Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Olivier Delamarche sur BFM Business

Partie 1 : Inflation, les marchés espèrent une action de la BCE

 

Partie 2 : Hausse du taux de croissance de l’économie américaine

 
 






Alerter

37 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #951831
    Le 1er septembre 2014 à 21:27 par goydrake
    Olivier Delamarche sur BFM Business

    Nous sommes tous conscients que cela va claquer dans x temps.
    Maintenant quelques questions (non exhaustives) à poser aux connaisseurs :
    Pour les initiés, qu’est-ce qui peut faire éclater une bulle ?
    Quelles solutions existent pour se protéger/échapper aux méfaits occasionnés ?
    Une économie "parallèle" saine est-elle réalisable ? Comment l’organiser ?
    Un dossier qui traitent de ces sujets par des personnes compétantes seraient plus que profitables.

     

    Répondre à ce message

    • #953278
      Le Septembre 2014 à 12:44 par VosgienVolant
      Olivier Delamarche sur BFM Business

      Je n’ai plus les liens en tête, mais lors de conférences-débats, Olivier Delamarche avait répondu à ta 2ème question. En gros, il préconisait de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier car même lui ne savait pas exactement quel répercutions auraient une crise et la manière dont les états ponctionneraient sur nos patrimoines. Il conseillait de ne pas dépasser 20-30% d’or si je me souviens bien, d’avoir son argent réparti dans différentes banques et devises si possible. Après, je pense que la sauvegarde du patrimoine et de son capital pendant une crise concerne peu de gens sur E&R. Je pense qu’on doit être moins de 5% a posséder plus de 100 000€ sur un compte, ce qui reste très dérisoire et ne sera sans doute pas la cible principale des mesures confiscatoires.

      Après tout dépend de la vision de la crise que tu as. Si tu en as une vision apocalyptique, dans ce cas, investi ton argent dans du terrain agricole bien situé, des réserves de nourritures, des armes et des munitions :). Personnellement, je ne crois pas à cette version, mais plutôt à une lente tiers mondialisation où l’extrême richesse côtoiera l’extrême pauvreté comme on peut le voir dans des pays comme les Philippines.

      Pour l’économie parallèle commence déjà par prendre l’ananassurance :)

       
  • #951920
    Le 1er septembre 2014 à 23:30 par Souchien
    Olivier Delamarche sur BFM Business

    le capitalisme guerre économique permanente a tué la consommation. Il n’y a plus d’investissement parce qu’il n’y a plus de concurrence, donc plus de nécessité d’investissements qui fassent gagner en productivité puis compétitivité. Et que technologiquement chaque point de productivité gagné ne rentabilise que très difficilement l’investissement, parce que le rationalisme dans la production est optimisé.

    Autre soucis, c’est qu’à force de guerre économique, ils ont précarisé le salarié au point qu’il arrête de consommer, ils oublient qu’il est aussi le consommateur.
    Parallèlement il n’a pas obligatoirement besoin de consommer plus, s’équiper en électroménager n’est plus aussi cher et on n’a pas besoin de 4 frigos ou 2 machine à laver, ces produits sont fabriqués à l’étranger c’est quasi 0 en emploi national, à part transport et commerçant. D’un coté tant mieux car il est poussé à consommer du service qui est local, mais s’il est sous pression et qu’il n’a pas besoin du service, comme d’un 4ième frigo, çà ne change pas grand chose.
    La guerre gagnée les prix des produits ne baissent plus, mais les salaires ne permettent plus de consommer.

    Quand en occident on tourne son économie vers les services par nature non indispensables et que des difficultés surviennent on est les premiers touchés. Reste le logement (0 emploi car économie de rente) et l’énergie (0 emplois par nature et parce que importations), les ponctions fiscales qui vont à la sécu sociale santé éducation finissent d’engloutir tout le salaire et maintiennent un fond d’activité non-productive ou très indirectement.

    faudrait :
    produire en france en se protégeant des gagnants de la concurrence économique mondiale.
    des produits réellement innovants pour pousser à la consommation
    une découverte scientifique dans l’énergie
    imposer des règles visant à crever la bulle immo et empecher la concentration de l’immo dans la classe moyenne supérieure qui s’en sert pour spéculer, comme d’une rente, ou simplement comme un moyen d’épargne puisque l’immo ne périme pas aussi rapidement que les autres biens matériels.
    L’accès à la propriété est trop difficile en-dessous d’un certain seuil de revenu tandis que ceux qui peuvent le franchir remboursent le prêt par les loyers quand ils sont déjà proprios.
    Avec la concentration des zones d’activités, construire devient difficile et cher, les zones d’emploi sont saturées.
    partager le temps de travail parce que nous vivons dans une société de surabondance mal partagée.

