Synthèse de l’affaire : une demi-pute, sans autre talent que celui d’avoir un beau cul, se marie avec un immense et richissime acteur, bourré de talent lui, qui cependant, comme beaucoup de ses pairs, a fini par devenir un alcoolo notoire dont les neurones ont fini par griller à force d’abus aussi divers que variés ! Au moment où elle le rencontre, l’immense acteur en question n’est déjà plus qu’une épave en sursis. La truie blonde qui, au moment de l’union, a omis de préciser à son futur époux qu’elle plus adepte de la tondeuse à gazon que du trombone à coulisse, y voit donc là l’occasion de se faire une petite centaine de millions de dollars, vite fait bien fait, en l’échange d’un mariage en carton et, probablement, de deux ou trois séances de carambolage plumardier dont on imagine, vu l’état physique du protagoniste mâle, qu’elles n’ont pas dû durer très longtemps ni être très violentes sauf, peut-être, pour l’haleine ! Ce qui nous fixe le prix de la passe entre 20 et 30 millions de dollars ... tarif qui doit faire rêver toutes les prostituées du monde !
Après un procès grotesque comme seuls les USA, et parfois la France, savent les faire, l’acteur aurait pu, sans la bêtise crasse de son accusatrice, être condamné, non sans s’être fait soutirer auparavant quelques centaines de milliers voire millions de dollars par ses avocats, sous les huées des demi-folles de #Metoo dont la quasi-totalité des figures de proue ont passé leur vie à poil, à l’horizontale ou à genoux, devant les producteurs, volontairement et avec un souci du "travail" bien fait qui susciterait presque l’admiration, dans l’espoir de décrocher un rôle, certes de merde, mais fortement rémunérateur.
Heureusement pour lui, elle est aussi con qu’elle est jolie ... enfin pour l’instant !
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