Tout ce qui est protéiné est une proie, juvénile aussi bien qu’adulte, du moment que le rapport de force est en faveur du loup.

Les loups affrontent des élans (3,10 m, 500 kg), des bisons (2,80 m, 990 kg), des boeufs musqués (2,50 m, 410 kg), et d’autres prédateurs comme des ours, des pumas... c’est pas un primate humain de 65 kg sans cornes, ni griffes, ni canines qui pourrait les intimider.

La primate joggeuse allait servir de steak tartare à la meute de canidés comme des milliers d’autres humains avant elle, rien de nouveau sous le soleil.

c’est toi qui n’y connais rien.
Les chiens sont bcp plus courageux (et cons) que les loups. Ton chien serait effectivement capable de courser comme un con et bien en dehors des limites de ta clôture un groupe de chacals qui voudrait l’attirer pour le tailler en pièce. La compagnie de l’homme l’a rendu un peu faible en instinct, et inconséquent dans ses actes. Un loup non plus ne passerait pas 2 heures à s’acharner sur un bout de bois. Les tempéraments diffèrent..

Le loup, comme tout animal non domestiqué et ne devant compter que sur lui-même, prend très peu de risque (toute blessure est mortelle), donc s’il voit des gens (qu’il connaît, et qui de plus les soignent et nourrissent) arriver avec des bâtons ou en faisant de grands gestes, sachant que d’autres risquent de rappliquer, ils lâchent l’affaire (surtout que ce n’était sans doute pas une question de faim mais de défense du territoire).

Ce qui n’empêche que sans cette intervention, cette gourdasse aux allure d’animal chétif et (mentalement) malade du troupeau humain aurait sans doute succombé (on tue l’intrus, même si on le mange pas).

Je veux bien que l’on puisse être contre le discours écolo, mais c’est absurde d’en faire un argument dans ce cas précis

De quel argument tu parles, du coup ? parce que le seul "argument" de l’article (non écrit E&R), s’il y en a un, c’est de rappeler que le monde sauvage est sauvage, puisque ta gourdasse n’aurait certainement pas franchi une barrière derrière laquelle se trouverait un pitt-bull, mais n’a eu aucune crainte à franchir celle des loups. Donc l’argument c’est : arrêter de croire que la nature est plus douce que l’urbanité. Alors où tu veux en venir ???

Je n’ai jamais eu une attirance particulière pour les peluches, et dans les temps anciens qui sont les miens, je n’en ai même jamais vues. Je n’ai toujours eu que des poupées en plastique hors Barbie, puisque ce n’est qu’à partir de l’année 1963 que la marque fait sa première apparition dans les rayons en France. Je n’ai jamais eu de poupée Barbie, je pense qu’elle n’était pas ancrée dans la culture familiale comme de nos jours, et de toute façon elle ne m’aurait pas attirée.
Les villages de province dans les années 50 ce n’était pas encore le grand déballage de marchandises, même si l’on trouvait tout ce dont nos parents avaient besoin, pour eux et pour les enfants. Dans mon foyer il y avait téléphone et télé en noir et blanc bien évidemment, papa avait été dans les transmissions à l’armée, et il travaillait pour une grande firme d’électricité, ceci explique sans doute cela, je ne sais pas vraiment si l’on peut faire ce genre de raccourci, mais je le fais quand même. Voilà, j’ai tout dit.

ne jamais garder un cheval entier, sauf si vous avez un haras pour la repro
sinon, faut le hongrer