L’arnaque du covid aura permis de faire connaître le statisticien Pierre Chaillot, qui, sur la base même des données officielles, a démonté tout le récit officiel sur la pseudo-pandémie venue de Chine. Avec la même rigueur, s’appuyant là encore sur les chiffres fournis par ceux-là mêmes qui vendent de la peur pour remplir les caisses de Big Pharma, il s’attaque à la campagne de vaccination contre le papillomavirus, qui vise les enfants et les ados.
La présentation de la vidéo :
Le 27 octobre 2023, un collégien de 12 ans décède suite à la vaccination anti-papillomavirus avec le Gadasil 9. D’après l’autopsie, son décès serait dû à une chute en arrière, suite à un malaise lié à sa vaccination. Le ministre de la Santé affirme qu’il pourrait s’agir du stress provoqué par la vaccination et pas du tout du produit en lui-même. Quoi qu’il en soit, personne ne nie que c’est bien l’acte qui a entraîné le décès : sans la campagne de vaccination, cet enfant serait encore en vie. Toute campagne de vaccination entraîne son lot d’effets indésirables comme les malaises ou les chocs anaphylactiques. Lorsque 850 000 élèves de 5e sont visés, et même 2,6 millions de collégiens de 11-14 ans, on peut être certain qu’il y aura des problèmes, même pour des effets indésirables rares. La question se pose alors : le risque en vaut-il la peine ?