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Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

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52 Commentaires

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  • #293925
    Le 30 décembre 2012 à 14:50 par jacqueline
    Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

    Félicitations aux participants toulousains à cette conférence, ça remonte le moral.

    Cependant une chose m’a choquée, c’est de commencer par parler de donner un revenu à ceux qui ne travaillent pas. Vous allez provoquer le rejet de tous ceux qui veulent travailler. C’est le plus sûr moyen de se faire discréditer par les "politiques". Il faut d’abord organiser le travail et la protection sociale avant de s’occuper des autres.

    Pour la nouvelle constitution : la politique n’est plus un métier, très bien, il faut dissoudre et interdire tous les partis politiques. L’assemblée représente l’ensemble du peuple français.
    Les partis politiques représentent ceux qui financent leurs campagnes..

    Plus de partis politiques : ainsi le problème de leur financement est définitivement résolu, les contribuables n’ont plus à financer le fonctionnement d’un parti, et tout le monde est à égalité de moyens.

    Si la politique n’est plus un métier, il n’ y a donc pas de salaire ! ( ainsi on évitera que les élus augmentent leur propre salaire et fixent eux même les conditions de leur retraite ).

    Chaque membre de l’assemblée, toucherait le salaire qu ’il avait dans la société civile, ainsi personne ne s’enrichira à devenir député et ne cherchera à s’accrocher au pouvoir.. Une indemnité serait attribuée pour les frais supplémentaires , liés à ce mandat.

    A l’issu de son mandat ( court ) un membre de l’assemblée est réintégré d’office dans son travail, il ne doit pas être pénalisé.

    Pour éviter toute corruption, d’autres mesures doivent être étudiées, comme l’interdiction de travailler dans une entreprise qui se serait vu attribuer un marché.

    Le concept de majorité-opposition , ne sert à rien ! Surtout qu ’ils font la même politique au service de la finance et que l’opposition reproche à la majorité de ne pas faire ce qu elle même aurait du faire lorsqu ’elle était au pouvoir, se rejetant la responsabilité de la dette et du chômage..

    Le contre pouvoir c’est le peuple, et lui seul qui l’assure, par référendum d’initiative populaire.

    Comme le peuple l’a fait contre le TCE. Hélas UMP et PS on fait fi de ce référendum ( pour moi la démocratie est morte ce jour là ! ). Il manquait une sanction face à ce désaveu : Démission des partisans du OUI ; ainsi qu’une autre mesure : le non renouvellement des mandats qui aurait empêché qu ’on nous resserve le même plat en 2007. On a aussi oublié de descendre dans la rue pour défendre la démocratie.

     

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    • #294128
      Le Décembre 2012 à 20:20 par TV Killer
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      J’ai travaillé comme un con pendant 15ans en ne prenant même pas 15 jours de vacances par an, quand j’ai compris le système de l’argent dette, ça a fait TILT ; j’ai arrêté du jour au lendemain et je suis au RSA après avoir payé en moyenne 6000 euros mensuel de taxes et d’impôts divers (TVA, CSG,taxe pro, taxe foncière...etc...), créé de la valeur ajoutée, créé des emplois...etc... et sans faire un centime de black (au grand dam de mes parents et même de mon comptable c’est dire !)et tant que ce système ne s’écroulera pas, jamais plus je ne dépenserai mon énergie à "travailler" et je suis bien plus heureux aujourd’hui, j’œuvre à mon niveau à la destruction de ce système pourri corrompu jusqu’à la moelle...Quoi qu’on dise, salariés et petits patrons du fait du système de l’argent dette, seront toujours de plus en plus taxés c’est mathématique...

      Si vous ne détruisez pas ce système c’est le système qui vous détruira.

       
    • #294244
      Le Décembre 2012 à 00:30 par Xavlepolak
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      @TV Killer : pas de quoi être fier. OK le système est pourri jusqu’à la moelle, mais être une larve collée à son PC toute la journée n’a rien de glorieux.

       
    • #294343
      Le Décembre 2012 à 08:12 par panurge
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      @Xavlepolak tvkiller ne dit pas qu’il est fier de se retrouver sans activité,moi j’ai tres bien compris son message et je suis totalement d’accord avec lui.faut arreter de vouloir jouer au moralisateur envers les gens qui ont vraiment concsience de la decrepitude du systéme et qui veulent s’en retirer,la plupart des crétins de nos concitoyens reagissent comme toi...le peuple français et meme au dela se fait spolié,et par "fierté"on continue ?...non !!!il faudrait une gréve generale et desobeissance civile,revoquer toutes nos élites qui ont trahis le peuple et exiger une nouvelle constitution.

