Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Sociologie des pistoches

C’est dans les piscines qu’on voit que la France a changé de visage, et de mentalité.

 

 

Des requins dans nos piscines !

Non, ce n’est pas un énième article dénonçant les pauvres « jeunes des cités » qui prennent d’assaut les piscines publiques (grâce à des entrées subventionnées par Nicolas-qui-paie) ou privées (quand les sales bourgeois racistes blancs ne sont pas là), mais plutôt un tableau de la Nouvelle France chère à Jean-Luc. On l’écoute et on passe à l’analyse.

 

 

Face à ce constat, on ne voit que deux solutions pragmatiques : soit on francise cette masse de jeunes, de gré ou de force, soit cette jeunesse africanise la France. C’est un rapport de force yin-yang, et actuellement, au stade où on en est, pour l’instant, avantage aux jeunes. Leur parler (racaille), leur comportement (rebelle), leur désintérêt pour les études, leur manque d’éducation, leur crânerie, leur antiracisme ou leur racisme, leur violence, mais aussi leur énergie, leur talent, gagnent du terrain sur l’ensemble de la jeunesse et bousculent les parents.

 

 

Révolte contre le père, puis meurtre du père

Dans les années 50 aux États-Unis, le même bouleversement sociologique a lieu avec les blousons noirs, les premiers voyous : la liberté laissée aux jeunes après la guerre leur a permis de se défouler, d’exprimer leur singularité, mais aussi leur violence, leur bêtise, et leur talent. Les émeutes estudiantines (sociétales plus que sociales), le rock sont nés de ça. Heureusement, le Viêt Nam les remettra sur le droit chemin.

Dans cet extrait de Graine de violence, le petit juif et le grand Noir donnent un coup de main au prof qui s’est fait agresser par un Portoricain, l’équivalent de nos racailles d’aujourd’hui.

 

 

La révolte contre le père est autorisée, mais dans certaines limites. Des fois, un daron le prend mal. Quarante ans après ce jungle-movie, le rap a remplacé le rock et Tom Berenger, dans The Substitute, incarne le prof-soldat qu’il faut face à des élèves fortement dissipés. On est loin de la gentille prof de gauche dépassée (par son logiciel déconnecté) qui se fait malheureusement tarter. Car la violence est montée de cinq crans, des deux côtés de la barrière générationnelle. La France, culturellement colonisée par l’Amérique, suit logiquement le mouvement.

« I am in charge of this class, I am the warrior chief... You fuck with me, and you will suffer my wrath. »

 

Aux dernières nouvelles, l’ÉducNat francaoui n’a pas embauché de Tom Berenger pour tenir les classes agitées. Les nouveaux profils sont plus dans le genre crevette tremblante antiraciste. On n’est pas sortis de l’auberge kebabiste.

Le problème, quand on a lâché sur l’autorité, même si la violence scolaire n’est que le symptôme d’un mal plus vaste – la désagrégation sociale voulue par les néolibs, avec une hyperclasse dominante, une classe moyenne à la technique et à la gestion, le tout posé sur une masse d’esclaves –, c’est que reprendre la main est extrêmement dur.

Ceux qui parient sur une maturation et une modération des racailles avec le temps, c’est-à-dire quand ils deviennent des darons, n’ont pas tort, mais ils oublient que la nouvelle génération est plus dure, plus radicale encore. La violence est le régulateur social voulu par le pouvoir profond. On lâche les fauves, préalablement – désinstruits et décultivés – dans la population laborieuse, qui serre les fesses en allant de la maison au bureau et du bureau à la maison. C’est un confinement grand format, permanent, programmé.

Quand les fauves auront compris qu’ils sont sacrifiés par la dominance qui les transforme en bergers allemands, dont la vie est d’avance foutue, ils changeront peut-être. Pour l’instant, ça n’en prend pas le chemin : la liberté et l’impunité sont bien trop attractives !

C’était censé devenir l’attraction de l’été dans l’agglomération du Mans : le premier parc aquatique de la région ! Las, quelques heures seulement après l’ouverture tant attendue, ce mardi, toboggans, pistes de glisse et jeux flottants ont dû être démontés. Face à « une invasion de jeunes des cités », qui s’en sont pris violemment à un agent de sécurité, jusqu’à créer « une émeute de 200 à 300 personnes, munies de barres de fer et de pierres », le gérant de la structure n’a « pas eu d’autre choix » que de « fermer, définitivement ». (Le Figaro)

 

Les racailles, ce requins d’eau douce

 






Alerter

14 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

  • #3549762
    Le 4 juillet à 16:11 par anonyme
    Sociologie des pistoches

    "Quand les fauves auront compris qu’ils sont sacrifiés par la dominance (...)"

