Excellent documentaire et quelle analyse de Michel Ciment !!! il connait bien le dessous des cartesle bougre avec ses airs de ne pas y toucher... ça change d’un autre critique de ciné, Michel Chion ; j’ai son bouquin "Stanley Kubrick, l’humain ni plus ni moins" et franchement il devrait tout arrêté celui là ; son chapitre consacré à EWS est en comparant avec l’analyse de Ciment à des années lumières, c’est trés proche du néant :
" ...Une oeuvre où rien ne se passe d’inéluctable pour les personnages principaux,et qui semble faire l’apologie du bonheur conjugal."
"Quant à la faiblesse des scènes au palais de Somerton, nous conservons encore aujourd’hui le sentiment que Kubrick n’a pas trouvé la bonne façon de les traiter."
Et le top :
"SK voulait que Fridolin fût un goy à la Harrisson Ford..."
Article de Wiki sur Harrisson Ford : "Harrison Ford naît durant l’été 1942 à Chicago1 d’un père catholique, Christopher Ford, et d’une mère juive, Dorothy Nidelman"
Laichon Michel ssion...
Ce qui est marrant de noter c’est que SK ne voulant (ou ne pouvant ?) plus mettre les pieds aux States, les rues de New York ont été recréées dans les studios à Londres. Seuls un ou deux plans très court (vu de la voiture sur l’autoroute quittant NYC) ont été filmé par ses assistants.
@corso :entièrement d’accord avec ta comparaison avec le projet Manhattan. Mais les complots sont aussi calqués sur le mode de production tayloriste : le type qui fabrique un boulon ne sait pas nécessairement pour quel type de bagnole est conçu son boulon et ne rencontrera jamais l’ingénieur du moteur ou le designer de la bagnole, de même que celui qui fabrique les pneus, celui qui fabrique les essuis glasses...ETC...et pourtant à l’arrivée y a une bagnole qui aété fabriqué par des types qui ne se sont jamais vus et dont la plupart ignoraient même qu’ils fabriquaient des pièces pour bagnoles...Alors imaginez un vaisseau lunaire !!!!!!
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