Pour une conscience sorallienne, voir Noah poser avec Dieudo c’est comme voir un grand drogué pris en photo devant un centre de désintox.
Pas de quoi en faire un plat.
Ce n’est qu’une photo nom d’un sioux !
S’en réjouir, c’est bien. Crier victoire trop vite, inconscient.
On est d’accord.
Les grands drogués rechutent et se font corrompre facilement pour une dose de plus.
Se méfier donc... Mais de quel droit les insulter ?
Pardonnons mes frères...
Ou devrais-je dire, Dieudonnons !?
Noah a encore la chance de pouvoir s’exprimer à grande échelle.
C’est là une opportunité de glisser une grosse quenelle à tonton sion et à faire prendre conscience à quelques nouveaux prolos de leurs conditions d’esclaves.
Son avis n’a pas grand importance. Pas plus que le mien ou que celui de la majorité de ceux qui lui crachent à la gueule maintenant.
C’est la Résistance générale qui importe.
@ Jeff, Isaak Goldenschluks, Nico, fr, N., baldo et tous les autres scandalisés
On me propose 200 000 euros demain pour me foutre en slip pendant 1 heure et prendre trois photos, perso, j’aurais du mal à dire non, même si cela chagrine mon éthique.
Il m’a fallu personnellement deux ans avant de pouvoir argumenter mon soutient à Dieudonné. J’étais victime de l’aliénante propagande tout autant que Noah, sauf que je n’avais pas autant d’argent sur mon compte en banque.
Il a fallut qu’un jour je défende Dieudo sans autre raison que mon flair face à un compagnon abusé, et qu’un an plus tard ce dernier s’excuse et m’invite à croquer au fruit défendu. Oser goûter à la Shoananass c’est un suicide social ! Mieux vaut être accompagné.
Que certains y aient croqué plus tôt que d’autre doit il leur octroyer le droit de saper les nouvelles consciences libres qui se présentent ?
Dois-je cracher sur ma famille et mes amis car ils n’ont pas encore réalisé l’ampleur de la supercherie ? Dois-je me moquer d’eux le jour où ils y parviennent ?
Ce débat est bougrement intéressant car, dans le fond, il prouve que Dieudo n’agit pas qu’en subversif. Il n’a aucune limite. Aucun souci de choquer, jusqu’à ceux qui l’encensent. Respect.
J.
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