       
  • #293926
    Le 30 décembre 2012 à 14:52 par Wallace
    Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

    Pour ceux qui se poserait la question "Que s’est-il passé avec Utopia" dont il est fait référence dans la 1ere partie, voici la réponse

    Petit extrait, concernant donc EC :



    « En examinant plus attentivement son site, nous avons été alertés par la sélection de sites à visiter sans aucune mise en garde, en particulier ceux qui renvoient vers le site du Réseau Voltaire et celui d’Alain Soral (source), animé par des fascistes notoires (Alain Soral est un des mentors de Marine Le Pen - cf. la biographie de Caroline Fourest). »



    Bon ok rien de nouveau sous le soleil, ca fini même par faire rire... Mais il reste clair que, pour la prise de conscience, y’a vraiment encore du taf !

     

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    • #294133
      Le Décembre 2012 à 20:32 par TV Killer
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      UTOPIA ce sont des bobos tendance Mélanchon qui n’ont rien compris au système. A Bordeaux ils avaient aussi annulé une conférence de Re-Open sur le 11 septembre, toujours sous le couvert "d’antisémitisme", ...Et lorsque la conférence s’est déroulée dans une autre salle, on a eu droit à une intervention de 3 merdeux de l’Union des Etudiants Juifs de France, d’ailleurs c’est marrant leur chef il ressemblait comme deux gouttes d’eau à Yéonathan Hayoun...

       
    • #294540
      Le Décembre 2012 à 16:24 par an
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Le maire a du menacer nos bobos d’utopia de suppression de subvention si le fasciste,antisémite,révisionniste Etienne Chouard participait a un débat et comme le patron est celui qui paye ils se sont exécutés.

       
  • #293980
    Le 30 décembre 2012 à 16:13 par Ikurrina
    Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

    J’adore Étienne Chouard mais je regrette qu’E&R ne présente jamais le travail de Bernard Friot qui est remarquable. Dans les deux cas, je crains malheureusement que la prise du pouvoir ne soit jamais envisagée. Les urnes ne sont plus accessibles et nos assiettes sont encore trop pleine, alors il nous faut attendre l’intervention divine et/ou satanique que nous annoncent les sages. Vivement la fin du capitalisme car une fois libéré des prédateurs, tout est ouvert sur un monde qui ne pourra pas être pire, enfin, j’espère !

     

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  • #294018
    Le 30 décembre 2012 à 17:12 par Slide
    Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

    Etienne Chouard est vraiment très posé et très clair, alors que certains intervenants sont assez médiocres et obtus, dommage... ya du boulot !

    Je pense que maintenant l’étape clé est d’écrire une vraie constitution complète et précise (même si bien sûr elle peut être amenée à évoluer). Je crois qu’on va alors se rendre compte de l’immense difficulté de mettre tout ce beau monde d’accord (gauchistes et droitards...).

    Comme dit ici, on ne peut pas séparer la constitution des aspects économiques (i.e. de la vraie vie quoi !). Il faut un modèle économique qui fonctionne de paire avec la constitution, sinon cela restera juste une utopie.

    D’ailleurs je me demande si la vraie démocratie n’est pas qu’une utopie (elle n’est pas naturelle, les animaux ne s’organisant jamais en démocratie, une caste de dominants émergeant toujours dans les organisations animales). Au final, je me demande s’il n’est pas préférable de "servir des maîtres" et avoir à bouffer dans son assiette et une carotte pour que le système tienne (via l’espoir entretenu d’ascension sociale, permettant de consommer toujours plus), plutôt que de vivre dans une anarchie où tous les citoyens seraient "égaux" mais où les conditions élémentaires de sécurité ne seraient même plus garanties (la loi de la jungle).

    Un changement de constitution d’ampleur ne peut se faire que dans le cadre d’une révolution. L’histoire montre que cela passe par une période d’instabilité propice à la prise de pouvoir par tout un tas de gredins. Il faudra être extrêmement vigilants ! En espérant ne pas voir les Etienne Chouard finir comme des Robespierre... Le meilleur cadre serait au sortir d’une grande guerre qui aurait anéanti toute la puissance de la caste dirigeante actuelle, la rendant hors d’état d’influencer la reconstruction. Sans ce contexte particulier, ça me paraît aussi merdique que la révolution de 1789 : juste un pouvoir qui change de mains mais qui ne va pas au peuple.

