONG, crée par le MI6 britannique, spécialisée dans la communication et le bidonnage des infos, et dont les membres se recrutaient dans la branche syrienne d’Al NOSTRA.
La photo d’OMRAN a été diffusé sur le web et a fait l’objet de commentaire de la part du président OBAMA.. L’enfant sera ultérieurement restitué à sa famille.
Après nous avoir conté ce récit, le papa fit entrer OMRAN dans la pièce. Le gamin a une année de plus et sa mise est proprette. Un examen attentif des photos , malgré le grimage avec la poussière nous confirme bien qu’il s’agit bien du même enfant... "
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