Le Paris d’en bas, c’est celui d’Anne Hidalgo, madame 2,17 % à la présidentielle à Paris, chez les électeurs parisiens, dans son fief. Il y a même un arrondissement ingrat qui lui a mis une branlée mémorable. On laisse la parole au Monde :
Peut-être est-ce là, rue des Amandiers (XXe arrondissement), que le verdict a été le plus cruel pour Anne Hidalgo. Dimanche 10 avril au soir, dans cette école transformée en bureau de vote, 606 bulletins « Jean-Luc Mélenchon » ont été dépouillés, soit 60,5 % des suffrages. La pile des « Anne Hidalgo », elle, n’est pas montée bien haut. Cinq petits papiers seulement. Moins de 0,5 % des voix. Un score famélique pour la maire de Paris. Humiliant, même, dans un arrondissement acquis aux socialistes depuis des décennies. « C’est un quartier populaire, chaud comme la braise, qui compte de nombreux logements sociaux et s’est plusieurs fois mobilisé sur des conflits, explique Danielle Simonnet, élue La France insoumise (LFI) de l’arrondissement. On est très fier du score historique de Jean-Luc Mélenchon dans ces quartiers, comme dans une grande partie de Paris. »
Quant à être fière d’avoir raflé les voix des pauvres, pour les amener à l’abstention ou chez Macron, c’est-à-dire à l’abattoir social, au deuxième tour... Mais bon, c’est l’électorat de Mélenchon, et ce n’est pas le débat.
Le débat, c’est Paris : combien de temps encore la gestion socialo-sioniste fera du mal à la plus belle ville du monde, ou presque ? Parce que le progressisme appliqué à une capitale millénaire, c’est une mauvaise idée.
Propos complètement délirants d’Anne Souyris, adjointe santé d’#AnneHidalgo qui annonce l’ouverture de salles de shoot, renommées HSA, partout dans Paris même là où il n’y avait pas de scènes ouvertes de consommation. Faut arrêter le crack ! #saccageparis pic.twitter.com/j49LDBap1v
— Charlotte Rocher (@ChaRocher) June 1, 2022
C’est même une catastrophe permanente. Sans refaire #SaccageParis, on va essayer d’être constructifs. Mais on envoie quand même notre petit obus, pardon, obole :
Comment ces images sont truquées, petit thread de décryptage récréatif...
Spoiler : ni en 2024 ni en 2030 la porte de Gentilly ne ressemblera aux mensonges hidalguiens.
Mais il y a pire...
(Suite ⤵️) https://t.co/ZVjF8Cg9Wy
— JDSE (@JCQDSE) June 5, 2022
Pour résumer, Paris, c’est façade woke et derrière crade, avec la came, les migrants et les vols, le langage inclusif et les no go zones.
D’abord, les arbres centenaires devaient être sciés sur le parvis de la tour Eiffel. La mairie se dit écolo mais fait tout le contraire. Mais des écolos motivés se sont accrochés dedans. Un homme en particulier a fait reculer la mairie à lui tout seul.
FLASH - #Paris : Thomas #Brail, le fondateur de l'association Groupe National de Surveillance des Arbres (GNSA) est #accroché depuis cette nuit dans un arbre au pied de la #TourEiffel. Il compte rester percher jusqu'à ce que la mairie retire le projet de construction. (BFM) pic.twitter.com/aSvb9zvtJT
— FLASH INFO Ile-de-France (@info_Paris_IDF) May 30, 2022
Il faut dire que Paris est endettée à hauteur de 7 milliards, 10 selon Dati, qui annonce que la mairie a déjà dépensé les loyers du parc public... qui ne sont pas encore rentrés. Conséquence, les deux roues vont devoir payer pour le stationnement (moitié moins que les bagnoles) et les loyers grimper encore, pour rembourser cette dette. Paris est en train de vendre son cul, pardon, ses bijoux de famille, aux grands promoteurs qui salivent sur la ville la plus visitée du monde.
On se souvient de l’incendie « accidentel » de Notre-Dame, au moment où sortaient les plans du nouveau parvis. Eh bien là c’est pareil, mais sans l’incendie au mégot criminel, car le fer, ça brûle moins bien que la poutre millénaire pétrifiée. La mairie périt par là où elle croyait gagner, par son point programmatique fort : l’écologie. Idem pour le nouveau plan de circulation, qui a transformé la capitale en capharnaüm, mais ça, tout le monde est au courant. On est loin de cette balade en bus pendant la préhistoire (1965) :
Paris en 1965 pic.twitter.com/WYUkCVw4GR
— ☧ France Éternelle (@FrancMillenaire) June 5, 2022
Ratatouilleland
En bas, dans cette ville aux 6 millions de rats, c’est maintenant officiel, juste devant Marseille, tout est dégueulasse, du mobilier urbain aux chiottes LGBT en passant par l’art contempourri des petits copains qui se gavent sur le budget culturel, un fromage d’un demi-milliard. La rénovation d’une capitale, chez les socialos, tourne au massacre esthétique, puisque les tours honnies entrent dans le jeu.
Heureusement, il reste les toits. On dirait que l’esprit de la ville s’est réfugié dans les hauteurs, tant le bas est pourri !
Le moment tendresse
En comparaison pic.twitter.com/cisTXnXCTr
— monkeylivingfree (@Pierre_Calogero) June 4, 2022