     

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  • #294119
    Le 30 décembre 2012 à 19:58 par pranakundalini
    Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

    Attention a bitcoin qui presente toutes les caracteristiques d’une escroquerie :
    _Origine inconue.
    _Il n’est quasiment plus possible de miner des bicoins la bonne part ayant ete prise par les promoteurs
    _Promesse de gain via la spéculation Ca fonctionne exactement comme les actions qui sont un systeme crapuleux qui rapporte à ceux qui peuvent manipuler les cours.

     

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  • #294146
    Le 30 décembre 2012 à 20:55 par Stev
    Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

    Voici un article qui affirme que la loi de 1973 n’aurait finalement pas changé grand chose à ce qui existait avant :

    https://docs.google.com/file/d/0B_2...

    Qui s’y connait assez pour démêler le vrai du faux ? Personnellement, j’avoue que je suis largué !

     

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    • #294352
      Le Décembre 2012 à 09:26 par Thomas M.
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Cette blogueuse insupportable a déjà débattu avec Chouard dans ses "réunions". Elle pinaille sur des détails en utilisant une méthode chère à Jean Robin, le "pilpoul" (ou je ne sais pas comment ça s’écrit) ou plus simplement "sophisme" tout en feignant de ne pas comprendre l’idée globale qui est présentée quand on désigne cette loi. Pire, elle dit implicitement que cette loi est "bonne".

      Au novice qui veut s’en convaincre et à celui qui n’a pas le temps de s’y intéresser plus, je dis simplement : avant 1977, il n’y a pas de dette. Après 1977, les intérêts totaux de la dette sont à peu près égaux au total de cette dette. ’Faut pas être un génie pour comprendre qu’à défaut de raconter totalement n’importe quoi, son travail est totalement inutile.

       
    • #294431
      Le Décembre 2012 à 12:24 par mc
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Il existe une interview de M.Rocard qui explique précisément ce qui est arrivé avec cette loi de 1973.

      Extrait : http://www.youtube.com/watch?v=D-nh...

      Sinon vous pouvez aller ecouter toute l’interview sur Europe1 (a partir de 12:55) la : http://www.europe1.fr/MediaCenter/E...

       
    • #294489
      Le Décembre 2012 à 14:05 par Holden
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Elle pinaille, mais j’ai l’ai vue mettre Chouard drôlement en difficulté ! Visiblement, elle a mis en lumière des points qu’il n’avait pas pris en compte.

      Si c’est vrai qu’avant 1973, l’Etat n’empruntait déjà pas auprès de la Banque de France à taux zéro pour se financer, ça relativise drôlement la portée de cette loi.

      Il y a un aspect à prendre en compte aussi : C’est qu’au moment du vote de cette loi, la plupart des grandes banques françaises était des établissements sous contrôle de l’Etat. La BNP, la Société Général, le Crédit Lyonnais, tout ça, c’était dans le giron de l’Etat (comme l’était les grands groupes comme Renault, Peugeot, Total, Elf...). Donc au moment du vote de cette loi, il n’y avait pas l’idée de faire un cadeau aux banques privées, puisque les principales banques françaises étaient publiques.

      Pour expliquer l’explosion de la dette, il semble donc abusif de se focaliser sur cette loi. Il a eu entre temps les chocs pétroliers, l’explosion du chômage, les baisses massives et successives d’impôt y compris aux plus riches, les privatisations de grands groupes, et surtout des banques. Puis il y a eu l’Acte Unique Européen, le traité de Maastricht, puis le traité de Lisbonne. A trop faire de cette fameuse loi un symbole, on perd peut-être de vue l’essentiel !

       
    • #294533
      Le Décembre 2012 à 16:03 par Thomas M.
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Oui, mais bon, il y a eu une série de réformes vers 1973 et la conséquence a été celle de la dette. De dire "oui, mais c’est pas la loi de 1973 seule qui…", on s’en fout, sérieusement. Et puis elle conclut que cette loi, on la "réécrirait ainsi aujourd’hui". Oui, certains oligarques apatrides et leurs marionnettes, certes, mais nous ne ferions certainement pas ainsi. A travers le texte de cette loi, on voit quand même l’esprit à la fois perfide et complexifié de ce qui va suivre.

      Ce que tu dis est cependant juste, il y a maintenant Maastricht et tout le reste, mais je pense que 1973 est une bonne date pour désigner le début de la phase actuelle.

