Il y a le côté pile et le côté face. La Russie est un pays totalitaire où la liberté religieuse n’existe que pour la religion officielle d’état. Les Témoins de Jéhovah y sont persécutés, saisis immobilières et lourdes peines de prison, culte interdit pour des motifs totalement fallacieux.

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c’est quoi le projet, reconstruire un Kowloon City bis ?

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Le vieil homme et l’oiseau, où on y voyait un édifice ville,
une cité édifice, parsemé de passages, d’ouvertures et
ces ascenseurs y menant haut les plus nobles.
Émanant de l’esprit d’un architecte des années 70,
cette utopie prit différentes formes mais n’allant
au delà de 11 000 habitants. Donc la Russie était là une fois
de plus avant-gardiste, le plus intéressant est que cette
première construction rappelle le château fort avec sa grande
cour intérieur, ses grandes façades comme remparts en forteresse,
ce qui nécessairement apporte aux habitants le sentiment de
protection, d’appartenance et assurance mutuelle.
Pour ma part je souhaiterais voir poindre une cité-édifice
faisant honneur aux grandes réalisations grecques, soit
laissant plus d’aération pénétrer l’habitus de ce méga édifice
de façon à rendre beau la danse quotidienne de la lumière
sur le théâtre de la vie intra cité.
L’une des plus sobre et belle construction ancienne est ce
théâtre d’Épidaure, ce croissant s’élevant et créant l’union
par cet espace dégagé que des étages aménagent en
de formidables places tellement elles offrent vue d’ensemble,
hauteur et bon air. J’imagine ces gigantesques serpents
à étages, reprenant ce théâtre d’Épidaure en son sein et
partout où la structure chevauche le sol. Même l’écoulement
de l’eau de pluie doit être pensé avec plan légers, fins canaux.
Là où s’asseyaient nos lointains et raffinés ancêtres, reposeront
des belvédères baignés de lumière, juchant les yeux des citadins
sur le plus beau des théâtre, celui de la vie !!

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Ce concept de ville prison ou Fresnes, quelle différence. Ne serait-ce pas l’idéologie qui se cacherait derrière la proposition Wargon, la dépossession de la propriété (appartement dans un immeuble convivial de 3 à 4 étage ou d’une villa) des gueux pour les regrouper dans un espace informe. Si je pousse plus loin cette idée, autour de cet espace informe, des barbelés avec check-point où l’on contrôlerait qui rentre, qui sort à la manière des Palestiniens voire de l’Allemagne de l’Est. A Paris (proche de la place d’Italie) des immeubles de ce type se sont construits dans les années 60-70. La laideur de ces lieux démoralisent, créent du stress car pas d’espace vert, pas de bruits rappelant l’espace végétal et animal, un système carcéral d’une pseudo liberté sans liberté.
La laideur absolue , beurkkk.

C’est là que nous nous apercevons de la soviétisation des esprits à la chinoise de nos dirigeants européens : de là qu’ils passent de la parole à l’acte, il n’y a qu’un petit pas à franchir.

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Naturellement l’offre créant la demande , c’est à l’entreprise de loger ses utilisateurs .
Nous aimons travailler depuis chez nous , nous stressons si nous croisons entre 4 et 6 inconnu dans la journée , et nous sommes polygames par nature .
Tout centraliser , c’est l’effet ghetto , et l’usure , c’est l’inverse qu’il faut faire , en singeant Chaillot Barnabé , nous devrons vivre sur les déchets des boomeurs , et voir cela comme un avantage , c’est la sobriété " heureuse " .
Pour l’énergie , le gazogène + réacteur Pantone , bien que les techniques de vortex d’eau ...utilisés pour la bière Kronombourg , le vortex à la Viktor Schauberger , la turbine de Tesla , le mercure en rotation , l’or aidant à faire tourner ce dernier naturellement , (sans l’aide d’une quelconque impulsion ).
Si il faut de la haute tentions il faut de l’argon ou du xénon pour fractionner un courant , et ainsi tirer profit de l’effet radaint de back umf dans une bobine torique , par exemple ...
Pour nos populations vieillissantes et convalescentes il aurait fallut mettre tout ça dans une flotte enrichie en nanobulles ( le procédé est en vente ) , ainsi économie de chauffage , et d’anti douleur .
Quitte à se comporter en band méduse n’ayons pas peur des mots , on peux tout faire mieux , et la loi de brifaut allant de paire : On peux mieux cornaquer nos élites laborieuses populaires monogamisés aux abrahamismes , depuis des systèmes sylvopastoraux , sans qu’ils finissent par nous contraindre aux désertiques paysages des monocultures .
Nous devrions nous limiter à 120 relations , et pas plus de 40 pour décider , genre plus de 40 mâles par village , le cercle d’homme tranche les décisions du cercle de femme .. nous devons rendre obsolète l’usage de l’argent , reprendre la clef des champs , et orienter nos enfants éduqués vers la collecte de ressources sous marine , spatiale , ou sous terraine .

