Oui je savais bien que quelqu’un allait me sortir la stratégie du choc, livre très sourcé, documenté et très impartial écrit par une universitaire américaine, donc même pas chilienne, dont les parents étaient des juifs ultra-marxistes, donc y’a pas que Friedman vous voyez ;)
A coté de ça, moi je vous propose une source soviétique de haut rang pour appuyer mes dires contrairement à ce que vous dites : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mikha%...
Bref, si ce pays est devenu si mauvais et si corompu sous Pinochet, expliquez moi pourquoi c’est celui en Amérique du Sud où les gens ont le niveau de vie le plus élevé. Expliquez moi, si Pinochet fût un tel dictateur absolu, pourquoi 15 ans plus tard il a remis en place une démocratie et des gouvernements de gauche ont pu être élu...
Voyez...le problème ici c’est que vous avez une vision trop dualiste du monde, blanc ou noir, bien ou mal...
Ce n’est pas parce que les USA sont aujourd’hui complètement sionisés qu’il faut jeter le bébé avec l’eau du bain. Il existait au sein du petit peuple, avant les néoconservateurs juifs ancien démocrates trotskystes, une vraie Amérique conservatrice avec des valeurs morales, du patriotisme et un esprit de liberté, d’indépendance et de refus de l’étatisme qui menait foncièrement à l’anticommunisme le plus honorable. Tout cela a été marginalisé par les néoconservateurs israelo-américain.
Mais si vous ne pouvez pas comprendre les racines honorables de cet anticommunisme là, il est certains que vous appliquerez vos schémas de pensés calqués sur la géopolitique sionisée actuelle et que vous vous mettrez toujours du coté marxiste quoiqu’il arrive. Le Coup d’Etat au Chili est une résultante de cette résistance anticommunisme là et non de la domination sioniste actuelle. Et de même, du coup vous idéalisez Allende et ses alliés soviétiques alors que l’URSS n’était qu’une petite élite d’1 million de personne qui écrasait 120 autre millions en sur-investissant dans l’armement et le KGB pour se protéger et en délaissant le bien être matériel du peuple russe dont ils se fichaient. Cette élite était une bureaucratie de petits chefs qui rêvaient de monter les échelons de la bureaucratie et donc l’étape suivante pour les plus grands chefs étaient d’étendre l’influence de leurs pouvoirs au monde, d’où cette volonté impériale soviétique comme l’a écrit Voslensky.