En mars 2013, la France et la Grande-Bretagne annonçaient leur intention de livrer des armes à ceux que les chancelleries occidentales et les médias alignés appellent les « rebelles » syriens, dont on sait depuis des années qu’ils ne sont ni syriens ni « rebelles », mais pour la plupart étrangers et djihadistes, se livrant à une attaque en règle de la Syrie, de son armée et de sa population par des décapitations et autres exactions d’une violence inouïe.
En août 2014, ces livraisons d’armes étaient confirmées par François Hollande lui-même :
« Les rebelles syriens méritent tout notre soutien ». François Hollande a été clair sur sa position en Syrie, ravagée par la guerre civile depuis plus de trois ans, dans son interview donnée au journal Le Monde, jeudi.
Lutte contre l’État islamique : neuf pays ont promis des armes aux Kurdes Quelques heures plus tard, ce jeudi, lors d’une visite à La Réunion, le chef de l’État français est allé plus loin, confirmant une rumeur qui courait depuis plusieurs mois.
La France a bien livré des armes aux rebelles Syriens, en lutte contre les forces loyalistes. Ces livraisons sont intervenues « il y a plusieurs mois, quand des rebelles syriens faisaient face à la fois aux armées du dictateur Bachar al-Assad et au comportement de ce groupe terroriste, l’État islamique », a détaillé François Hollande.