Le meilleur humoriste de France, derrière Dieudonné, continue son travail de destruction de la France macronienne, de l’Europe de Bruxelles et de l’Angleterre du Brexit foireux.
Très en verve, à tel point qu’on imagine qu’il prend de la potion magique, le numéro 2 dans l’échelle de subversion nationale en met plein la courge à nos élites. Ça fait du bien.
Le jour où Dieudonné s’enfuit dans sa forêt, PEB sera prêt, si le CRIF ne vient pas se mêler de ses spectacles à coups de Conseil d’État.
Mais peut-être en avons-nous trop dit, et qu’à cause de nous les gardiens de l’Ordre sioniste vont finir par jeter un œil sur le personnage...
On aurait l’air con ! Dès qu’on applaudit quelqu’un, il se fait maraver !
Finalement, on va rester dans la critique méchante, c’est plus... solidaire. Attention aux accents à la Dupontel, Pierre-Emmanuel. Tes textes conservent tout leur sel quand tu les prononces à vitesse normale, et pas en « x2 » comme sur YouTube. Certes on ressent l’urgence dans le phrasé, mais en parlant normalement tu pourras allonger ton spectacle avec moins de matière, à l’image du pizzaïolo qui étale sa pâte à pizza presque à l’infini. Conseil de Gad !
Pendant que Barré cartonne sur scène, Elmaleh s’enfonce. Après avoir été lourdement accusé de plagiat sur de nombreux sketches, le faux humoriste s’est essayé au théâtre. Las, sa pièce s’est fait éreinter. Nathalie Simon, la critique du Figaro, a-t-elle conscience du crime qu’elle a perpétré ? Est-elle au courant du pouvoir profond et de ses ramifications ? On dirait pas.
« Récompensé début février d’un Globe de cristal d’honneur pour l’ensemble de sa carrière et faisant fi des accusations de plagiat, Gad Elmaleh joue donc, et plutôt bien, L’Invitation, une comédie d’Hadrien Raccah aux côtés de son complice l’acteur Philippe Lellouche qui signe également la mise en scène.
[...] Gad Elmaleh s’est donné le “beau” rôle, celui du séducteur imbuvable qu’il a peaufiné avec sa sœur Judith. Le public est conquis. Composé de 80% de fans, proches et familles, il applaudit dès son entrée sur scène. Récidive lorsque Philippe Lellouche intervient à son tour. Prompt à partager son enthousiasme à la moindre réplique. Et tant pis si Lucie Jeanne n’a pas le droit, elle, au même accueil quand elle se présente la première fois au public. »
Serait-ce du racisme antigoy ? Nathalie Simon poursuit, et là c’est moins glorieux :
« Une heure et demie durant, on ne rit pas, on sourit. Il y a quelque chose du Dîner de cons dans le personnage de Philippe Lellouche, mais en beaucoup moins travaillé. Le caractère des protagonistes est dessiné à la va-vite. Sans subtilité. »
La fin est pire :
« Qu’importe, le trio aura droit à une standing-ovation à la fin de cette comédie en demi-teinte. Éric Dupond-Moretti crie plusieurs “Bravo !”. L’avocat est suivi de peu par Isabelle Boulay, puis par Pierre Palmade et d’autres spectateurs conquis. Pas tous. “Payer entre 37 à 72 euros pour ça !”, déplore une trentenaire déçue. »
Décidément, tout ce que touche Gad se transforme en, en, en pas or. C’est vraiment la poisse. Espérons que le comique copieur saura, grâce à son pool d’avocats, rétablir sa réputation de grand amuseur des comités d’entreprise aux dépens de CopyComic, ce sagouin qui ne pense qu’à démolir sa réputation.
Malgré toute cette haine, Gad répond avec un humour magnifique aux accusations nauséabondes de plagiat :
Laissons Gad tranquille, il a piqué quelques sketches, et alors ? Que celui qui n’a jamais piqué de sketches à Seinfeld lui jette la première pierre de Palestine ! Tous ceux qui s’acharnent contre Gad ne sont que des jaloux de sa réussite exceptionnelle due à un talent non moins exceptionnel. Et si ça continue, on le dit tout net, si jamais les gens continuent à critiquer ses méthodes, on ira nous-mêmes les accuser d’antisémitisme. Parce que merde, ça commence à bien faire ! Laissons les humoristes tranquilles, même les mauvais !
La preuve que Gad n’est pas un délinquant, dans l’émission de Stéphane Bern sur RTL il invite gratuitement Aurélie, une jeune Française (forcément un peu pauvre) à voir son spectacle. Si ça c’est pas chrétien on sait pas ce que c’est !