    C’est mal barré, et une phrase permet de comprendre l’étendue de l’abrutissement de ces jeunes : "Las, quelques heures seulement après l’ouverture tant attendue, ce mardi, toboggans, pistes de glisse et jeux flottants ont dû être démontés."

    Habituellement, lorsqu’un groupe de racailles prédateurs envahit un endroit, il cherche à en exclure les groupes rivaux pour s’en accaparer l’usage. Mettez une piscine dans une cour de prison, sans prise en charge se son utilisation par l’administration pénitenciaire, et c’est le groupe de détenus le plus puissant qui l’utilisera, à l’exclusion des autres. Dans le cas de ce parc aquatique, les fauves auront bousillés le jouet qu’ils auraient pu contrôler.

    La nature est mieux faire : le lion ne chie pas dans sa nourriture. On a ici une preuve supplémentaire que ces jeunes fauves ont besoins d’un soutien externe pour se perpétuer (Nicolas qui continue de payer...), sinon ils disparaitraient, à force d’avoir trop chier sur ce qui les fait vivre.

     

    Répondre à ce message

    • #3549994
      Le 8 juillet à 09:01 par toto l’asticot
      Sociologie des pistoches

      C’est exactement ce que je pense ;
      les "fauves" finiront par s’entretuer, et les autochtones vont remettre l’église au centre du village.
      Ces gens là sont venus de leurs contrées lointaines avec leurs guerres tribales, tandis que nous avons résolu nos différents avec les voisin allemands, et même, ces fameux différents avaient été imposés à nos aïeux à grands coups de propagande.
      Cette même propagande peine à cacher la différence entre "fauves" et autochtones à tel point que certains qui ressemblent aux "fauves" mesurent que leurs efforts d’intégrations sont sapés par les comportements de ces "fauves" .
      .
      A ceux là je rappelle l’histoire de la décolonisation, quand les pieds-noirs ont eu le choix entre la valise ou le cercueil. Et je dis à ceux là ; profitez que votre logement ait encore une valeur aujourd’hui pour le vendre et renter au pays avant que ce soit une migration forcée.

       
  • #3549767
    Le 4 juillet à 17:58 par Robinson
    Sociologie des pistoches

    Je résume le problème de façon plus simple : "Nicolas paye" et "Nicolas sait".

    Il n’y a aucune solution si ce n’est de créer des îlots de survie (= séparatisme) jusqu’à notre mort.

     

    Répondre à ce message

    • #3549776
      Le 4 juillet à 22:24 par anonyme
      Sociologie des pistoches

      "Il n’y a aucune solution si ce n’est de créer des îlots de survie (= séparatisme) jusqu’à notre mort."

      Et c’est vachement difficile à mettre sur pied !

      Quand je discute avec les gens autour de moi, je passe pour un con/complotiste/parano/ssss-trème droitard/..., uniquement parce que je m’interroge sur des sujets de base en lien avec la survie en société (prix et qualité du logement, de la bouffe, des bagnoles, de la médecine, ...). Et quand je fini par trouver quelqu’un chez qui ce genre de sujet résonne, ça résonne surtout parce que c’est un timbré...

      Au sein de la classe sociale à laquelle j’appartiens, ceux qui ont le plus de chance de s’en tirer son les immigrants provenant de pays de misère, qui dans leur pays d’origine vivaient déjà à 15 ans une maison, et qui continue de faire la même chose afin de pouvoir économiser et de bâtir quelque chose plus tard, et beaucoup réalisent qu’ils feraient peut-être mieux de bâtir dans leur pays d’origine. Seuls les immigrants parasites tiennent à tout pris à ne pas rentrer au bled.

       
    • #3549801
      Le 5 juillet à 09:54 par La charrue après les boeufs
      Sociologie des pistoches

      Pourquoi des îlots de survie "jusqu’à notre mort" ?
      D’accord pour des îlots de survie avec des familles nombreuses qui bientôt reprendront le pouvoir en France.

       
  • #3549772
    Le 4 juillet à 20:48 par bougre
    Sociologie des pistoches

    Mélenchiasse, l’agent de submersion migratoire a fait du bon boulot. Voilà le résultat après 40 ans de gauchisme en France

     

    Répondre à ce message

  • #3549773
    Le 4 juillet à 21:01 par Karim45
    Sociologie des pistoches

    C’est dû au laxisme de l’État.
    Quand il n’y a aucune sanction sérieuse, les cons se lâchent.

    Pourtant, même dans les pays du sud, pour une simple agression physique à main nue, tu peux faire 6 mois de prison ferme. Si avec cela tu rajoutes l’obligation de rembourser les dégâts pour l’auteur des faits ou sa famille s’il est mineur avec saisi à la banque, ce genre d’événement diminue bizarrement de 99%.

