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Quenelle des violences conjugales, contre-feu bidon du couple Édouard–Schiappa

 

 

C’est la dernière carte sortie par la Macronie pour se sortir d’affaire(s) : le Grenelle des violences conjugales. Alors que les Gilets jaunes, hommes et femmes réunis, manifestent depuis le 17 novembre 2018 pour leurs droits sociaux, piétinés par les talons aiguilles du libéralisme macronien, que la France recule sur tous les tableaux importants – l’éducation, la santé, la diplomatie –, la petite caste déjantée au pouvoir essaye de séparer les Français en communiquant sur la violence masculine.

 

La violence masculine, parlons-en : on sait tous que ce sont les hommes qui en pâtissent le plus car la violence hommes/hommes est la plus courante. Oui mais il y a le féminisme victimaire qui hurle « aux médias, aux médias ! », sur le modèle des minorités sioniste et homosexuelle, à chaque fois qu’on touche à une cheveu d’une femme.

 

 

Ainsi, dans la bouche du sous-ministre Schiappa et de son boss Édouard Philippe, la violence sociale que le haut exerce sur le bas disparaît opportunément pour laisser la place à la violence horizontale des hommes envers les femmes. Une violence physique, précisons-le, car les hommes sont plus forts que les femmes, de ce point de vue, sauf peut-être les deux judokates françaises qui ont remporté la médaille d’or aux championnats du monde, et aussi de Marlène, qui ne doit pas être facile à mettre à terre.

 

 

Cette violence, latente ou explosive, existe depuis la nuit de temps et les femmes ont eu le temps d’appendre à manipuler les hommes. Mais cela ne suffit parfois pas et un homme en colère se met à battre sa femme. Rien à dire, c’est mal, c’est la preuve qu’il est encore un primate, bien que les singes ne battent pas leurs guenons, ils se font plutôt la guerre entre eux, comme les chimpanzés.

Mais c’est oublier la violence morale que les femmes font subir aux hommes, qui ne savent pas réagir à ce genre d’agression, puisqu’ils n’ont pas le droit de battre leur femme. Très insidieux, et très réel : cela explique en partie l’alcoolisme et la dépression d’hommes qui ne comprennent pas pourquoi leur compagne les méprise. Pas assez riche, pas assez beau, pas assez fort, pas assez intelligent, pas assez viril, la litanie des reproches quotidiens mène les hommes fragiles à la lente dépréciation d’eux-mêmes, et parfois au suicide.

 

 

Pas la peine de chercher des stats ou des preuves, les cas pullulent, autant sinon plus que les femmes battues par leur mec. Mais ce ne sont pas les mêmes : chaque sexe a son lot de victimes et de bourreaux, et dans ce fatras psychologique ou amoureux, bienheureux celui qui peut tirer des conclusions. Cela n’empêche pas Schiappa de déconner à pleins tubes sur un sujet qu’elle ne maîtrise pas, ou dont elle ne voit que la partie qui l’arrange.

Bien sûr qu’il faut neutraliser un homme qui terrorise sa femme, mais les coups ne sont pas toujours visibles, et l’âme humaine est complexe. Une femme éduquée dans la violence ira vers un homme violent, qu’elle aura choisi inconsciemment. Psychologie de café du commerce ? Oui mais c’est du tangible. Les hommes ne sont pas parfaits, les femmes non plus.

 

 

Ça n’a pas loupé : pour ne pas paraître sexistes, les andouilles de service embrayent dans le piège gouvernemental... Déjà qu’on les traite d’antisémites, si en plus ils doivent se fader le fardeau du féminicidisme (il y a bien une Caroline de Haas ou une créature horripilante du même genre qui va nous pondre ça un jour) !

 

 

Comme si l’argent pouvait changer grand-chose à la connerie humaine, et on souligne humaine, qui comprend les hommes ET les femmes !

Sur ce, on va aller tarter notre stagiaire juif homosexuel et foutre une taloche à notre secrétaire transgenre soumise. Ça va nous défouler de la connerie gouvernementale.

 

La violence conjugale des femmes

Violences conjugales. Non, ce n’est pas encore Noël. Mais j’ai les boules. Cette photo, c’est un sapin de plus de 25 mètres au sommet duquel, il y a 10 ans à peine, mon ami Jojo Masson avait grimpé pour y accrocher une grosse boule, juste pour le plaisir, juste pour étonner, juste pour rire. C’était une de ses spécialités. Un vrai casse-cou, autant qu’il était joyeux et bon vivant. Lui qui était si fier de son brevet de parachutiste.

Dimanche dernier, Jojo est passé. Il était méconnaissable, chancelant. Sa peau était usée, comme un vieillard de 90 ans alors qu’il en avait 30 de moins, trahissant 10 années de misère et de déchéance. Assis sur une marche de l’escalier devant la maison, je l’ai vu jeter un long regard à ce sapin. Il était désormais incapable de franchir les ronces jusqu’à son pied. C’était fini pour lui. Quand il est parti, je me suis dit : il va mourir.