      Et puis Chouard, qui est un type cultivé et qui a brassé très large, a mieux à faire qu’à se pencher sur un détail pareil. Chouard qui a bien identifié certaines causes - même si a mon avis le fait d’élire ou de ne pas élire ne résout pas le problème de l’influence de l’argent et des médias, et que c’est plutôt la rééducation, et que peu importe le système (dictature, "démocratie", monarchie…) ce sont la conscience et le rapport de force qui font la différence (ligne E&R) - il y a longtemps qu’il ne cite pas la loi de 1973 comme cause des causes. Alors si cette emmerdeuse veut absolument parler de ça, sans concept derrière, juste parce qu’elle s’est penchée là-dessus (ce qui est typiquement féminin ou innomable - selon Weininger c’est la même chose) je ne vois pas ce que ça apporte. Il est pris à contre-pied, car il n’a pas de réponse sur le moment, mais son travail va bien plus loin et ne repose justement pas sur ce détail. Par contre cette loi, tout comme Maastricht, est un bon indicateur politique : Merluchon n’en parle pas, MLP et NDA en parlent.

       
    • #294592
      Le Décembre 2012 à 18:07 par Holden
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Mélenchon en a parlé, et Emmanuel Todd aussi.

      Ce que dit Magali Pernin, c’est que la plupart des dispositions reprises par cette loi étaient déjà appliquées. Elle parle d’une loi de 1936.

      Pour se financer, l’Etat n’empruntait pas systématiquement à la banque de France à taux 0. Visiblement, il le faisait très rarement, voire jamais. La preuve les grands emprunts d’Etat : Emprunt Pinay, emprunt Giscard...

      Attention aux symboles faciles, qui deviennent des slogans publicitaires, permettent de faire le buzz en quelques mots, mais peuvent avoir surtout un effet "simplificateurs"...

       
    • #294731
      Le Décembre 2012 à 23:52 par Thomas M.
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      1936 ? En 1936, on n’autorisait pas la création monétaire sans or dans les coffres, donc l’état s’il n’avait pas d’or, devait s’arranger pour le trouver, c’est totalement différent, s’il vous plait ! C’est une des raisons qui a valu à l’Allemagne les foudres de Wall Street.

       
    • #294815
      Le Janvier 2013 à 05:42 par Thomas M.
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Bon, j’ai quand même lu tout son texte. Et vu tout le boulot que j’ai, j’aime pas trop perdre mon temps avec ça, mais un certain Jean Robin (ou Rabin) s’est emparé de la question. Bref, j’en reviens à ce que je disais au départ : femme, pilpoul, inutile et contre-productif, mais j’ajouterais aussi : erroné.

      Elle parle de l’amendement de 1972, or cet amendement (par hasard voté juste avant les fêtes de Noël) est présenté, du propre aveu de cette demoiselle, pour éviter un contournement de ce qu’il y avait précédemment. C’est donc bien un renforcement pour éviter que l’on puisse faire marcher la planche à billet (soit emprunter à taux zéro), porte qu’ouvrait la fin des accords de Bretton Woods (qu’elle ne mentionne d’ailleurs pas).

      La loi de 1973 (en fait votée pendant la même période festive) fait partie du même "emballage" qui vise à empêcher l’usage de ladite planche à billets, du propre aveu du parlementaire qui l’a initiée en novembre 1972.

      La loi de 1936, apparemment similaire, comporte néanmoins quelques différences significatives sur lesquelles je ne vais pas revenir, puisque l’esprit même de la loi 1973 est susmentionné et avoué.

      Maastricht, effectivement clarifie l’affaire (probablement pour raisons de language et d’internationalisation), mais je ferais remarquer à cette demoiselle que le mot "escompte" a beau être ancien, il a toujours une définition propre dans le dictionnaire de l’académie et qu’il ne correspond pas à une notion ancestrale à "l’open market" - terme qui est encore un aveu en soi - mais bien à l’expression en français d’une notion bien précise et différente de "l’open market", c’est pourquoi elle est enrobée d’autres mots qui rendent, de fait, le tout moins compréhensible.

      En fait, il faut le voir par étapes : la trahison monétaire commence avec la création de la Banque de France, si bien décrite par Guillemin et non en 1936. Ensuite, elle suit plusieurs phases, en France et ailleurs. La fin de Bretton Woods est le déclencheur de la phase 1973, mais il donne aussi lieu à cette "assurance" prise en 1973. En 1973, a lieu l’emprunt (dans ce même emballage) : que l’on dise l’emprunt Giscard, la fin de Bretton Woods ou la loi de 1973, on parle de la même chose. Pinailler sur un détail, je maintiens, n’apporte rien et cette loi fait partie de la même continuation dans la trahison, du même emballage.