     

    Répondre à ce message

    • #953087
      Le Septembre 2014 à 07:27 par fred
      Olivier Delamarche sur BFM Business

      Pas Exactement ...

      la problématique des QE est simple à comprendre = "Les BANQUES font elles leurs travail ?"

      Force est de constater que l’on s’éloigne de la vérité dès que l’on parle de ce qu’est le travail d’une banque ...
      (financer l’activitée économique par la thésaurisation des avoirs des déposants en prétant aux emprunteurs )

      manque de chance , les pouvoirs politiques de la plupart des pays dévéllopés sont devenus si faibles et dépendants vis-à-vis du pouvoir de l’argent (le train de vie de nos politiques est à lui seul un vaste sujet de société ) que les banquiers essayent et réussissent dans la plupart des cas à de prendre le VRAI pouvoir (c’est déjà le cas aux USA et IMHO , la VERITABLE raison de la detestation de Poutine dans les pays occidentaux , ayant mis les banques au pas , il représente un VRAI risque de contagion )

      ce fait est d’ailleurs confirmé par le ton du discours du Roi-fainéant que nous avons élu à l’Elysée (si ... si ... ses discours d’avant l’élection qui laissaient sous-entendre le "Changement" qui a révélé sa vraie nature depuis = une bouffonnerie sinistre faite aux frais du contribuable par un Tout-Mou [et son équipe de branquignols bouffis d’orgueil mal placé ] qui n’a jamais eu de VRAI travail dans sa vie )

      SI la banque européenne fait un QE , il y a une mesure simple à dicter (mais il faut que cela soit décidé au niveau de l’UE-Euro entière ) INTERDIRE aux banques de faire autre chose que du prêts aux particuliers et entreprises NON liés de manière capitalistique au contrôle de l’Etat ... TOUT en INTERDISANT purement et simplement aux banques d’avoir des activitées spéculatives sur les marchés pour leurs propres comptes .

      Avec une telle interdiction (avec suppréssion de la licence en cas de magouille ) les banques feraient ENFIN leurs boulots , car à l’heure actuelle , il faudrait être totalement idiot (ou être président) pour croire une seconde que n’importe qu’elle banque à un intérêt quelconque à prendre un atome de risque pour préter aux quidams lambda ...
      Ils leurs suffit de jouer sur les marchés (ce qui a eu et à toujours lieu aux USA , d’où leurs résultats de PIB, alors que dans la réalité , c’ est infiniment moins rose ) Si elle gagnent = les profits sont pour elles ET si elles perdent = le contribuable est gentiment obligé de faire un chèque en blanc !

      A ce rythme , POURQUOI avoir le doux-délire qu’une banque puisse avoir envie faire son boulot ?

      CQFD ! ;-))

       
    • #953099
      Le Septembre 2014 à 07:59 par Bakounine
      Olivier Delamarche sur BFM Business

      @ souchien
      Tu oublies que dans la fabrication le travail humain devient de plus en plus marginal.
      D’où la création d’emplois de services.
      Du fait de la concurrence, la production s’est déplacé vers la main d’oeuvre bon marché, mais ça ne dure pas, car les pays à bas coût salarial se font la concurrence aussi et eux aussi introduisent la robotisation de la production dans leurs usines.
      Production est largement informatisée.
      Le monde à moins besoin de main d’oeuvre, et la population augmente, encore un paradoxe du capitalisme.
      Dans les économies matures les nôtres, la seule façon qu’à trouvé le capitalisme occidental de s’en sortir ça a été le saut qualitatif vers l’économie du crédit, sinon on était mourru, où alors il aurait fallu revenir au début du 19 ème siècle mais même alors ça n’aurait pas suffit (nous en France on délocalise les Allemands eux font fabriquer) mais c’est idem, on ne peut plus dans un marché ouvert fabriquer chez nous.
      Mais même si on fabrique chez nous on ne peut pas se permettre d’avoir une industrie de main d’oeuvre de masse, on serait obligé de robotiser.
      Un robot ça bouffe pas ça consomme pas ça ne paie pas d’impôts, de ce fait on ne peut pas dire qu’un robot est un créateur de valeur, c’est un fabriquant d’objets.
      D’où le travail complet d’un Anselm Jappe sur la théorie de la valeur, le monde traverse une crise de la valeur (notion assez complexe) le capitalisme ne fabrique pas par vocation, mais pour l’ARGENT !
      Car la production d’objet faite par des machines se déploie ensuite dans le corps social vivant des hommes !