Je n’ai pas pour habitude de commenter l’actualité sociale, encore moins à chaud, mais on nous demande avec beaucoup d’émotion de refuser la violence faite aux femmes, forcément par des hommes violents. Il nous faut affronter ces visages tuméfiés, ces récits sanglants, les témoignages des victimes lorsqu’elles le peuvent encore, leur vaines soumissions, les harcèlements subis, leurs espoirs trahis pour tenter de sauver une famille, une vie.

Mais mon ami Jojo n’était pas une femme, il n’a pas pris de baffes ni de coups, je veux dire physiquement, et pourtant il était détruit. Détruit par la séparation, détruit par son ex-femme qui l’a manipulé perversement pendant des années, qui a dressé ses enfants contre lui, le réduisant à la solitude, à l’abandon, à la culpabilisation, soufflant le chaud et le froid selon ses caprices et l’état de sa victime humiliée.

Lire la suite du témoignage ici.

Le respect de l’agenda progressiste, sur E&R :

 






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102 Commentaires

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  • #2271725

    Ce n’est pas seulement un contre feu et cela n’a rien de bidon.Il faut vous réveiller.
    C’est très grave.Ils alimentent l’arsenal réprésif special contre les hommes.Les médias n’arrêtent pas d’en parler.Beaucoup de femmes se sentent de plus en plus tout permis avec leur conjoint et avec n’importe qui.On sent qu’au moindre pretexte elles sont prêtes à hurler aux violences faites aux femmes.

    Ces lois ne visent pas du tout à protéger les victimes de "féminicides" mot qui devrait être interdit,elles sont mortes on ne peut rien pour elles.Ces lois visent à controler,enfermer,mépriser,insulter,emasculer les hommes.C’est clairement de la castration.Les hommes ont peur désormais.Un film comme "la gifle" sera bientôt interdit.Une femme qui t’insulte,te trompe,te trahit,ou met sa vie en danger en menacant de se suicider par exemple,tu ne peux que lui dire merci ou pleurer.Sinon c’est la taule avec les racailles à 4 par cellule.Voila la société d’aujourd’hui.Une société ultra violente qui vient donner des leçons de morale et qui veut s’immiscer dans la vie intime des couples.

    Evidemment une femme innocente,victime d’un abruti,qu’elle a choisi,doit être protégée si elle le quitte ou si elle est en incapacité de le quitter.Elle l’est déjà par la loi d’ailleurs.Ils utilisent des cas extrêmes ou la police ne fait rien ou ne peut rien faire pour entrer dans les couples et y imposer leur loi.Ils manipulent les esprits pour empêcher hommes et femmes de réguler naturellement leurs relations.Bientot la pénétration même consentie par lettre recommandée sera considérée comme un acte agressif et condamnable.

    Les femmes sont comme les hommes.Aucune loi speciale ne devrait les protéger.Ce sont aux hommes et aux femmes de gérer leurs relations personnelles.Si une femme est frappée par son conjoint,c’est à elle de savoir si elle l’a mérité,et si elle veut rester ou non avec la personne.Elle ne doit pas faire de dénonciation.

     

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  • #2271731

    Sur la photo de l’article de RT avec Schiappa, on dirait une belle bande victimes, la tête penchée l’air vide, Fourest heureuse d’exister un peu au travers de cette photo ... Bref une synthèse.

     

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  • #2271768
    Le 5 septembre 2019 à 14:05 par Alençon
    Quenelle des violences conjugales, contre-feu bidon du couple (...)

    les violences conjugales sont 1 sujet qui n’ a pas de raison d’ être scindé entre 2 catégories distinctes : celles subies par les femmes et celles subies par les hommes (les enfants constituant une catégorie tierce)..
    à moins, que le propos du gouvernement soit une opération de propagande féministe, donc lesbo-féministe, de plus ?! et c’est malheureusement le cas, selon l’ avis même des experts attachés à cette cause.
    ce lobby, sur le modèle des autres, se moque bien des quelques solutions qui pourrait améliorer le quotidien des publics concernés, il veut du fric, du pouvoir, et surtout "faire inscrire dans la loi ses privilèges"...comme les bons élèves de sion qu’elles sont !

     

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  • #2271840
    Le 5 septembre 2019 à 15:35 par Sabrosa
    Quenelle des violences conjugales, contre-feu bidon du couple (...)

    Pour avoir travaillé de longues années auprès de femmes ayant subi des violences je peux affirmer :
    Qu’une femme qui veut réellement se sortir des griffes de son conjoint a tous les moyens pour le faire dans notre pays, elle sera totalement prise en charge et aidée à se reconstruire avec ses enfants, il existe même des maisons "cachées" où elles peuvent se réfugier provisoirement pour que leur trace soit perdue,
    Que la quasi totalité d’entre elles reviennent d’elles-même vers leur conjoint car elles se complaisent dans des relations conflictuelles et violentes.
    En revanche, combien d’hommes ne voit-on pas qui subissent la tyranie et la toute-puissance de véritables garces à qui ils ont tout laissé, se retrouvant sans le sou, vivant dans des logements minuscules, quémandant la garde de leurs enfants, humiliés, perdus...
    Bien sûr ils ont leur part de responsabilité, trop gentils, trop faibles...mais qui s’en soucie ? Où peut on lire un article sur la paupérisation des hommes après la séparation ?