      Le NOM est bâti sur la durée ; l’intérêt de parler de 1973 est qu’on peut y observer une manifestation absolument caractérisée de celui-ci

       
    • #294871
      Le Janvier 2013 à 12:01 par Holden
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Moi, ce qui m’intéresse, ce n’est pas de savoir si c’est "une femme" ou si elle est blonde, ou socialiste, ou umpiste, ou sioniste, ou zapatiste. Je m’en tape complètement !

      Elle affirme une chose qui pourrait se résumer ainsi : "La loi de 1973 n’a strictement rien changé au mode et aux possibilités de financement de l’Etat".

      Soit c’est vrai, soit c’est faux.

      Si c’est faux, il faut lui répondre par des arguments concrets. Etienne Chouard (que j’apprécie beaucoup par ailleurs) n’y est pas parvenu à ce jour. Et pourtant, c’est un bosseur, qui épluche tout.

       
    • #294875
      Le Janvier 2013 à 12:09 par Holden
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Voici ce qu’affirme Magali Pernin :

      1°) La loi de 1973 empêche l’Etat d’emprunter gratuitement à la Banque de France : FAUX.

      L’article 19 de cette même loi reconduit le système des conventions permettant ce type d’emprunt et redonne pouvoir au Parlement d’approuver ces dernières.

      2°) La loi de 1973 introduit la nécessité d’obtenir l’accord du Conseil de la Banque pour passer telles conventions empêche, de fait, leur passation : FAUX.

      La loi ne fait que reconduire le système déjà existant. L’accord de la Banque a toujours été demandé. Cela n’a pas empêché de multiples conventions d’être signées.

      3°) La loi de 1973 supprime la possibilité d’accorder des avances sur effets publics aux organismes publics : FAUX.

      L’article 24 de la loi autorise l’escompte et ne limite plus, contrairement au système précédent, la liste des organismes auxquels la Banque peut accorder des avances.

      Autrement dit, pour Pernin, après 1973 et jusqu’au Traité de Maastricht, les gouvernants avait toujours possibilité de se financer auprès de la Banque de France... mais ne le faisaient pas ! C’est peut-être ça, qu’il faudrait creuser, plutôt que de se focaliser sur une loi caduque qui n’a peut-être finalement rien changé ou pas grand chose !

       
    • #295184
      Le Janvier 2013 à 21:49 par Thomas M.
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Je n’ai visiblement pas été assez clair :

      Techniquement, elle a raison ; pratiquement, c’est du pilpoul.

      Alors, donnons lui une leçon de pilpoul :

      - page 3, pénultième paragraphe :
      << Présentant cet amendement comme une "sage précaution" permettant d’éviter que le Trésor public ne puisse "tourner la législation sur les émissions de monnaie ou de quasi monnaie […] par le biais de la présentation de bons de Trésor au réescompte de l’institut d’émission", la Commission des finances est à l’oritinge de l’ajout de l’article 29 : "Le Trésor public ne peut présenter ses propres effets au réescompte de l’institut d’émission".>>

      Clairement, on veut éviter que l’institut d’émission (càd la Banque de France) ne puisse racheter des bons du Trésor, soit souscrire un prêt. Cette loi, passée en 1972, initiée en novembre, votée mi-décembre, sera conservée dans la réforme de 1973 (en janvier), le tout coïncidant avec la fin des accords de Bretton Woods, entre 1971 et 1973.

      L’article de 1936 n’a pas la même teneur, même s’il ressemble au texte de 1972-1973, il n’est pas tout à fait identique. Ce qui visiblement était suffisant pour l’outrepasser dans le but d’emprunter à la Banque de France, directement, selon les dires mêmes du parlementaire qui l’a proposé.

      Donc ce que je disais, c’est qu’en résumé, l’emballage (package en anglais) initié avec la fin de Bretton Woods (plus de standard or du tout), l’amendement de 1972, la loi qui suit pendant les mêmes fêtes de Noël (mais début 1973) -la fameuse loi de 1973, donc -, et l’emprunt Giscard annoncé au nouvel an, on a une manifestation claire du NOM (selon le concept décrit par Pierre Hillard), pour réformer le système dans un sens qui arrange les banques.

