J'attends le retour de ces goats sur twitter avec impatience pic.twitter.com/mjGnLKjvN1
— Alex (@AlexNatio3) April 26, 2022
Il y a des moments de pure joie sauvage dans la vie [1], surtout quand elle est inattendue. C’est le cas de la prise de pouvoir officiel du multimilliardaire Elon Musk, qui a décidé d’acheter (des parts de) Twitter pour 44 milliards de dollars, avec l’objectif assumé d’y réintroduire la liberté d’expression, qui avait été nettement limée depuis 2020 et la fraude électorale du camp Biden.
Mais avant aussi, sous les assauts du woke et de MeToo, le réseau social pour adultes (on n’est pas chez Instagram) avait perdu de sa puissance, justement parce que les débats y étaient quasiment interdits. Les comptes des mal-pensants sautaient les uns après les autres, les opinions contraires au Nouvel Ordre mondial y étaient criminalisées, les opposants de la répression sanitaire y étaient dénoncés, bref, c’était devenu un enfer gauchiste, c’est-à-dire une véritable ânerie, dans le sens d’une étable pleine de baudets. Justement, à propos d’ânes, on écoute la correspondante de France 24...
Et donc, alors que tous les gens qui pensent (la définition réelle des mal-pensants) croyaient que c’était foutu, comme un miracle tombé du ciel, Elon Musk est venu foutre un coup de pied dans la fourmilière gauchiasse, les socialo-sionistes croyant s’être accaparé tout le réseau social. Le retour en force d’un pro-Trump, ou plutôt pro-liberté, bien à l’américaine, le pays où l’on peut exprimer librement ses opinions.
En France socialo-sioniste, on ne le peut pas, et c’est la raison essentielle de la dépression nationale : les Français ne peuvent pas dire ce qu’ils pensent de la tournure que prend leur pays, tout de suite on leur envoie les flics à LBD ou les flics de la pensée. C’est un fait. Alors, chez E&R, parce qu’on a été dénoncés, bloqués, radiés de Twitter, on salue ce petit miracle, même si, avec les Américains, il y a toujours une histoire de dollars dessous.
En effet, sous la pression du woke, ou du wokisme (la bien-pensance qui réunit le féminisme, l’antiracisme, l’anticatholicisme, le sionisme, le mercantilisme, le pornographisme, le migrantisme, le LGBTisme, l’européisme, le néolibéralisme, le victimisme), il est question de restaurer les marges du RS américain, qui perdait des parts de marché, justement à cause de la censure suicidaire, commercialement s’entend, qui y régnait.
« Je ne vois pas de bien-pensance dans le constat qu’il y a quelque de chose de liberticide dans une liberté totale »
La morale rejoint donc l’intérêt, et Twitter retrouve des couleurs, au grand dam de tous les donneurs de leçons qui croyaient être chez eux, dans un entre-soi confortable, les opinions différentes ayant été expurgées à grand renfort de délation et de mépris. C’est une bonne claque dans la gueule, et notre héraut de la censure nationale, le petit Enthoven, le philosophe tendance scato, a évidemment regretté, et c’est là un savoureux paradoxe, le retour de la liberté d’expression, qu’il décrète « liberticide » !
Vraiment, ces gens-là osent tout. D’abord, pour ceux qui ne connaissent pas encore cet agent sioniste au talent douteux, la définition d’Acrimed :
Raphal enthoven
L'association de critique des médias Acrimed estime en 2017 qu'il est « le prototype du fast-thinker, tirant prestige d’une stature ou posture de « philosophe » pour distribuer bons et mauvais points avec une outrance digne des plus décomplexés des éditocrates— Méphistophélès (@lechatvabien) July 3, 2020
« La liberté absolue ce n’est pas la liberté : la liberté absolue c’est la loi du plus fort. »
C’est bien que ce faux philosophe, bombardé dans des émissions du service public audiovisuel non par son talent mais par son appartenance idéologique, à savoir le sionisme, s’en rende compte !
Il va falloir partager, Raphaël...
Pendant que l’agent sioniste déguisé en philosophe pleure sur la perte d’une partie de son pouvoir d’influence, parce que désormais les anti-Enthoven auront droit de lui répondre, et de répondre à ses insultes, c’est la fête de la liberté retrouvée sur Twitter, une sorte de libération nationale et internationale. Le jeu du jour s’appelle « on teste la clôture ».
Test de censure sur Twitter ✂️
- Les présidentielles étaient truquées
- Seules les femmes peuvent avoir des règles
- Nul ne peut changer de sexe avant 18 ans
- Le vaccin Anti-COVID est une escroquerie
- Le nouvel ordre mondial se met en place
- L’hydroxycloroquine vous guérit— Pierre Marionnet♦️ (@PierreMarionnet) April 26, 2022
Pour l’instant, ce tweet est toujours en ligne. On continue :
Oui, #Poutine est un criminel de guerre. #Zelensky n’est pas un nazi. Il n’y a eu aucune fraude électorale dimanche. Brigitte #Macron est une femme. Le #vaccin n’est pas un poison et il n’y a toujours aucun vote caché pour #Zemmour. Insultez-moi, les complotistes ! J’adore ça !
