@Français avant tout
Je sais qu’il est très dur de voir remettre en question la nourriture qu’ont mangé nos parents, nos grands-parents et tous nos ancêtres. Je compatis à votre déconvenue, car le côté émotionnel de la nourriture est très fort.
En revanche, il est à peu près certain que Dieu ne nous a pas créés pour commencer à dépérir vers 30-40 ans, avoir un cancer, le diabète ou Alzheimer par la suite et mourir dans des conditions plus ou moins abominables vers 70-90 ans. Sans compter que les cancers, le diabète et autres surviennent de plus en plus tôt, puisqu’on constate maintenant que de plus en plus d’enfants en sont atteints. Si l’on en croit les textes anciens, nous serions programmés pour vivre jusqu’à 120 ans ou plus, sans souffrance, sans parler des âges canoniques d’avant le Déluge (voir ci-dessous*).
Il est fortement probable que, en donnant un carburant de mauvaise qualité à notre corps, nous ayons altéré notre ADN. Comment expliquez-vous que, malgré les soi-disant progrès de la médecine, le nombre de cancers et de cas de maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Parkinson ne cesse d’augmenter ?
Manger uniquement ou principalement des fruits et légumes au lieu du cassoulet ou du coq-au-vin ne fait pas de vous un traître à la nation. En effet, il est possible de faire pousser des fruits et légumes en France, on peut donc acheter et manger français tout en augmentant son espérance de vie et en faisant disparaître TOUTES ses maladies.
* L’Abbé Fulcran Vigouroux (1837-1915) (Dictionnaires de la Bible, 1895, article Longévité) rapporte : en Angleterre, le paysan Effingham, mourut à 144 ans, un autre paysan Thomas Parre est mort à 152 ans ; le pêcheur Henri Jenkins est mort à 169 ans ; en Norvège, le marin Draakenberg atteignit 146 ans, et Joseph Surrington alla jusqu’à 160 ans. Le Hongrois Bowin mourut à 172 ans, laissant une veuve de 164 ans et un fils de 115 ans ; un Livonien mourut à 168 ans ; la comtesse irlandaise Desmond mourut à 145 ans et un vétéran russe s’éteignit en 1825 à l’âge bien constaté, dit-on, de 202 ans. Certains de ces cas « éternels » sont repris par le Bénédictin Louis-Mayeul Chaudon, Dictionnaire universel, historique, biblique, historiographique, t. XV, 9e édition, 1811.