@u roitelet
Les élites ne veulent pas que les gens s’améliorent (c’est pour ça que ta thèse sur la vente à venir de la GPA-PMA avec manipulations génétiques au plus grand nombre comme nouvelle wunderwaffen des élites occidentales ne vaut rien) : les élites abrutissent les foules avec de la télé-réalité, elles les rendent obèses avec des fast-foods, elles les sous-éduquent avec le wokisme, elles empêchent ceux qui ont de l’énergie créatrice de fonder leurs entreprises et elles condamnent artistes et ingénieurs qui essaient de bidouiller quelque chose dans leur coin avec la magie du copy-right.
Elles ne veulent en rien améliorer les petites gens.
La raison en est simple : ce ne sont pas les élites françaises qui sont à la tête de la France, mais les élites US / germaniques / israéliennes dont les agents sont reconduits systématiquement au pouvoir par les boomers qui pensent qu’ils doivent leur bien-être grâce à cette soumission à l’étranger.
C’est le principe de xénocratie.
Que les riches dirigent leur propre pays pour leur compte : ils vont le diriger pour leurs intérêts mais, sauf s’ils sont stupides ou s’enferment dans des raisonnements à courte-vue (ce qu’a fait, malheureusement l’aristocratie d’ancien régime) ils garantiront toujours que le peuple ait un minimum de latitude et de pouvoir d’action parce que c’est le peuple qui va fournir la main-d’œuvre, les régiments et les ingénieurs qui vont permettre à ces élites de continuer à dormir sur leurs lauriers.
C’est le principe du patron paternaliste qui exploite peut-être ses ouvriers mais qui sait que ce sont eux qui ont fait sa fortune et comme il compte léguer son usine à son héritier, il a intérêt à ce que les ouvriers aient un minimum de droits.
Par contre si ce sont des riches étrangers (ou comprador) qui dirigent ton pays : ils n’en ont rien à foutre du long-terme, des héritiers, du bien-être de la main-d’œuvre, etc.
C’est pas leur pays (s’ils en ont un), ils sont juste là pour le pillage et ils resteront aussi longtemps qu’il y aura quelque chose à piller. S’il y a beaucoup à piller, à la limite, ils maintiendront une armée d’occupation (hier : Hugo Boss ou Rangers (du pareil au même), aujourd’hui : basket/casquette/survet’) mais c’est tout.
S’il n’y a plus rien ou qu’il y a une résistance, ils parent.
C’est aussi pour ça, hélas, que le pillage final, à l’approche du grand basculement vers l’Asie, des pays européens verra, aussi, paradoxalement, leur libération.