       
  • #952103
    Le 2 septembre 2014 à 11:13 par Sébastien
    Olivier Delamarche sur BFM Business

    La question n’est pas de savoir si le système économique va s’effondrer, mais quand il va s’effondrer. Personne n’en sait rien, ça peut être demain, dans une semaine, dans 6 mois, dans 10 ans.

     

    Répondre à ce message

  • #952247
    Le 2 septembre 2014 à 15:11 par frederic
    Olivier Delamarche sur BFM Business

    Le marc machin là il est de la jaquette qui flotte c’est sûr !

     

    Répondre à ce message

  • #952410
    Le 2 septembre 2014 à 17:50 par sonnag
    Olivier Delamarche sur BFM Business

    " on ne donne pas a boire , a un ane qui n’a pas soif " ? phrase mythique

    a votre avis que va manigancer ce systeme sionnisto sheitaniste freres la truelle pour que le peuple, consomme,...... sorte les sousous du porte monnaie ,..... vide ses propres comptes en banque ....... achete d’importe quelle m .fabriquee a petaouchnok ........because usines qui licencient en france ..........et se retrouve + radidement a poil ?, .........avec en cadeau tube de vaseline offert par la banque : obligation de payer de gros aggios sur decouvert....

     

    Répondre à ce message

  • #952630
    Le 2 septembre 2014 à 20:25 par Jojo l’Afreux
    Olivier Delamarche sur BFM Business

    Sacré Olivier Delamarche, il n’a pas changé, c’est toujours un éternel pessimiste mais ça lui amène des clients donc ça présente un avantage.

    La zone Euro souffre de 4 maux principaux qui expliquent son atonie :
    - la concurrence frontale et déloyale avec les pays à très bas niveau de salaire imposé par les traités qui poussent beaucoup d’entrepreneurs à délocaliser pour survivre. Problème structurel !
    - le taux de change de l’Euro surévalué par la BCE "indépendante" et par rapport à l’économie de presque tous les pays de la zone qui force à dévaluer les salaires (au détriment de la consommation, principal facteur de la croissance) pour rester compétitif. Problème structurel encore !
    - le manque de liquidité (donc de crédit) circulant dans la zone sans que la BCE ai déjà accepté de réagir par un QE qui pourrait du même coup faire baisser un peu le taux directeur. Problème structurel toujours !
    - et enfin et surtout le taux de chômage catastrophique qui résulte des 3 autres facteurs et qui oblige les états à plomber leur budget pour indemniser les gens plutôt que d’augmenter les prélèvements sociaux ce qui ferait encore baisser notre compétitivité.
    Mais ces problèmes sont clairement structurels, identifiés et persistant donc voulus. La fameuse décroissance dont on nous reparle constamment, c’est quand les gens des pays développés consomment moins, ce qu’ils feront spontanément si on les appauvri en tuant la classe moyenne.

    Quand une banque centrale fait un QE, elle prête l’argent au secteur financier, aux banques, elle est structurellement obligé de faire comme ça. Les banques disposent alors d’un coefficient multiplicateur qui leur permet de prêter 9 fois les sommes empruntés et de gonfler artificiellement le volume monétaire en circulation. Problème, les banques sont privées donc elle font ce qu’elles veulent, elles peuvent spéculer avec le pognon, rester dans le virtuel ou prêter aux états (qui ont toujours besoin d’emprunter malgré le poids de la dette à cause de la structure du système), aux entreprises (qui ont des besoins d’investissement constant pour croitre et peu de dette) ou aux ménages (qui peuvent alors consommer et qui ont très peu de dette). La consommation fait 70% de la croissance, l’investissement 30%, la spéculation 0, il faut donc agir sur la consommation ou l’investissement pour renouer avec la croissance. Paradoxalement, l’augmentation des dettes est un augmentation des richesses, donc de la croissance et une diminution du chômage.

     

    Répondre à ce message

    • #953275
      Le Septembre 2014 à 12:42 par Bakounine
      Olivier Delamarche sur BFM Business

      Ce qui n’est pas dit ou oublié, c’est que le capitalisme rencontre un problème crucial qui menace sa survie, le capitalisme à cause de la technologie détruit la valeur.
      Or le capitalisme est né justement parce qu’il était un producteur de valeur.
      Il y a plus d’objets qui ont une valeur d’échange, certes, mais la valeur globale est fortement diminué
      C’est simple à comprendre le travail comporte deux faces, travail concret et travail abstrait, ce sont des notions importantes.
      Le travail abstrait c’est le temps et énergie humaine qu’il a fallu pour produire.
      Or si pour un même temps 60 minutes à l’unité d’une production je fabrique une machine qui va multiplier la production par 1000, j’aurais diminué la valeur d’autant et la production à l’unité ne sera plus que de 0.06 mn.
      La valeur se calcule depuis Aristote et Ricardo temps/travail humain le tout s’inscrivant dans socialisation de l’échange.
      La crise à débuté à la fin de la période de ce qu’on appelle les 30 glorieuses, à cette époque on a commencé à remplacer le travail humain par des machines, depuis cette époque la production d’objet est incroyablement plus grande, mais ça n’a pas créer la prospérité au contraire.