     

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  • #2271882
    Le 5 septembre 2019 à 16:44 par godchau99
    Quenelle des violences conjugales, contre-feu bidon du couple (...)

    Je conseille la lecture du livre " L’homme tue et la femme rend fou" de Philippe de Vulpillières. Extrait : "La sauvagerie physique étant masculine et la sauvagerie psychique étant féminine, il est tout aussi vil, bas et déloyal pour une femme de s’attaquer psychiquement (mépris et humiliation) à un homme qu’il est vil, bas et déloyal pour un homme de s’attaquer physiquement (coup et blessures) à une femme." Tous les hommes ne sont pas des assassins et toutes les femmes ne sont pas des suicideuses.

     

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  • #2271980

    MDR, caroline fourest au grenelle des violences conjugales ...........elle a pris une rouste de sa conjointe ?

     

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  • #2272052

    Les femmes ont oublié quelque chose. Qui sait qui va se battre pour son foyer,qui va se battre en guerre etc.la femme doit s’occuper du foyer et de l’éducation des enfants. L’homme travail de c’est main. Il protège sa famille le femme range le foyer elle doit être douce et c’est réciproque, l’homme doit être reconnaissant du travail accompli de sà femme. Et l’amour vient naturellement. Le jour où un escadron ennemis approche. Les femmes feront quoi surtout dire quoi. Mon mari protège nous ou on sont les hommes pour nous défendre. Et ben il y en a plus. Mes dames .vois les avez tous castré. Débrouiller vous maintenant. Et vive le féminisme. Et maintenant passer tous à la casserole et dite un grand merci. MERCI À TOUT CES gouvernement.

     

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  • #2272118
    Le 5 septembre 2019 à 20:50 par biquette
    Quenelle des violences conjugales, contre-feu bidon du couple (...)

    Ben moi j’ai refait ma vie avec une chèvre. Docile, pas difficile et toujours disponible ! Mêêêêêh ! Me dit-elle parfois. Ya pas de "mais", je lui réponds ! Et tout se passe bien.

     

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  • #2272343
    Le 6 septembre 2019 à 07:43 par si on peut plus déconner
    Quenelle des violences conjugales, contre-feu bidon du couple (...)

    Non pas d’amalgames , c’est stigmatisant pour les gars qui dérouillent leurs femmes, je propose un ou deux #achtag
    « #MeTooJeDérouilleMaPouf, #BalanceTaFemmeContreUnMur ,#C’estMaPoufC’estMonChoix et #JeSuisFéminicide »
    Les castagneurs aussi ont des droits ,non ?
    Collectif, on veut être des sauvages, comme Jacqueline Sauvage !!!!!!

     

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  • #2272904
    Le 6 septembre 2019 à 22:34 par listener
    Quenelle des violences conjugales, contre-feu bidon du couple (...)

    Il faudrait faire admettre une fois pour toutes que les rapports hommes femmes (comme d’ailleurs les règles de la grammaire) sont surtout réglés par les MOEURS, les coutumes, les usages, qui sont si complexes et subtils qu’ils le font très bien.

    Faire intervenir la brutalité de la loi risque d’aboutir à quelque chose de grotesque puisque toute loi est neutre comme tout jugement est impartial. Car ce que veulent en fait les féministes, c’est avoir les juges pour eux. Donc des "juges partiaux" ce qui est impossible.Des juges comme en Union Soviétique qui ont jugé avant d’entendre la cause. Donc des juges qui ne sont pas des juges. Donc de détruire la société car c’est le juge qui est au centre de la société. Pas de juge, pas de société.

    Déjà le législateur est embêté car il n’arrive pas à trouver la solution : comment rédiger une loi partiale qui donne raison systématiquement aux femmes que le législateur ne peut pas nommer comme catégorie juridique, et tort aux hommes ? On y est déjà parvenu avec les juifs en recourant au jugement de Nuremberg et en en faisant une loi-jugement. Pas joli joli mais la terreur règne.

    Mais les femmes ? Peuvent-elles faire régner la terreur ? Toutes ces idioties finiront par produire des flux financiers en directions d’associations d’emmerdeuses qui s’enrichiront. Donc des convoitises. Donc des "protecteurs", car là où il y a femmes ET des flux d’argent, il y a des "protecteurs", autrement dit, des maquereaux. . Les femmes ne sont pas assez fortes pour garder seules le pognon. Hin Hin..

    "C’est mon homme" disait Mistinguette, "Il m’ fout des coups !, il m" prend mes sous ! mais je l’aiiii- aiii me ! " Les Mecs vont avoir du boulot.

     

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