Je l’ai déjà écrit ici, mais il me semble utile d’en remettre une couche, d’autant que je suis une femme... et qui a bien vécu !
Sans tomber dans l’angélisme à propos de ce Léo Grasset, il relève de l’honnêteté que de reconnaître l’un des travers quasi ontologique du genre féminin est d’agir et de penser volontiers en mode victime.
C’est par ailleurs une attitude qui se défend si l’on veut bien prendre en considération l’évidence de notre morphologie plus "faible", ce qui pousse effectivement certains hommes un peu machos employer leur propre force physique pour tenter de faire "plier" une femme qui leur pose problème. Ce constat n’excuse évidemment en rien ce genre de réaction primaire !
Pour autant, il est facile de constater la dérive insupportable (y compris pour les femmes honnêtes) qu’engendre ce néo féminisme qui n’en finit plus de rendre les hommes responsables d’à peu près tout.
Il y a quelque chose de pervers à vouloir faire payer pour tout et n’importe quoi les hommes, et il est important de rappeler que cette attitude vengeresse ne concerne in fine qu’une assez petite quantité de femmes... Globalement, il s’agit effectivement de bourgeoises frustrées et, malheureusement, de jeunes femmes formatées par le féminisme comme réponse à tous leurs problèmes relationnels affectifs.
Les hommes d’antan avaient prévenu... la mythologie l’a rappelé aussi et nous savons très bien, quand on est une femme honnête, que si on lâche notre puissance viscérale pour régler un problème ou faire payer quelques frustrations, que nous sommes capables du pire et que la perversion, la cruauté et l’acharnement ne nous sont pas du tout étrangers.
J’invite ceux qui en douteraient à lire le passionnant ouvrage de R.X. Lanteri "Brunehilde, 1ère reine de France". Récit de sa vie et de son règne dans lequel on découvre, stupéfait, la cruauté et la malignité de l’une de ses concurrente : Frédégonde. Inouï, affreux, tordue à souhait.
L’on pourrait aussi rappeler les comportements de la Médicis, de Tatcher, de H. Clinton et de nos actuelles ex responsables politiques comme, entre autres, Dati, qui coche pas mal de cases en matière de petite perversion et de comportement type "Prada" (Le diable s’habille en Prada).
L. Grasset a eu un comportement de "mec" basique. Fort de sa notoriété, sollicité par celles qui rêvent en réalité d’être "puissantes", elles se sont pris un gros râteau, et se vengent... rien d’autre.
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