       
  • #952646
    Le 2 septembre 2014 à 20:44 par Jojo l’Afreux
    Olivier Delamarche sur BFM Business

    On s’était ému de la construction des villes-fantômes chinoises, mais honnêtement c’est un investissement en Chine qui a crée de l’emploi (donc du bétail fiscal consommateur)... A long terme c’est sans aucun doute un meilleur investissement que la dette américaine.
    Les pays émergents ont augmenté leur richesse globale et leur croissance en favorisant l’émergence d’une petite classe moyenne consommatrice et en finançant des investissements lourds dans leurs pays qui étaient sous-développé en infrastructure : des routes, des ponts, des centrales électrique et leur réseau, des réseaux de distribution des eaux, des barrages, des lignes de trains et de métro et des logements. Tout ces projets demande un investissement de départ donc un crédit, mais l’argent va essentiellement dans la consommation de matière première et dans le salaire des travailleurs qui à leur tour peuvent consommer. Pendant la phase de construction ils font baisser le taux de chômage et augmenter la consommation, après la fin de la construction, avec de la chance, l’état qui a financé peut toucher une rente et rentrer dans ses frais à long terme.

    Il n’y a pas de mystère, si l’état ne supervise plus du tout l’économie en déléguant la stratégie économique à une institution étrangère, comme la France l’a fait en déléguant son secrétariat au plan à Bruxelles où les économistes Allemands s’occupent de le gérer, vous pouvez être sur qu’on vous mènera une guerre économique qui vous ruinera dans les 20 ans sans que personne ne vous défende.
    Je vous invite à regarder ce que l’UE prévoit de financer avec l’argent des état-membres en matière d’investissement ferroviaire : ça ressemble à ce que la France à fait à son échelle national mais à l’échelle de l’Europe et avec Berlin au lieu de Paris comme noeud économique et les capitales des autres état membres clairement marginalisé au profit des zones économique qui intéressent les Allemands comme Barcelone ou Milan. Pendant ce temps, la ligne de TGV Nantes-Bordeaux et le prolongement de l’A10 qui étaient des projets utiles puisqu’il était prévu pour relier à terme le Pays Basque Espagnol et Madrid sont financés entièrement de façon bilatérale Franco-Espagnol et le projet similaire Franco-Italien Lyon-Turin se retrouve diabolisé parce qu’il relie les lignes existantes vers Paris et Rome et qu’il est concurrent du Gênes-Montpellier des Allemands financé à l’échelle de l’Europe qui marginalise les capitales étatiques.

     

    Répondre à ce message

  • #952805
    Le 2 septembre 2014 à 22:32 par vigilant
    Olivier Delamarche sur BFM Business

    Delamarche a un beau bronzage ; Eilat ou Tel Aviv ?

     

    Répondre à ce message

  • #952892
    Le 3 septembre 2014 à 00:22 par Arsaw
    Olivier Delamarche sur BFM Business

    Pour info, à partir du 1er janvier 2016 (date que la chancelière allemande souhaiterai avancer) si une banque fait faillite, elle pourra prendre légalement voler l’argent de ses épargnants pour se renflouer. (Comme ce qui a été fait illégalement à Chypre)

    Donc, il est peu probable que le système s’effondre avant cette date.

    Pour les petits épargnants qui souhaitent se protéger, il y a, à mon sens, 2 solutions :
    - La première consiste à s’endetter, au lieu d’avoir des économies, faites un crédit et acheter un appartement qui se remboursera tout seul avec le loyer. Dès 2016, il vaudra mieux avoir des dettes que des économies.

    - La seconde consiste à répartir son épargne dans plein de banques différentes plutot qu’une, sachant que les plus gros épargnant payeront en premiers. Il est plus simple de limiter les risques en procédant ainsi.

     

    Répondre à ce message

  • #953270
    Le 3 septembre 2014 à 12:37 par munos
    Olivier Delamarche sur BFM Business

    Le Brésil vient de rentrer en récession, c’est l’effet justice immanente spécial coupe du monde.

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents