Malgré les tirs de barrage quotidiens des agents du Système qui promeuvent la solution vaccinale contre une grippe aux variants qui partent dans tous les sens, au détriment des solutions comme l’hydroxychloroquine (associée à l’azithromycine) ou l’ivermectine, la position du Pr Raoult se renforce chaque jour.
Chemin (à 2’29) : Il a surgi d’un coup, il est devenu quelqu’un d’extrêmement connu dans tous les pays du monde, et ça, ça n’a eu lieu dans aucun autre pays que la France, ça me semblait intéressant de savoir comment, qu’est-ce qu’il y a de si français, pourquoi la France est emballée à ce point par un médecin.
Blonde : Est-ce que c’est très français de chercher un homme providentiel dans un moment de crise ou c’est très humain ?
Chemin : C’est très français, et c’est très de l’époque. Je pense que Didier Raoult il a pratiqué une forme de, je dirais de populisme médical, qui correspond bien à l’air du temps, hein, c’est vrai. Il est à la fois dans l’élite et il se revendique, il dit « moi je fais partie de l’élite », il a été un microbiologiste fameux, il a trouvé des bactéries, des virus, il a eu le prix de l’Inserm, et en même temps, tout d’un coup, on ne sait pas pourquoi, alors que ça aurait dû être son moment, il aurait dû être le meilleur, on lui avait offert un infectiopole à Marseille, tout d’un coup, il a tout faux.
L’accusation anti-Raoult du jour : le « populisme médical »
Face aux accusations de populisme d’Ariane Chemin, largement et complaisamment relayées par France 24, on ne compte plus les décès dus au vaccin, les effets secondaires imprévus ou alors trop prévisibles, sans oublier ceux qui vont immanquablement se développer dans les années qui viennent. Dans cet océan de désinformation politique, Didier Raoult, imperturbable, continue d’appliquer son principe simple et vieux comme le monde : diagnostiquer, et traiter. Et expliquer, bien sûr. Un travail de fond sous les attaques indignes de Karine Lacombe, Élisabeth Bik, et de tout l’appareil de propagande agité par le Big Pharma.
Une petite piqûre de rappel wikipédiatique pour Karine Lacombe, qui a touché de l’argent de Gilead, dont le remdésivir a fini par être déconseillé par l’OMS :
En juin 2020, avant d’avoir des preuves solides d’efficacité, Gilead le vend aux États-Unis 2340 dollars [1932 euros, NDLR] le traitement. Ce prix est jugé très élevé par beaucoup, notamment en comparaison de ses coûts de production et de son efficacité estimée à l’heure actuelle.
Sa mise sur le marché européen est autorisée le 3 juillet 2020, sous le nom Veklury. Il n’est pas remboursé par la sécurité sociale en France, mais il existe un stock en Europe et en France. Après une première commande de 33 380 doses, la Commission européenne en commande, début octobre 2020, 500 000 doses.
Finalement, le 20 novembre 2020 l’OMS confirme, sur la base de plusieurs études, que le remdésivir « n’est pas conseillé pour les patients hospitalisés pour le Covid-19, quel que soit le degré de gravité de leur maladie, car il n’y a actuellement pas de preuve qu’il améliore la survie ni qu’il permette d’éviter d’être placé sous ventilation artificielle ». Le professeur Didier Raoult décrit le Remdesivir comme un agent mutagène.
On a sorti notre calculette : 500 000 x 1932 = 966 000 000, soit près d’un milliard d’euros foutus à la poubelle, pour les Européens. Mais qui ont été alourdir les coffres de Gilead, qui pourra ainsi continuer à acheter des soignants. On ne s’étonnera pas alors de la colère de Didier Raoult et de tous les Français épris de justice, d’honnêteté, toutes ces valeurs réactionnaires et populistes.
« Vous venez d’assister à la plus grande escroquerie que je n’ai jamais vue de ma vie. »
C’est un des sonores qui lancent l’émission de Bercoff sur Sud Radio du 4 juin 2021 consacrée à la publication des mails et courriers de Fauci. Pour ceux qui ne connaissent pas ce personnage et sa fonction, ce serait la contraction de Delfraissy, Véran et Salomon, mais avec plus de profondeur et de noirceur, politiquement s’entend. Fauci est au centre de la politique sanitaire américaine depuis des décennies, et il a commencé, comme par hasard, sous le régime du VIH, ce mystérieux « virus » du sida qui a fait gagner des milliards aux labos. En conflit ouvert avec Trump, il respire sous l’ère Biden, le pédophile corrompu loué par toute la presse française.
- Fauci en compagnie de madame Biden en visite dans une école
Il faut attendre dix longues minutes pour que Bercoff daigne laisser la parole à Raoult, qui entre tout de suite dans le lard de Delfraissy, le président du Conseil scientifique.
« Vous voyez bien que je ne peux pas travailler avec des gens qui parlent de moi comme ça... Moi, la dernière fois que j’ai parlé avec Delfraissy, c’est quand il m’expliquait qu’il fallait confiner. Il n’y avait aucune évidence dans le monde, il n’y a toujours aucune évidence que le confinement serve à quelque chose. Donc c’est une décision de Delfraissy, pas du Conseil scientifique, j’étais en désaccord à partir du moment où les choix ne sont pas faits collectivement, c’est pas la peine de me faire perdre mon temps, je ne suis pas une marionnette.
La deuxième chose que je savais et sur laquelle, avec quoi j’étais en désaccord, c’était que les essais thérapeutiques n’ont pas du tout été dirigés par le Conseil scientifique, pas plus que les appels d’offre. Donc c’est pas un Conseil scientifique, c’est un conseil de copains de Delfraissy, c’est pas sérieux.
Dans un monde qui a deux sous de bon sens, le protocole qui concernait l’hydroxychloroquine aurait dû m’être soumis parce que je suis celui qui a le plus l’expérience de l’hydroxychloroquine dans ce pays pour traiter les maladies infectieuses, et je n’aurais pas utilisé les doses qu’ils ont utilisées et je l’aurais utilisée en association avec l’azithromycine. »
« Il n’y a toujours aucune évidence que le confinement serve à quelque chose », affirme Raoult. Il sert probablement à autre chose, quand on voit l’image en grand, the big picture, qui englobe le changement de paradigme économique et social que nous sommes tous en train de vivre, et de subir.
Raoult prononce alors des mots lourds de sens, pour le futur et les responsables de cette immense escroquerie, dont le Pr Peronne disait, en 2020, qu’elle avait coûté la vie à 25 000 Français de trop. Et on ne parle que des Français... Car l’opération « Covid-19 » est mondialisée.
« Vous, vous essayez de faire les choses un peu différemment, j’y peux rien, c’est une déformation professionnelle, le journalisme a une vérité quotidienne, c’est même sa nature. Nous, on a des objectifs qui sont à moyen ou à plus long terme, et la justice encore plus longue. Donc il faut se méfier parce que il y aura un temps pour l’analyse, un temps pour l’émergence de la réalité, et un temps pour la justice. »