    On se demande ce qu’attend l’État pour agir. Surtout que ce n’est pas la gauche au pouvoir et qu’à la Justice et l’Intérieur, ça fait des années que ses ministres nous parlent de fermeté.

     

    Répondre à ce message

  • #3549778
    Le 4 juillet à 23:15 par goy pride
    Sociologie des pistoches

    La sociologie des pistoches indique surtout que les Blancos de manière plus ou moins inconsciente ont appris à éviter certains lieux comme la foire du trône, Aquapark, les piscines...

     

    Répondre à ce message

  • #3549783
    Le 5 juillet à 04:12 par lometego
    Sociologie des pistoches

    Le gros problème c’est l’immgration, les immigrés, l’invasion migratoire, en France et en Europe, de l’ouest pour le moment.
    Bien sûr ils ne sont pas forcement responsables, la chose n’est pas simple.
    C’est une politique, une idéologie qui a été menée depuis plusieurs décennies, de gré ou de force.
    Il y a de l’insécurité, mais pas forcément plus qu’a d’autres époques, on peut parler d’un "sentiment", c’est pas faux, mais pourquoi ?
    Les français ont le sentiment de ne plus être chez eux, mais il y a des mots tabous, donc ils parlent d’ insecurité, de fiscalité, de pollution...
    Beaucoup de français veulent quitter le pays, émigrent, n’ont plus foi dans leur Patrie. Ce sont les meilleurs qui partent, remplacés par le tiers monde. Alors pourquoi rester au pays si on ne peut plus d’espoir, trahi par les élites.
    De toutes façons c’est foutu ! Dans quelques années les blancs seront minoritaires.
    Si Nicolas s’en va, qui va payer ? La faillite est proche. Autant partir ou préparer ses arrières.
    Rome s’est effondrée, immaginons la France dans 30/40 ans.
    Quand ça ira mal, ceux qui ont organisé tout ça, comme ils ont tous 3 ou 4 passeports, s’envoleront comme une volée de moineaux pour aller s’installer ailleurs.

     

    Répondre à ce message

    • #3549803
      Le 5 juillet à 10:31 par Bl4st
      Sociologie des pistoches

      « Bien sûr ils ne sont pas forcement responsables »

      Bien sûr qu’ils sont responsables !
      Ce sont des hommes pas des enfants, et quand on est un homme, on est responsables de ces actes.

       
  • #3549808
    Le 5 juillet à 11:16 par XY
    Sociologie des pistoches

    C’est dans les piscines qu’on voit que la France a changé de visage...



    ...la France, et surtout les "français"...

    L’accès à la piscine de plein air municipale de Porrentruy, en Suisse, à 10 km de la frontière, a été interdite aux Français tout l’été en raison des incivilités.

    Les Suisses et les titulaires d’un permis de travail helvétique seront les seuls autorisés à y accéder jusqu’au 31 août.

     

    Répondre à ce message

  • #3549810
    Le 5 juillet à 11:34 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Sociologie des pistoches

    moi, c’est l’odeur du chlore

    pis d’façons, j’aime pas l’eau

    il faut de la bière, de préférence forte

     

    Répondre à ce message

    • #3549835
      Le 5 juillet à 18:53 par Phiddipidès
      Sociologie des pistoches

      Le chlore est inodore !
      Ce sont les chloramines qui produisent cette odeur si particulière. Chloramines qui sont produites par les réactions chimiques de désinfection que le chlore produit au contact des germes à traiter, crasse, pisse, merde et autres joyeusetés que les baigneurs, tous plus ou moins aussi dégueulasses les uns que les autres, déposent dans le bouillon de culture !
      Donc un seul conseil, si vous approchez d’un bassin ou d’une piscine couverte qui dégage cette odeur, il n’est nul besoin d’être ingénieur chimiste et de trimbaler un attirail d’analyse de l’eau pour se faire une idée de la qualité de l’eau ! Faites confiance à votre odorat et fuyez !
      Et laissez patauger dans leurs déjections les animaux qui s’y ébrouent !

       
  • #3549936
    Le 7 juillet à 09:29 par toto l’asticot
    Sociologie des pistoches

    Je lis les commentaires, oui les autochtones ont choisi d’éviter certains lieux, bientôt ils commenceront à se regrouper et interdire certains accès.
    En tout état de cause , dans les résidences se créent des groupes whatsapp, de papas qui se donnent rendez-vous à l’endroit où des indésirables s’illustrent.
    La république ne protège plus, alors les français remettent l’église au centre du village.
    En face la racaille n’est pas organisée, mais rapidement certains seront attrapés, et subiront la vindicte populaire, il parait que 2 coups de cravache laissent peu de traces mais suffisamment de motivation pour ne pas recommencer, je dis ça ... je ne dis rien

     

    Répondre à ce message