      Maintenant qu’on a fait du pilpoul, je te dis que personne ne parle de cette loi de 1973 comme le noeud central, ni Soral, ni Chouard. La trahison commence bien plus tot avec Napoléon et la création de la Banque de France. Dans Comprendre l’Empire : "Robespierre tue le Roi, la banque tue Robespierre." En 1910-1913, on a une action concertée aux USA pour créer la Fed, soit environ un siècle après le coup en France. En 1971 : fin de la convertibilité or-dollar ; et en 1973 : fin de Bretton Woods. Entre 1972 et 1973, pendant les fêtes : nouvelle action concertée, à la fois parlementaire et gouvernementale pour empêcher la planche à billets, puis Maastricht en 1992, etc.

      Si cette action concertée implique peu du point de vue technique, elle vient soutenir les thèses d’AS ou d’EC.

       
    • #295194
      Le Janvier 2013 à 22:02 par Thomas M.
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Et comme il vient tout de même soutenir leurs thèses, le travail de Magali Perrin n’est pas contradictoire à celui d’Etienne.

      A partir de constatations justes : un certain système déjà en place, peu de changements, début en 1972, enrobage avec mention "d’inutile" à l’amendement -mais néanmoins accepté !- ; MP arrive à la conclusion fausse que l’on parle inutilement de 1973 ou majoritairement de 1973.

      Fausse, car :
      - Politiquement, parler de 1973 est plus rentable que de parler de complot mondial.

      - Si l’on parle de Maastricht, on pourra aussi nous dire qu’avant c’était pareil (qu’on se finançait aussi sur les marchés financiers).

      - Si la vulgarisation des changements très techniques de 1971-1973 n’est pas tout à fait exacte, il n’en est pas moins qu’on retrouve tout l’esprit mondialiste là-derrière.

      - (et 4, entre parenthèses presque) Je pense que si l’on parlait d’emprunt Giscard ou que l’on détaillait ce qui s’est passé entre 1971 et 1973, on pourrait parler de gauche et de droite (et dire que la gauche serait mieux que la droite), alors que la loi de 1973 et tout l’esprit de 1973 n’a jamais été réformé par Mitterand ou par la gauche : Mitterand a aboli la peine de mort, il n’a pas aboli la loi de 1973.

       
    • #295592
      Le Janvier 2013 à 19:40 par Stev
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      L’analyse de Magali Pernin montre qu’on s’est quand même focalisé un peu trop sur cette loi de 1973. L’ETat empruntait parfois au privé avant (mais la croissance des 30 glorieuses permettait de l’encaisser) et l’Etat pouvait emprunter à la Banque de France après 1973 mais ne le faisait pas sous prétexte juguler l’inflation.

      Je veux bien qu’on remonte à Napoléon et à la création de la Fed, mais si on est plus pragmatique, est-ce qu’il ne faudrait pas se concentrer sur la question de la monétisation de la dette ?

      Les USA et la Grande Bretagne, pays libéraux s’il en est, pays de la City et de Wall Street, n’hésitent pas à monétiser leur dette. L’Union Européenne l’interdit. Pourquoi ? Est-ce que le vrai enjeu n’est pas là ? De plus, les USA n’hésitent pas à faire du protectionnisme !

      Politiques économiques interdites aux Etats membres de l’UE !

       
    • #295791
      Le Janvier 2013 à 00:24 par Thomas M.
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Oui, avec pour seul bémol qu’on rappelle aux américains constamment leur dette colossale et ce que ça peut impliquer sur leur niveau de consommation. Les américains paient aussi des intérêts sur une dette illégitime et sont dans un chaos économico-social infernal. Est-ce vraiment cela qu’on veut ?

      Je pense que 1973 permet d’arriver à la dénonciation du mondialisme et à Soral, alors que parler strictement d’économie mène à toujours avoir un coup de retard. Et techniquement, 1973 reste une trahison non remise en question par la gauche ensuite.

       
  • #294219
    Le 30 décembre 2012 à 23:19 par Apocryphe
    Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

    J’aime beaucoup Etienne Chouard et son travail très intelligent et honnête sur les institutions, mais là j’ai l’impression que ce genre de débat c’est un peu Oui-oui au pays des Bisounours.

    Des constats justes, un public quasi unanime sur la dénonciation des travers de notre système politique et économique, mais ça parle toujours dans le vague, ça trouve des circonstances atténuantes aux politiques ou aux banquiers, ça ne veut froisser personne, ça veut éviter de porter le flan à toute critique diabolisante, bref ça s’interdit de trouver la solution pour défoncer la porte.

    Si les élites voient ce genre de vidéos elles doivent bien se marrer.

    Des moutons qui s’imaginent qu’en se mettant à beaucoup et en bêlant tous en coeur ils vont faire peur au loup. C’est un peu naïf. Le loup sautera dans le tas et les croquera les uns après les autres, en commençant par ceux qui bêlent le plus fort.