— Kevin Bossuet (@kevinbossuet) April 26, 2022
Concrètement, la "parole libre" voulue par Elon Musk, ça sera la prolifération de ce genre de tweet https://t.co/arhhmAniRl
— [AZZZO] (@hype72) April 27, 2022
Et curieusement, du côté de nos amis démocrates américains, les followers fondent comme neige au soleil... Décidément, les soutiens de Biden ont la fâcheuse habitude de truquer les chiffres !
All the deep state players are losing massive amounts of followers on Twitter over the past 24 hours
Here are the numbers of lost followers :
Hillary Clinton : -17,600
Barack Obama : -5,000
Nancy Pelosi : -13,400
AOC : -27,600You gotta love it ! pic.twitter.com/c2oMCVRdlJ
— Let's see what happens (@HTTP_404_NotF) April 26, 2022
Après, il y a effectivement des débordements que nous ne pouvons moralement cautionner.
Question à McKinsey : À quelle date allez-vous réactiver le pass sanitaire/vaccinal ?
Ça m'arrangerait de savoir pour organiser mes vacances cet été…
HANKULAYS !!!— Pierre-Alain Solard (@pa_solard) April 27, 2022
Mais globalement, on sent qu’un rééquilibrage naturel se fait, et on voit que les gauchistes reculent dans leurs tanières. Le problème du monopole, c’est qu’il mène à la consanguinité, et à la débilité. Les tweets d’une Sandrine Rousseau ont-ils été interdits ? Non.
On a cité Enthoven, qui ose, en tant que « philosophe », nous dire que la liberté d’expression est liberticide, un culot qui aurait dû faire réagir toute la classe médiatique, mais on sait pourquoi les gens se taisent : il faut bien bouffer. Du côté de la maison-mère de la bien-pensance, on est coincés : en tant que soi-disant démocrates, on se doit d’applaudir toute liberté, et donc la liberté d’expression, oui mais voilà, c’est le camp du mal qui la défend, le camp Trump !
L’article est à l’avenant du pilpoul précédent.
Au lendemain de l’annonce du rachat de Twitter par Elon Musk, lundi 25 avril, le clivage politique est net face à la volonté affichée par le milliardaire de faire du réseau social « une arène ouverte pour la liberté d’expression » en relâchant ses règles de modération. Sans surprise, l’annonce ravit la droite conservatrice américaine, qui reproche régulièrement aux entreprises de la Silicon Valley de favoriser les démocrates. Le sénateur républicain Jim Jordan, par exemple, a salué « le retour de la liberté d’expression » sur la plate-forme, tandis que la sénatrice du Tennessee, Marsha Blackburn, connue pour ses positions conservatrices, a déclaré qu’il s’agissait d’un « grand jour pour être conservateur sur Twitter » et qu’il était « temps que Twitter devienne ce qu’il est censé être : une plate-forme numérique ouverte à toutes les opinions ». (...)
À l’opposé du spectre politique, pourtant, on s’inquiète de ce culte d’une liberté d’expression absolue défendue par le nouveau patron de Twitter, à rebours des efforts menés depuis plusieurs années par la plate-forme pour améliorer la modération des contenus haineux. La sénatrice démocrate Elizabeth Warren a immédiatement mis en garde contre un « accord dangereux pour notre démocratie ». Dans l’Union européenne, le commissaire responsable du marché intérieur, Thierry Breton, a prévenu que le réseau social « devrait s’adapter totalement aux règles européennes », tandis que le secrétaire d’État chargé de la transition numérique en France, Cédric O, a tenu à rappeler que « le Digital Services Act – et donc l’obligation de lutter contre la désinformation, la haine en ligne, etc. – s’applique[rait] quelle que soit l’idéologie » du propriétaire de Twitter.
Ah ! on a – enfin – compris : la liberté d’expression, c’est la haine. Merci à Raphaël Enthoven, Le Monde, Cédric O et Thierry Breton, ces grands démocrates pleins d’amour, de nous avoir ouvert les yeux.
Puisqu’on est avec ces zozos dans le délire et la désinformation, on va terminer sur le tweet du communiste 2.0, qui résume tout :
Elon Musk dépense l’équivalent du PIB de la Jordanie en achetant Twitter simplement pour « protéger notre liberté d’expression » ?
Je veux bien que le logo de Twitter soit un oiseau, mais qu’il arrête de nous prendre pour ses pigeons.
— Fabien Roussel (@Fabien_Roussel) April 27, 2022
Franchement, les gauchistes, restez sur Twitter : sans vous, on ne rigolerait pas autant !
À savoir par cœur pour demain
La liberté d’expression, c’est la haine ; la censure, c’est l’amour.