Une infirmière est soupçonnée par le Groupe hospitalier universitaire (GHU) de Paris d’avoir établi de faux certificats de vaccination, moyennant finances, révèle France Inter mardi 8 juin. Cette infirmière, qui travaillait depuis janvier au centre de vaccination anti-Covid de l’hôpital Sainte-Anne, à Paris, a été suspendue. Une secrétaire par intérim, potentiellement impliquée, a également dû quitter son poste.
La direction du GHU de Paris précise que c’est un « brusque changement de comportement d’une infirmière » qui a éveillé les soupçons. Elle soupçonne l’infirmière d’avoir soudainement pris des rendez-vous de vaccination pour ses contacts dont elle voulait absolument s’occuper personnellement. Ces personnes ressortaient de ces rendez-vous sans être vaccinées, mais avec un QR code.
On ne veut pas décevoir le site de propagande oligarchique du « service » public audiovisuel France Info, mais ça fait belle lurette que des paquets de Français se font faire de faux certificats de vaccination ou de faux tests PCR.
- Un titre parmi d’autres de la presse de collaboration
En 1940, pendant l’Occupation, les imprimeurs patriotes et les spécialistes de la contrefaçon s’activaient clandestinement pour produire tracts et faux papiers. Aujourd’hui, c’est pareil, sauf que les collabos n’ont rien compris à l’histoire.
Un membre du personnel qui travaille au centre de vaccination, et qui souhaite rester anonyme, affirme avoir vu une « dizaine de personnes au moins par journée travaillée » concernée par ces rendez-vous. « Elle les faisait venir dans son box, elle faisait sortir sa collègue, elle ne vaccinait pas les gens et elle se faisait payer pour que les gens puissent avoir un QR code, a priori pour pouvoir partir à l’étranger », assure-t-il.
Bravo à la résistance au covidisme, honte à la balance interne – « un membre du personnel qui travaille au centre de vaccination » qui se reconnaîtra – et honte à France Inter, qui continue à faire son sale travail de délation sous couvert d’information. France Inter, c’est Radio Paris. Rendez-vous à la libération !
Le 6 mai 2021, Le Figaro sort un bel article collaborationniste sous la plume de Jeanne Sénéchal. Jeanne nous explique comment Jules s’est fabriqué un faux test PCR :
Après ses explications, Jules se met au travail : il prend un ancien test qu’il avait effectué auparavant, l’ouvre dans Word, change la date, le nom, le prénom, et le numéro de dossier, puis l’imprime. Pour favoriser les chances de ne pas se faire repérer, surtout en cas de doutes de l’autorité qui contrôlera son test, il crée également une fausse adresse mail avec le nom d’un laboratoire, et s’envoie un faux mail avec le test en PDF dessus : « si on me demandait plus d’informations, j’aurais été capable de montrer une autre preuve », soulève-t-il. Finalement, Jules a pu arriver sans encombre à Barcelone : « Je n’ai pas fait les choses à moitié, mais ce n’était pas si compliqué », nous a-t-il confié.
Heureusement, tout le monde n’est pas aussi dangereux pour l’humanité que Jules. Jeanne a trouvé un certain Serge, qui lui, a fait son devoir de collabo :
Mais là encore, certains ne jouent pas le jeu. C’est ce qu’il s’est passé il y a quelques semaines, lors d’un goûter/soirée d’anniversaire où était convié Serge, un étudiant en école de cinéma. « Deux filles sont venues avec des faux tests PCR et on s’en est aperçu. Je peux vous assurer, que maintenant, elles ne sont plus invitées », nous raconte-t-il. « Elles nous avaient envoyé un selfie devant un centre de test. Ensuite, elles nous ont envoyé le texto du centre confirmant des résultats négatifs. Mais le nom du laboratoire du texto était différent de celui de la photo... Elles n’avaient pas pensé à le changer », nous détaille-t-il. Pour François et Marie, cette situation est difficilement concevable : « Ça va quand même loin », lance-t-il. « Si vous n’avez pas envie de vous faire tester, vous n’êtes pas obligés de venir ! Mais ne mettez pas la vie de nos proches en danger », s’exclame-t-il, alors que lui-même a vu plusieurs soirées reportées à cause de cas de Covid détectés de cette manière.
Heureusement qu’il existe encore de bons citoyens comme Serge qui prennent leur courage à deux mains pour dénoncer ceux qui n’ont pas fait de vrai test PCR – cette injonction peu fiable et dangereuse qui menace la fine paroi entre cavité nasale et cerveau – et qui veulent entrer dans des fêtes l’air de rien, en risquant d’assassiner tout le monde...
La France de 2021 marche sur la tête à cause d’un gouvernement mondialiste antifrançais qui prône les antivaleurs diaboliques. L’histoire nous apprend qu’après toute période de dictature, la liberté trouve toujours un chemin pour revenir. En attendant, les Allemands nous montrent le chemin :
En France, la résistance se développe :
Rappel : l’appel du 18 juin (modifié par nos soins)
« Les Chefs qui, depuis de nombreuses années sont à la tête des gouvernements français, ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de notre esprit national, s’est mis en rapport avec l’ennemi mondialiste pour cesser le combat.
Certes, nous avons été, nous sommes submergés par la force médiatique de l’ennemi. Infiniment plus que leur nombre, ce sont les médias des mondialistes qui nous font reculer. Ce sont les multinationales des mondialistes qui ont corrompu nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd’hui. Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire. Car la France n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle a une vaste histoire derrière elle.
Cette guerre n’est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n’est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances n’empêchent pas qu’il y a dans l’univers tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd’hui par la force médiatique, nous pourrons vaincre dans l’avenir par une force médiatique supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, esprit de la France libre, actuellement en exil, j’invite les médecins et infirmières, j’invite les journalistes et les imprimeurs à se mettre en rapport avec moi pour résister.
Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas. Demain comme aujourd’hui, je parlerai à la radio de l’Internet libre. »