Le discours de vérité nous oblige à considérer que la démocratie n’est pas un système politique conforme à l’ordre naturel. L’absurdité de son parti-pris et de ses défaillances ne sont plus à démontrer.
Il n’est donc pas question de renoncer à ce constat lorsqu’il s’agit de réfléchir à la manière de sortir du covidisme. C’est les élites qu’il faut convaincre, pas le peuple. Le peuple suivra toujours.
C’est comme attendre une révolte des enfants contre l’éducation LGBT, alors que c’est les parents qui ont les moyens de s’y opposer.
Nous avons besoin d’une élite qui incarne le contre-pouvoir face au mondialisme sous toutes ses formes. L’engouement pour Trump et Poutine, à juste titre ou non, témoigne bien du fait que c’est la seule espérance valable, celle qui peut opérer le point de bascule et faire entrevoir la possibilité d’une victoire, et non d’une résistance clandestine, voire d’un sparing-partnership comme on le voit avec une partie du mouvement identitaire.
Seule exception peut-être : la voie du martyr. Forcer le système à aller jusqu’à une persécution franche (en dehors des canons démocratique), type camps de concentration, et être prêt à la subir. Mais peut-être que cela ne suffirait pas. D’une part parce que les exemples passés (persécution du christianisme, shoah, antiracisme..) n’enseignent pas exactement que les renversements n’aient été dus qu’au témoignage des martyrs, car il faut bien reconnaître que l’impulsion du changement, à l’issue de ces périodes historiques, est toujours venue d’en haut (conversion de l’aristocratie romaine au christianisme, lobbys victimaires, etc), sans exclure l’intervention/la permission divine bien sûr, selon les cas.
D’autre part, parce qu’il n’y avait pas dans le passé une propagande aussi soutenue et intrusive, et des populations aussi confinées/divisées, incapables de se réunir, doutant presque de leur réalité et existence légitime.
Enfin... Dieu nous prépare peut-être quelques surprises...
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