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L’harmonie raciale permet de densifier.

Comme l’a dit un autre commentateur, la plupart des russes possède un lopin de terre avec une maison dessus. Maison que 9/10ème des français rêveraient, une terre fertile, un sauna russe (appelé bania : un gros poele à bois avec une reserve d’eau générant une chaleur à 60-70° C humide)

Les contraintes de déneigements de l’entrée de votre habitation jusqu’à la chaussée, le fait de ne pas avoir à s’occuper du chauffage de l’eau chaude sanitaire et du chauffage tout court ont fini de convaincre une grosse partie des russes de préférer vivre en immeuble.

Finalement, les russes ne mitent pas et ne betonnent pas tout le territoire comme nous faisons en France.

Ces villages abandonnés retourneront à dame nature jusqu’à une embellie agricole.
Pour l’instant vous ne pouvez pas y gagner votre vie.

Et puis, n’oubliez pas que la France connait le même processus. Ma région est encore vivace grâce à une population argentée de retraités.
Sans elle vous croyez que Biarritz, Royan, Sarlat ou Arcachon vont menés grand train ?

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Les Français savent très bien que, dans un tel immeuble,
 si on met des Français de souche, les choses se passeront normalement et calmement ;
 si on y met des copains d’Éric Zemmour, les choses se passeront globalement normalement et calmement, à un peu d’arrogance et de mépris près ;
 si on y met des copains de Yassine Bellatar, tout sera déglingué en 2 semaines, le trafic de drogue sera installé en 1 semaine, et les racailles y rendront la vie insupportable dès le premier jour.

Et incidemment, au vu de nombreux commentaires, les Russes paraissent plus civilisés, même que les Français de souche.

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relire dans "la campagne de russie" le passage sur les immeubles sovietiques

"Le régime stalinien avait fait, à Dniépropétrovsk, un grand effort de construction.
Nous fûmes d’abord très impressionnés, à l’approche des faubourgs de la ville, lorsque nous vîmes se dessiner les grands cubes de maçonnerie des immeubles prolétariens élevés par les Soviets. Leur ligne était moderne. Les bâtisses étaient énormes et nombreuses. Indéniablement, le communisme avait réalisé quelque chose pour le peuple. Si la misère des paysans était grande, du moins l’ouvrier semblait-il avoir profité des temps nouveaux. Encore fallait-il visiter et examiner ces immeubles. Nous vécûmes durant six mois dans le bassin houiller du Donetz. Nous eûmes tout le loisir de vérifier les constatations que nous avions faites dès notre entrée à Dniépropétrovsk. Ces constructions, si impressionnantes de loin, n’étaient qu’une gigantesque escroquerie, destinée à mystifier les voyageurs de l’Intourist et les spectateurs des actualités de cinéma.

Dès qu’on approchait de ces blocs d’immeubles, on était écœuré par une fade odeur de boue et d’excréments, montant des marécages qui entouraient chacun des édifices. Il n’y avait autour de ceuxci ni dallage, ni pierraille, ni blocaille. La boue russe régnait là comme ailleurs. L’évacuation des eaux de pluie se faisait à même le sol. De vagues tuyaux pendaient au bord des larmiers et jetaient l’averse à la cantonade. Les murs étaient écaillés et effrités dans tous les sens. La qualité des matériaux utilisés était de dernier ordre. Partout les balcons étaient descellès. Les escaliers de ciment étaient râpés et creusés. Or ces constructions dataient à peine de quelques années"

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(suite )
Chaque étage possédait un certain nombre d’appartements blanchis à la chaux, nantis d’une cuisine minuscule à l’usage de plusieurs familles. Les fils électriques couraient en girandoles. Les murs étaient en torchis et crevaient dès qu’on se risquait à y planter un clou.
Généralement, le service d’eau ne fonctionnait pas. La population prolétarienne, ne parvenant pas à utiliser les installations sanitaires, opérait tout autour des immeubles, convertis de la sorte en une vaste fosse d’aisance. Le froid pétrifiait ces dépôts qui, à chaque dégel, fondaient en répandant des odeurs pestilentielles. Finalement, ces appartements s’avéraient encore plus inconfortables que les misérables isbas où, sur la terre la plus riche de l’Europe, des millions de paysans russes végétaient au milieu d’une misère sordide, n’ayant sur le dos que des souquenilles, mangeant dans l’écuelle commune, au moyen de cuillers taillées grossièrement à même des morceaux de bois.

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C’est pourtant assez courant ici en chine...

Bref, pas de quoi choquer.

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