AAAAAAAAAAAAh : tout s’explique.
Merci
Mais alors justement, il faut dépasser l’explication socio sexuelle qui, bien que départ éclairant, ne peut pas être une explication politique suffisante.
La question n’est pas tant de distinguer entre homos et gays quoique cette distinction est réelle et très éclairante de la vie politique, mais d’oser revenir à l’explication surnaturelle de l’homosexualité EN POLITIQUE exposée dans Romains 1 16 32 auquel je renvoie.
Et là, on s’aperçoit que la sociologie du cul en matière politique, toujours tristement vraie, est en deçà de l’explication "divine" elle seule politiquement vraie, complètement et reellement explicative, totalement éclairante,exposant à la fois, la cause, le process et le remède du phénomène politique dénoncé ( la sodomie comme dissolvant de la Civilisation).
D’abord dans R 1 16 32, l’ homosexualité masculine est une subdivision de la sodomie et la sodomie n’est pas un choix de ceux qui la pratiquent mais le salaire de l’apostasie de la société qui nie la souveraineté divine EN POLITIQUE.
Ceux qui sont laïques : républicains.
Pas dans le régime, mais l’esprit (Dieu est assigné à résidence au Ciel).
Le texte dit ( décrivant la République) : eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur (la créature = Marianne, l’or).
Toute société laïque en politique est donc condamnée à la sodomie et la sodomie elle même est cause et conséquence de sa dégénérescence : leur sodomie n’est pas un choix, encore moins une libération, c’est un chatiment collectif et une épreuve individuelle.
Ils ne sont pas coupables d’êtres sodomites, ils sont punis par la sodomie d’avoir nié Dieu en politique. (il faut lire le texte de R ch 1 à partir du verset 16).
Dieu dresse enfin un tableau descriptif de nos sociétés apostates donc sodomites,moralement et politiquement plus vrai que nature :
Ils sont remplis de toute injustice, d’impureté, de méchanceté, d’avarice, de malice ; pleins d’envie, de meurtres, de querelles, et de malignité ;
Rapporteurs, médisants, ennemis de Dieu, outrageux, orgueilleux, vains, inventeurs de méchancetés, désobéissants à leurs pères et à leurs mères ;
Sans intelligence, sans foi, sans affection naturelle, implacables, sans compassion ;
(...)
La société moderne.
Uniquement parce qu’à titre personnel et en politique on a dit : Dieu ne sert à rien.
Alors qu’Il est indispensable, y compris en politique.