Il y a eu sept épisodes de Becoming Brigitte, un huitième en guise d’épilogue (ci-dessous), puis plus rien, le silence. Cette coupure coïncide avec la visite de Macron à Washington, où semble-t-il notre président a dealé quelque chose avec Trump, mais quoi ?
8ème partie de la série #BecomingBrigitte, en français, par @RealCandaceO : The Epilogue - (52 mn)
Face à la complexité de cette affaire devenue virale et mondiale (sauf en #France, bien sûr), Candace nous offre ici un récapitulatif de sa série.
Elle revient sur les photos de… pic.twitter.com/LGgEYiwFyH— El Padre JA (@ElPadreJA54) February 21, 2025
Partant avec le fantasme hitléro-napoléonien de guerre contre la Russie, le petit président est revenu de la Maison-Blanche avec des idées de paix. Le lendemain, il prend la tête de la révolte européiste, et avance le doigt vers le bouton nucléaire, en prince de ce monde. Bref, n’importe quoi.
La guerre a pris le relais dans l’opinion, on ne parle plus de cette pauvre Brigitte : la psychose du Russe est-il le contrefeu du BrigitteGate ? La presse a-t-elle à son tour passé un deal avec Macron ? Emmanuelle Anizon est-elle encore vivante ? Natacha Rey et son avocat ont-ils fait la paix avec Xavier Poussard ? Le Monde a-t-il bouclé sa série de quatre épisodes sur le Château qui s’écroule ou va-t-il récidiver avec une frappe plus lourde encore ?
Vous le saurez en lisant non pas les énièmes aventures de Brigitte, genre Brigitte sur la liste d’Epstein, mais en attendant que les choses se décantent. Parce que Candace semble être passée momentanément à l’affaire Epstein. On pensait avoir tout dit ou entendu sur le maquereau maître-chanteur lié au Mossad, mais voilà que le serpent de mer refait surface. Par exemple sur ce fil.
Cette affaire touche encore à des intérêts sensibles, et le rythme des apparitions-disparitions de la tête du serpent résulte de négociations et de coups de pression en coulisses. Pour l’instant, on en est à une liste de clients plus ou moins connue, plus ou moins complète.
Video en
Candace Owens affirme que les dossiers Epstein et JFK ne seront jamais révélés parce que les personnalités puissantes impliquées contrôlent toujours l'Amérique.Elle soutient que chaque fois qu’Israël est impliqué dans quelque chose, la vérité est enterrée. https://t.co/vHKVQOUFlb pic.twitter.com/VilpQszMJR
— SIMON STRUEUX (30) compte secours (@SimonSecours) March 2, 2025
En Russie, on ne s’attarde pas sur Epstein mais sur Brigitte. Les Russes sont friands d’infos anti-Macron. Ils lui consacrent des émissions entières, et se moquent allègrement du couple présidentiel, mais pas des Français. Ce qui nous rassure : les Popov font la part des choses.
Kissilev, le journaliste numéro un en Russie : « Il y a une autre raison pour laquelle Macron se comporte de manière si tapageuse et agitée. À la manière d’un homme qui ferait un bruit inconvenant, il déplace bruyamment les chaises et casse la vaisselle pour créer un tintamarre et tout noyer dans la confusion. Macron a de bonnes raisons de le faire. Il s’agit en fait de détourner l’attention des soupçons criants concernant son union avec “Brigitte”. »
Exclusivité
Le sujet complet que Dmitri Kisselev (Vesti Nedeli, 9 mars 2025), le journaliste le plus suivi de , a consacré à @EmmanuelMacron, l’ « escroc aux sentiments » des relations internationales. https://t.co/RpYttozIBB pic.twitter.com/HkpNC49mBT— Xavier Poussard (@XavierPoussard) March 12, 2025
Voilà pour la Russie. En France, deux grands enquêteurs ont livré leurs conclusions sur le livre de Xavier Poussard : Laurent Guyénot et Vincent Reynouard.
Après 292 pages, la preuve ultime. Allez, on y croit, on y croit ! pic.twitter.com/VfodliIr2S
— Laurent Guyénot (@Laurent_Guyenot) March 12, 2025
L’affaire « Brigitte » Macron
Celle que l’on présente comme l’épouse du président de la République est-elle, en réalité, un homme transgenre ? L’affaire enflamme nos milieux et même au-delà. A chaque conférence que je donne (et qui portent sur de tout autres sujets), des gens… pic.twitter.com/LoZlInSyEu
— Sans Concession (@Blogue_SC) March 2, 2025
Au fond, si l’on peut dire, le sexe de Brigitte, c’est un peu comme un mot dont on chercherait l’orthographe sur Google : si on l’écrit avec la bonne orthographe, on va le trouver avec la bonne orthographe. Si on l’écrit avec une mauvaise orthographe, on va aussi le trouver, mais avec la mauvaise orthographe. Au final, on saura que dalle.
De quel côté le ridicule penchera ? L’avenir nous le dira. En attendant, pas la peine de s’écharper : lisez.