En effet dans une société d’esclaves du tertiaire, du service, de conseils sans engagement, sans praxis,... je ne vois pas beaucoup de conscience de classe : ces maltraités pourtant aidés (sur le départ à la fin de la semaine, remobilisé moralement et assisté juridiquement jusqu’à la fourniture d’un avocat en droit du travail pour éviter la signature d’une rupture conventionnelle sous pression, au total une transaction de 5 mois au lieu de rien pour moins de 2 ans d’ancienneté), ne font aucun geste d’entraide le moment venu pour l’autre « Je veux oublier et ne plus en parler… », pauvre chou, bien pratique, cette lâcheté, l’appât du gain sans effort, gavés au tittytainment, un manque total de combativité dans le rapport de force, je ne vois aucune affaire de sioniste, de franc-mac derrière tout ça, juste de la peur, de nature humaine, ils ont peur de tout et resteront des édentés.
Nicolas Machiavel - « Quand il s’agit d’offenser un homme, il faut le faire de telle manière qu’on ne puisse redouter sa vengeance. » et c’est très facile avec les sans-dents qui appellent à ça, c’est trop bien de se vautrer dans la facilité, à 30 ans, ils baissent bien la tête et le froc.