    Pour vaincre un loup il faut arrêter d’être un mouton et redevenir un bélier (mâle non châtré - toute la différence est là), foncer tête baissée, défoncer la porte, et briser les reins du loup. S’y mettre à plusieurs béliers bien couillus pour maximiser les chances de succès.

    Evidemment tout ce que je dis là n’est pas du tout politiquement correct, c’est même interdit de le dire dans une société de moutons, et généralement c’est les moutons eux-mêmes qui font règner cette interdiction entre eux.

    Pour renverser un régime il n’y a pas 36 solutions, il y en a 3 :
    1- le coup d’Etat (renversement interne au régime, donc besoin de l’accord des corps constitués)
    2- la révolution (décapitation du régime par un groupe de contestataires organisés et armés)
    3- l’invasion étrangère.

    Si on s’interdit toute violence, seule la solution 1 est possible pour changer de système sans effusion de sang, donc sauf à convaincre tous les militaires, policiers, douaniers et gendarmes, la chose est quasiment impossible. Convaincre les éléments clés serait peut-être toutefois suffisant, mais il y a du pain sur la planche.

    La solution 2 n’est pas du tout souhaitable, car elle signifierait la guerre civile et un bain de sang. Mais comme on dit on ne fait pas d’omelettes sans casser les oeufs.

    La solution 3 est problématique car elle exige une guerre et une défaite. Et rien ne garantit que les chars russes à Paris (par exemple) soit une véritable libération ni un changement de système, plutôt un changement de maîtres.

    Ceci dit réfléchir sur les institutions idéales c’est un très bon début.

     

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    • #294347
      Le Décembre 2012 à 09:07 par Thomas M.
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      D’accord sur tout, sauf sur les solutions, car aucune n’est populaire et ne sert généralement qu’à instaurer un autre chef plus méchant. Informer, faire réfléchir, créer des réseaux et petit à petit renverser le rapport de force est la seule solution. Elle n’est pas radicale, elle est lente et fastidieuse ; comme dit Soral : on n’y arrivera probablement pas.

       
    • #294496
      Le Décembre 2012 à 14:15 par Ikol
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Je rajouterai qu’en plus de la naïveté apparente et sans doute réelle de Chouard, il oublie souvent l’international, pour que son idée virale fonctionne, il faudrait qu’elle soit planétaire, et pas seulement locale, la France étant déjà suffisamment affaiblie comme ça, si on applique la gentille idée de Chouard à ce seul territoire, en admettant déjà que ça fonctionne, la France sera t’elle le seul état gentil et transparent aux milieux des loups qui n’ont pas encore changés ? La perfide Albion va t’elle tout à coup devenir honnête et gentille parce que la France l’est devenue ? J’en doute...

      Comme dit Soral, ce ne sera qu’après rééducation des peuples, de la base, par la ré-information et la vérité historique, politique, sociologique, etc ré-établie et acquise par le plus grand nombre qu’un changement sera possible et que les parasites pourront éventuellement être éradiqués, pas avant. Inutile de dire qu’il y a encore du boulot, et que les parasites, ont déjà prévu toutes les hypothèses, et s’y sont déjà préparés. Les parasites, risquent donc bien d’éradiquer les moutons bien avant qu’ils ne redeviennent des béliers couillus...

      Bonne année à tous.... mon cul sur la commode

       
    • #294849
      Le Janvier 2013 à 10:38 par miyagi
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      Au final, si tu regardes l’histoire des slaves tu comprendras qu’à l’heure actuelle beaucoup de gens s’en moqueraient de l’arrivée des chars russes à Paris..

       
  • #294279
    Le 31 décembre 2012 à 01:56 par Dude
    Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

    La cause des causes, il en est encore loin ce bon etienne.

    Elle est différente suivant ses croyances ! Et comme il n’y a qu’une seule verité, celle qui rend libre, c’est assez simple de s’y retrouver.

    Bonne fin d’année.

