On le sent venir gros comme le cul d’une charolaise : Delfraissy ayant disparu dans les tréfonds du Net, Salomon est revenu sur le devant de la scène pour asséner les dernières directives d’un pouvoir malade, corrompu et dangereux. Il s’agit maintenant de vendre au troupeau confiné dans son enclos et masqué pour ne pas beugler, le vaccin miraculeux qui va les rendre libres et heureux.
Ça, c’est le conte de fées oligarchique : en vérité, le troupeau va être pucé, parqué, battu et exploité comme jamais. Mais le Français est un peu lent à la détente, et les signes inquiétants d’une dictature économico-sanitaire ne l’inquiètent pas plus que ça : il attend la « libération », croyant qu’elle viendra d’en haut, alors que d’en haut ne viennent que coercition et punition. La libération ne peut venir que d’en bas, de l’organisation des gens, sur une base commune de conscience.
Calculez le nombre de mensonges proférés par le directeur de la Santé (privée) en une phrase seulement.
« Le pic de l’épidémie est devant nous, la deuxième vague progresse toujours, toutes les régions métropolitaines sont touchées. »
Que nous ont concocté les employés de la dictature sanitaire ? Le sempiternel couplet sur les Français qui ne respectent pas suffisamment le confinement et qui mène tout droit à un resserrement de l’autorité. Le lien se resserre autour du cou dès que la bête meugle. Le pouvoir, un mois avant Noël – un Noël qui sera sacrifié, comme l’agneau, parce qu’il est chrétien et que tout ce qui est chrétien est ennemi de l’oligarchie – envoie tous ses anges de la Mort pour diffuser le message diabolique :
France, 09 Novembre : « Je pense que la vaccination obligatoire est, évidemment, une piste envisageable.. » (@AurelienPradie) #Vaccin #coronavirus #COVID19france #CoronavirusFrance pic.twitter.com/TILAQ3TlkH
— Biobiobiobio (@biobiobiobior) November 9, 2020
Naturellement, pas un journaliste pour s’élever contre cette culture de mort, ils sont tous alignés devant la dictature, craignant pour leur poste. Mais ils auront pire que ça : la colère des Français. En attendant, le troupeau est tellement ahuri et abruti sous les coups depuis des mois qu’il n’arrive plus à réagir sainement aux attaques, menaces et mensonges des grands manipulateurs.
Elle, au contraire, pas de frémissement d'intelligence... https://t.co/NIHOC0S2hc
— ariane walter (@ArianeWalter) November 10, 2020
Des gauchistes déguisés en journalistes se félicitent de la destruction de Noël. Ils verront que la foi se nourrit de leur haine, qu’elle la transforme en amour et en force, pour déplacer des montagnes et renverser des pouvoirs. Mais pour l’instant, le message est clair : il faut détruire la foi de ce peuple.
Le retour des prières de rue. https://t.co/0X5KJNB3qd
— Alexis Poulin (@Poulin2012) November 9, 2020
J'ai l'impression qu'il y en a qui mettent les lois de Dieu devant celles de la République #separatisme
Dispersez moi ça à coups de flashball républicains svp https://t.co/Z8Ld309Mj0— Usul (@UsulduFutur) November 9, 2020
Pour faire tenir toute cette entreprise mortifère, il faut charger sur le divertissement, c’est-à-dire la vulgarité et la médiocrité. La chanteuse communautaire Jenifer imposée au public par tous les moyens médiatiques est là pour vanter les louanges d’un pédophile qui se croit devenu président des États-Unis à l’occasion d’une fraude massive. Chanter le Diable, quoi...
Quelle indignité ... https://t.co/Wk8tVTyiV7
— Stalker (@_Stalker_69_) November 9, 2020
Du côté des artistes – qui finissent toujours du côté du manche, calculs fiscaux obligent –, on ferme sa gueule. Après son coup de sang contre Véran, Luchini se couche devant la version officielle :
La presse, en manque de publicité parce qu’en manque d’audience à cause des mensonges répandus, rampe devant les gros annonceurs et les puissances de l’Argent : vendez-nous ce foutu vaccin, même si le troupeau français se méfie, surtout si le troupeau français se méfie !
Qu’est-ce que le mondialisme de Bill Gates, l’ami du pédocriminel juif international Epstein, va leur injecter dans le corps ? Du salut ou du poison ? De la guérison éternelle ou de la soumission ?
Les complices signent : l’AFP, Reuters, les grandes agences de presse internationales et le service public audiovisuel encouragent le troupeau à se jeter dans la gueule du loup, qui n’est pas que le Big Pharma, mais l’esclavage total, démesuré, jusqu’à la mort, devant les puissances de l’Argent. Pour Salomon, le vaccin de Pfizer est une « bonne nouvelle ».
« Pfizer et BioNTech entendent demander une autorisation d’utilisation d’urgence de leur vaccin dès novembre aux Etats-Unis. Ils estiment que les trois critères nécessaires (efficacité, absence de risque pour la santé et capacité de produire à grande échelle) seront remplis d’ici la fin du mois. Ce qui signifierait, selon le Guardian (article en anglais), que des membres du personnel hospitalier pourraient être les premiers vaccinés, dans certains pays, avant la fin de l’année.
Il faudra attendre début 2021 pour le reste de la population. "L’objectif annoncé est de fournir jusqu’à 100 millions de doses dans le monde d’ici fin 2020, et environ 1,3 milliard de doses d’ici fin 2021", assurait fin octobre la société Pfizer. » (France Info)
Et pendant que les avocats du Diable exécutent leur basse besogne, la justice des hommes vient leur rappeler de quoi ces employés serviles sont capables.
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a annoncé, lundi 9 novembre, avoir été mise en examen pour « blessures et homicides involontaires par négligence » dans l’affaire de la commercialisation de l’antiépileptique Dépakine. Cette déclaration fait suite à une convocation devant les juges en charge de l’instruction, précise l’agence dans un communiqué.
L’ANSM affirme prendre « toute la mesure de la souffrance des victimes et œuvre depuis plusieurs années afin de limiter l’exposition au valproate des femmes en âge d’avoir des enfants ». Elle « répondra à toute interrogation de la justice afin d’apporter sa pleine et entière contribution à la manifestation de la vérité ».
L’enquête avait été ouverte en 2016 auprès du tribunal judiciaire de Paris, à la suite d’une procédure à l’initiative de l’Association d’aide aux parents d’enfants souffrant du syndrome de l’anticonvulsivant (Apesac), représentant 4 000 personnes dont la moitié des enfants malades, et qui s’appuyait sur quatorze cas de mères ayant reçu de la Dépakine lors de leur grossesse. (Le Monde)
En vérité, sur les 50 dernières années, entre 15 000 et 30 000 enfants dans le ventre de leur mère ont été atteints de troubles mentaux liés au Valproate (la Dépakine et ses dérivés).
Le trouble mental pour tous, c’est le programme de l’oligarchie pour le troupeau demain.