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Soral en 2019 : Israël sous le poids des contradictions

En six minutes, tout est dit. Cinq ans plus tard, Israël est plus que jamais un producteur de chaos, régional et international.

 

L’impossibilité israélienne, une évidence biblique

 






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7 Commentaires

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  • #3428536
    Le 26 septembre à 07:12 par Nico
    Soral en 2019 : Israël sous le poids des contradictions

    Effectivement faux état parasitaire à tous les niveaux.
    Et on ne parle même pas ici des organes de donneurs Fancais envoyés en prorité en Israel sous Simone Veil , ni des médicaments géneriques Israeliens TEVA qui nous sont sournoisement imposés au détriment des labos Francais.

     

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  • #3428558
    Le 26 septembre à 08:06 par toto l’asticot
    Soral en 2019 : Israël sous le poids des contradictions

    "Le principe du mur" "la séparation d’avec les goys" est exactement décrite par Bernard Lazare dans son livre "l’antisémitisme son histoire et ses causes " où il dit que les ghettos sont pour les juifs un moyen de se maintenir à l’écart des gentils. On voit que même cette histoire de volonté délibérée des juifs de se tenir à l’écart, ils ont réussi à la retourner en disant qu’ils ont été enfermés dans les ghettos et en particulier celui de Varsovie.

     

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  • #3428610
    Le 26 septembre à 09:32 par la République J-M ou la vie
    Soral en 2019 : Israël sous le poids des contradictions

    La Franc-maçonnerie aussi est foutue, c’est une pyramide inversée pareil, avec essentiellement des « frères » recrutés dans les professions libérales ?

    Le « grand Orient » c’est quoi sinon le projet du grand Israel ? C’est le même symbole étoilé aux frontons des loges et sur le drapeau bleu et blanc.

    Ce que j’appellerais le « petit temple » (bourgeois) nomme fièrement sa philosophie philanthropique c’est un travail de sape des consciences sur la société entière par l’inversion sémantique des termes ("nous sommes en démocratie", "liberté, égalité, fraternité"...), à l’instar du « grand temple » qui pratique directement l’inversion accusatoire.

    Et plus on monte légalement les grades ritualisés sur les marches du PT, plus en fait l’âme déchoit en se convertissant par paliers aux valeurs hébraïques du GT : on peut y entrer helléno-chrétien - en ressortir les deux pieds devant - sinon "chrétien sioniste" - au départ tourné vers Dieu, à la fin vers Lucifer (l’ange déchu est leur dieu caché).

    Seulement la différence ici en France, c’est que tout ce réseau de loges prolifère en s’édifiant sur le travail primaire et secondaire de ceux qui bâtissent réellement le pays.

    La France peut donc s’en sortir contrairement à cet Israel car le pays réel peut prendre conscience de ce pays légal corrompu car mité par la secte pour l’en dégager, le plus tôt sera le mieux.

    - Comprendre que cette inversion organisée du langage produit cette confusion dans les esprits qui nous empêche de nous unir, c’est donc bien la machine orwellienne qui la produit dont il faut en priorité s’occuper.

    « Pourquoi les Français ne se réveillent pas ? » Parce que leur sens cognitif ou entendement est neutralisé.

     

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  • #3428742

    Israël sous le poids des contradictions



    Dans son dernier livre "Le Bouleversement du monde, L’après 7 octobre", Gilles Kepel constate que "le 7 octobre" puis l’hécatombe des Palestiniens à Gaza ont bouleversé l’ordre du monde instauré après la Seconde Guerre mondiale, parlant de séisme moral, lorsque le terme de “génocide”, historiquement lié à la création de l’État d’Israël, lui est renvoyé, jusqu’au sommet des instances de l’ONU...

     

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  • #3429018
    Le 27 septembre à 05:38 par Alain34
    Soral en 2019 : Israël sous le poids des contradictions

    Comme l’a très bien remarqué Alain Soral
    " la caractéristique d’Israël, c’est le mur "
    A l’image de la muraille de Chine.
    Raisonnement par analogie, le dieu des sionistes israéliens , c’est le t’ai Chi.
    C’est tout pour le moment.

     

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  • #3429291
    Le 27 septembre à 14:32 par Leïla
    Soral en 2019 : Israël sous le poids des contradictions

    Tonton Soral avait, a et aura toujours raison !

     

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