     

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    • #294405
      Le Décembre 2012 à 11:41 par Bug2410
      Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

      La notion centrale d’Etienne Chouard - d’une “idée virale” alliée à celle de “causalité première” - est a priori intéressante. Elle provient en fait des théories communicationnelles, de l’auto-organisation, de la dynamique des “mèmes”, etc., qui s’insèrent dans le paradigme darwiniste... tout comme le néo-capitalisme, d’où leurs efficacité puisque ces modèles généralisent à la sphère humaine les processus énergétiques naturels : reproduction altérable par mutations et bricolage, alliée à la viralité par diffusion et sélection.
      Le “hic”, c’est que peu à peu Chouard, vite débordé au cours de l’aggravation de la crise, va s’apercevoir que cette causalité première et virale existe depuis belle lurette. Il s’agit d’une mutation-cristallisation mentale déjà multiséculaire et fort efficace, puisque à la fois causaliste et pulsionnelle, poussée jusqu’au sacrificiel (non pas de soi mais de l’autre).
      Certains l’auront reconnue, cette expression de la révolte spontanée lors de toute grande crise en société monothéiste : “c’est-la-faute-des-juifs”, qui a “marché” de multiples fois, ralliant les “braves gens” contre les “salauds” oppresseurs à coups d’usure, d’influences cryptiques auprès des pouvoirs, etc.
      Hélas, tout n’est pas faux : une fraction de cette communauté : les Kissinger, Madoff, DSK, BHL, l’AIPAC, le CRIF, etc., l’illustrent au quotidien et depuis fort longtemps...
      Mais cette élite est quasi inatteignable, sinon par quelques “attentats pâtissiers” ou dérapages scandaleux dûment réprimés. Alors que le “petit peuple juif” de base, non loin de chez soi, est une cible idéale pour tenter de “réguler” cette communauté trop organisée et jugée responsable du mal, en la frappant à sa base et tous ensemble - dilution de la culpabilité.
      Or cette propension judéo-accusatoire goyimo-virale sert les sionistes, grands manipulateurs de l’“antisémitisme”, pour inciter la diaspora à trouver refuge en Israël et renforcer ainsi le délire colonialo-obsidional, œil du cyclone qu’il fomente et alimente en terres arabo-musulmanes.
      Reste donc à penser au plus vite et au plus loin cette dynamique de cristallisation-diffusion judéophobe afin de ne pas en être l’agent irréfléchi lorsque la vague nous sollicite - ce que ne fait pas le gentil et naïf apprenti-sorcier Chouard dans sa fort dangereuse quête d’une” idée primo-causale et virale... Aux cadres d’E&R de trouver et diffuser une alternative crédible à la tentation cathartique du progrom.

       
  • #294342
    Le 31 décembre 2012 à 08:07 par anonyme
    Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

    Petit point de vue :
    Etienne Chouard, écrit les tables de la loi, le pouvoir au peuple, démocratie participative.
    Il ne reste plus qu’à mettre en oeuvre concrètement et c’est là le gros morceau de l’affaire.
    Les consciences du commun ne comprennent pas encore dans quel monde elles vivent, mais les ingrédients d’une révolte sont là.
    Notre époque peut être définie comme les marches d’un escalier libéral ou on ne ferait que descendre de plus en plus, vers les années 1880, celles que décrit Jack London dans le quartier est de Londres, ou se trouve la masse du peuple prolétaire, et ce dans la période la plus florissante du libéralisme Anglais, l’espérance de vie n’était que de 35 ans et la taille 1m50, une population souffrant de tout.
    Je ne sais plus qui a dit que pour tenir un peuple il fallait s’en prendre aux glandes.
    C’est bien pour ça que le système n’a pas besoin d’une immense police il se maintient comme le dit justement E Chouard, par la colonisation des consciences, journaux etc etc.
    Mais tout ça ne dure qu’un temps, l’Amérique latine en a été longtemps le laboratoire, jusqu’au moment ou le peuple en masse rejette les parasites.
    Si on réfléchit bien il n’y a pas 36 façons de renverser un régime, la révolution = explosion le pourrissement = implosion.
    Les gens qui réfléchissent un tant soi peu sur cette société, sont taxés de négatifs, or ce n’est que de la lucidité, les choses commencent toujours à bouger à cause d’un petit nombre, et les libéraux le savent ils savent quoi ? Ils savent que ça va péter, ça c’est une certitude, ce qui empêche pour le moment une révolution, c’est que entre autre les gens sont isolés les uns des autres et satellisés dans leur coin avec leur délires perso.
    Mais dans un temps pas si lointain que ça, vu le stakhanovisme de la destruction libérale, il sera alors temps d’appliquer la vraie démocratie d’ E Chouard.

     

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  • #294813
    Le 1er janvier 2013 à 05:38 par pacifique&craintif
    Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse

    une synthése passionnante de sa théorie avec quelques mises au point qui s’avéraient indispensables ! je suis, aujourd’hui, encore un peu plus convaincu par e. Chouard ! merci.

     

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