« Cette vision unidimensionnelle se retrouve dans ce que l’on désigne aujourd’hui avec les termes “racisme” et “antiracisme”. Ces deux positions procèdent d’une même vision du monde, matérialiste et quantitative. Aussi, leur opposition est fausse et concoure, de façon complémentaire, à renforcer le système moderne, le premier par dénigrement et réductionnisme, le second par assimilation puis dilution. Elles conduisent à reconnaître ou à façonner et à glorifier une race unique. D’ailleurs, il est probable qu’à l’ultime fin de notre cycle, lorsque l’humanité sera entièrement antéchristique, “racisme” et “antiracisme” se rejoindront pour célébrer la même société. »