Raoult explique : la dose posologique utilisée par les prétendus experts ou professionnels pour tester l’efficacité de l’hydroxychloroquine égale 2,4 grammes, ce qui représente 3 fois la dose certifiée conforme par Didier Raoult eu égard à sa pratique fondée sur 30 ans de soins thérapeutiques, soit : 800 milligramme. Mais z’encore, la dose utilisée par d’autres expérimentateurs représente une moyenne située entre 2 tiers et la moitié des 800 milligrammes, ce qui équivaut à une posologie allant de 270 à 400 milligrammes d’hydroxychloroquine.
Ainsi donc, dans un cas comme dans l’autre, les tests effectués pour valider l’efficacité du remède représentent soit trop soit pas assez d’hydroxychloroquine :
3 fois la dose conforme
2/3 ou la moitié de la dose conforme
En outre, pourquoi les autorités - politique et médicale - ne s’alignent pas sur la méthodologie effectuée par Didier Raoult durant 30 ans, reconnue par ses pairs à l’international ?
Houuuu la vilaine grosse question complotiste.
Voilà-t-y pas les périodiques "recorvery" et discovery" mettre en lumière les tests exagérant la dose, d’où une résultante faussée, voilà-t-y pas itou une étude française de solidarité mettre en lumière le test minimisant la dose d’où un résultat itou vicié.
Bienvenu dans le monde des comploteurs dénoncés par les complotistes ceux-ci accusés d’être d’horribles complotistes et les comploteurs d’être accusés à tord, de quoi déjà ? D’être d’innocents bisounours persécutés par les complotistes.
Et dire que Didier Raoult va jusqu’à alléguer : les études via les doses surcotées-souscotées sont des études honnêtes à 3:29. Honnêtes dans le sens où les testeurs ne falsifient pas les résultats mais usent d’une posologie trompeuse à souhait. À l’instar d’un certain "Nico White" selon les testeurs, mais Didier Raoult le connais, ça ne peut pas être lui.
À quand une enquête sur les bobards (fake-news) des périodiques médicaux anglo-saxons et autres ? C’est comme solliciter un mafieux se tirer une balle dans le pied.
Et Beurk-off d’interroger : de quel façon expliquer ces périodiques, itou le Lancet [menteur], colporter des informations corrompues ? mais faut expliquer ça sans tomber dans le complotisme !
À cet instant j’arrête de visionner (pour plus tard), car, poser la question sur : pourquoi la malhonnêteté médiatique, mais sans tomber dans le complotisme relève d’une exigence malhonnête sinon même du discours comploteur. Comme si les complots n’existaient pas.
Dégage Beurk-euff.
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