DC Comics, propriétaire de la marque de BD Superman, a décidé de se soumettre au woke, c’est-à-dire à l’idéologie bien-pensante de l’hydre mondialiste, dont nous rappelons les 7 têtes, pour ceux qui auraient oublié comment il faut penser : féminisme, immigrationnisme, homosexualisme, anticatholicisme, sionisme, mercantilisme et jeunisme. On pourrait y ajouter pornocratisme, maçonnisme, ou LGBTisme, mais tout est compris dans le lot, ce sont des variantes.
DC Comics a sorti, pour bien montrer sa soumission au dogme, un Superman bisexuel et pro-migrants. CNews écrit :
Ainsi, dans le comics, Jonathan Kent est un avocat qui défend les migrants illégaux et un activiste pour le climat. Il est également mis en scène ayant une relation avec un homme. Un héros de comics masculin ouvertement bisexuel, comme pour Harley Quinn du côté féminin, a revendiqué l’auteur de la bande dessinée, Tom Taylor, à IGN.
Just like his father before him, Jon Kent has fallen for a reporter Learn more about the story to come in SUPERMAN : SON OF KAL-EL #5 : https://t.co/bUQAsos68o #DCPride pic.twitter.com/wfQPc3CEVD
— Superman (@DCSuperman) October 11, 2021
Imaginez le petit garçon, qui rêve légitimement d’être un héros, un jour (avant de bosser pour la Banque à 30 ans), histoire d’impressionner les petites filles (qui finiront par bosser dans la com’, à 30 ans), qui se tire sur la nouille en regardant le nouveau héros qui n’est plus vraiment un garçon, puisqu’il embrasse un garçon.
Perturbant, non ? C’est un garçonne, ou un truc dans le genre, mais il faut trouver un autre nom, car ce n’est plus la même chose, un peu comme Brigitte. Pourquoi pas un garçon et un garçonne ? Franchement ça sonne bien.
Voici la justification du dessinateur Tom Taylor :
« La question est, qu’est-ce qu’un nouveau Superman devrait combattre de nos jours ? Un Superman de 17 ans peut-il affronter des robots géants tout en ignorant les changements climatiques ? Bien sûr que non. Quelqu’un avec une super vue et une super ouïe va-t-il ignorer les injustices au-delà de ses frontières ? Peut-il ignorer les suppliques des demandeurs d’asile ? »
Résultat ? CNews nous apprend que les ventes des trois premiers numéros sont un désastre. Le woke, ça ne marche pas, c’est condamné par l’évolution. Mais l’hyperclasse mondialisée – l’hypercasse, oui ! – en a besoin pour asseoir son pouvoir malsain, maléfique, malodorant. Elle est prête à casser le monde pour conserver ou augmenter son pouvoir. Chez nous, la Macronie a détruit une partie de l’activité économique pour imposer son idéologie woke, cette haine de la majorité silencieuse.
Le problème, ce sont les responsables économiques et les entreprises qui ont soutenu activement ou par indifférence cette politique de tri sélectif dans la population. Aujourd’hui, par exemple, les restaurateurs qui ont demandé le pass – sanitaire ou vaccinal – sont dans la merde. Les salles de sport sont dans la merde, les cinémas sont dans la merde. En même temps, ils y étaient déjà, parce que le woke en matière de scénario avait déjà contribué à refuser beaucoup de monde à l’entrée, et aux entrées !
Clément Viktorovitch essaye de sauver le woke
On l’aura compris, le woke, qui se fait passer pour une idéologie progressiste qui défend les faibles et les victimes, est en réalité une tyrannie contre la majorité, une majorité qui commence lentement à comprendre l’arnaque. Le woke est une censure de la liberté d’expression, une aberration dans l’évolution, un suicide sociétal. C’est l’instrument de mort, l’arme des mondialistes contre ceux qui leur résistent.
Le problème, pour les wokistes, c’est que personne ou presque (à part eux et leurs victimes) ne veut de leur anti-humanisme délirant. Ils sont obligés de manipuler les enfants, de les farcir de saloperies, de les piquer de force, de les masquer, de les émasculer. Ça sent le retour de bâton.
Élisabeth Lévy préfère Superman à Superfiotte
Au cinéma, le woke fait déjà très mal. On ne reviendra pas sur les sélections wokistes au Festival de Cannes et aux tris sélectifs du CNC. Mourir peut attendre, le dernier James Bond qui a cartonné avec Daniel Craig, fait de la place woke à Lashana Lynch, noire mais pas belle, ce qui pour nous est une forme de racisme. Alors que le monde est truffé de superbes Noires !
« Les femmes, pour commencer, sont des super-héroïnes juste parce qu’elles sont nées » (Lashana Lynch)
- Lashana brise les chaînes du racisme et crie sa liberté au monde entier
Mais il reste un espoir...
Après le succès écrasant du dernier James Bond blanc et masculin, le woke va devoir se creuser la tête pour remplacer Craig par Lynch et pour vendre le prochain Superman trans (Transforman ?) qui vole au secours des migrants pleins de sève pris dans une montée des eaux...