On sait que la mortalité de la grippe lévy-buzyno-chinoise approche les 0,3 % (soit trois morts pour mille malades), mais on ne connaît toujours pas la mortalité de l’injection Pfizer, cette autre pandémie qui touche 2,1 milliards de Terriens. Il nous manque un chiffre essentiel : si on dispose du nombre d’effets secondaires dans les test de l’injection Pfizer (42 000 dont 1 200 morts), on n’a pas le total des injectés, ce qui nous donnerait la létalité et la dangerosité de l’injection Pfizer.
On a été chercher les analyses post-marketing que le groupe Pfizer a dû lâcher à la FDA, la Food and drug administration, elle-même forcée par la justice américaine de publier ces données.
Nous avons récupéré ce tableau dans le thread suivant :
#coronavirus #passsanitaire (1) EXPLOSIF ! La FDA américaine, qui voulait rendre confidentiel les documents de #Pfizer pendant 55 ans, est forcée par la justice américaine de les publier. Et ce n'est pas joli du tout. pic.twitter.com/vc8KzQxxaq
— Paul Maxit (@PaulMaxit) December 2, 2021
#coronavirus #passsanitaire (3) Premier choc : 1227 décès signalés dès février en février dans les essais. Et cela bien des documents de #Pfizer et de la FDA.
— Paul Maxit (@PaulMaxit) December 2, 2021
#coronavirus #passsanitaire (5) Notez qu'il s'agit d'effets indésirables enregistrés uniquement au cours des 3 premiers mois seulement, du 1er décembre au 28 février. pic.twitter.com/RsFUzPJy8Y
— Paul Maxit (@PaulMaxit) December 2, 2021
#coronavirus #passsanitaire (7) Vous pouvez suivre le Thread original ici : https://t.co/9lxp8UvJba
— Paul Maxit (@PaulMaxit) December 2, 2021
Mais attention, et cela a failli nous planter nous aussi : les 1200 morts de l’injection ne sont pas à rapporter à 42 000 injections mais bien à 100 millions (chiffre difficile à obtenir), ce qui change la donne. Pour plus de sécurité, tout en conservant cette base Pfizer, nous sommes allés chercher des données plus publiques. Tout en sachant que le nombre de cas n’est pas le nombre de malades, et que les gouvernements ont exagéré et le nombre de morts du covid, et le nombre de vaccinés, tout en minorant les effets secondaires graves de la vaccination, dont évidemment le nombre de morts. Nous avons donc travaillé a minima, sachant qu’on pourra multiplier par deux, trois ou dix nos conclusions.
La question porte maintenant sur la mortalité réelle du covid, dont on sait que les stats ont été trafiquées afin de créer une panique mondiale. En France, la mise à jour des cas donne en ce début décembre 2021 : 120 000 morts pour 7 980 000 cas, soit 1,5 % de mortalité.
Pour les plus sceptiques, seuls 10 % (et encore...) de ces morts peuvent être attribués au seul covid (la grippe ayant miraculeusement disparu !), soit 12 000, ce qui fait un taux de mortalité réel de 0,15 %. Et qui porte le taux de survie du reste de l’humanité à 99,85 %.
Or, le 18 juillet 2021, la base eudravigilance de l’Agence européenne du médicament, tout en déclarant ensuite que « les effets secondaires signalés après la vaccination » n’étaient « pas nécessairement à cause de la vaccination », pose bien le chiffre de 18 120 décès et 1 930 667 effets secondaires suite à la vaccination.
Nous avons retrouvé le nombre (officiel, toujours à prendre avec des pincettes) d’Européens vaccinés le 22 juillet 2021 : 200 millions, majoritairement par les injections Pfizer. Nous avons donc officiellement 1 % d’effets secondaires, considérés comme graves, car notables. Et en tout 0,01 % de morts. Dont le lien avec le vaccin ne sera pas prouvé par les autorités sanitaires, évidemment.
On peut donc dire, dans le meilleur des cas pour Pfizer, que la pandémie de covid fait 0,15 % de morts et que la pandémie de Pfizer en fait 0,01 %.
À notre tour de lancer une psychose nommée Pfizer
Pour contrebalancer l’extrapolation, nécessairement source d’erreur, on sait qu’une partie non négligeable des décès ont été imputés au covid pour des raisons politiques, un cancéreux en phase terminale ayant contracté le covid à l’hôpital étant marqué décédé du covid, et ceci en 2020. Et on ne parle pas des (25 000 selon Perronne) sacrifiés au Rivotril dans les Ehpad...
Si l’on pose 42 000 effets secondaires graves dont 1 200 morts pour 100 millions d’injections, lors de l’écriture du rapport Pfizer, alors, pour 2,1 milliards de doses Pfizer injectées dans le monde, en reportant le même rapport réel (1 930 000 sur 200 millions et 18 120 sur 200 millions), on obtient le nombre d’effets secondaires graves et de morts potentiels sur la totalité des injections Pfizer, soit respectivement 20 272 003 effets secondaires dont 190 260 morts dans le monde.
Sachant que dans les 5,26 millions de morts officiellement attribués à la pandémie covid dans le monde (on dirait qu’il faut absolument approcher le chiffre des 10 millions de morts prophétisé par Bill Gates), il y en a peut-être déjà beaucoup de la pandémie Pfizer ! Et là, tout se complique, comme dirait Sempé.
Ce qui veut dire, si l’on tire des lignes à partir de nos bases, que les morts de la pandémie Pfizer commencent à remplacer les morts de la pandémie covid !
Tout ceci est le fruit du bon sens, mais aussi de l’extrapolation. Sachant que la vie ne suit jamais les extrapolations, ou jamais exactement, nous nous garderons de toute conclusion hasardeuse, c’est-à-dire avec un risque d’erreur aussi grand. Inversement, ceux qui entretiennent la psychose covid devraient, sur cette base statistique réelle, celle du couple FDA-Pfizer, entretenir la même psychose sur la pandémie Pfizer naissante. Là, on dirait que quelque chose s’est grippé, dans la machine médiatico-politique mondialiste à inquiéter les peuples...
Précisions
Pour cette petite étude, nous nous sommes basés sur un taux de mortalité officiel du covid de 1,5 % en France. Or, ce taux descend depuis 2020, comme l’écrit revuepharma.fr :
Comme l’atteste une étude de l’Imperial College de Londres, largement relayée par les médias, le confinement a permis d’éviter la mort de plus de 3,1 millions d’européens. D’ailleurs, l’évolution du taux de reproduction de l’infection (R0) corrobore l’efficacité de confinement : 2,8 à son maximum le 15 mars, le taux diminue à 0,8 le 11 mai et jusqu’à 0,7 au 31 mai dernier, d’après un communiqué de l’Académie de médecine.
Estimer le taux de contaminés, et de fait celui de létalité, est difficile. En effet, nombreuses sont les personnes malades non testées et non déclarées. À ce jour, une estimation du taux de létalité entre 0,3 % et 0,6 % est avancée par les épidémiologistes. Rappelons d’ailleurs que ces taux ont implosé lorsque les cas Covid-19 des EHPAD ont été comptabilisés.