Fils à Papa, le cul dans le beurre depuis toujours à l’école comme ailleurs. J’ai fait un peu l’usine, un peu la tèss, un peu les marchés, j’ai voyagé étant plus jeune à travers l’Europe, maintenant beaucoup de rue, beaucoup à la campagne. Je suis Gilet Jaune, entre les mondes je suis un filtre et un caméléon zébré ou cyclotomique et je vois, depuis l’âge de raison, que la situation est grave. Ouvrier agricole, moniteur d’équitation, homme de ménage et éducateur de rue amateur, j’ai donné la main et l’oreille à plus d’un, d’une, comme on me l’a tendue lorsque c’était nécéssaire. Aujourd’hui je me sens suffisamment fort pour ne plus rechuter et grâce à l’art, au sport, à la prodigalité de la nature, aux Gilets Jaunes et ER mon espoir d’un monde moins brutal a énormément crût. J’ai grandi et de là j’insiste pour que les miens s’engagent à leur tour mais ils stagnent pour la majorité et ne comprennent pas les enjeux du fait de s’unir, s’étant enfermés dans leur milieu social, routine où c’est chacun sa merde.
J’ai volontairement appris à vivre sans argent par période pour comprendre ce qu’est d’être vraiment dans la mouise en le vivant.
Je ne me sens pas moins légitime que ceux qui galère grave, et je veux que ça cesse ! J’ai toujours voulu partagé ma chance et insisté contre toute sorte de pessimisme, avec réalisme et pragmatisme, gueuler aux personnes de croire en elles et la cause et de se battre.
Rangez votre haine et transmutez là, même lorsqu’il s’agit de nos ennemis, soyez plus malins, et cesser de les, de vous, nourrir ainsi. Cela paraît presque impossible, pourtant certains y parviennent.
C’est difficile, mais le Christ vous l’a pourtant maintes fois expliqué ce n’est pas pour rien.
Voilà mes nœuds défaits, bonne journée.