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Olivier Delamarche : "Tsipras, un politique sans testicules et sans cerveau"

 

 

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Partie 1 : La situation économique en Grèce va-t-elle finir par s’améliorer ?

 

Partie 2 : la situation des marchés boursiers internationaux

 






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22 Commentaires

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  • #1232663
    Le 20 juillet 2015 à 21:41 par borussia1871
    Olivier Delamarche : "Tsipras, un politique sans testicules et sans (...)

    Et dire que beaucoup croyaient que c’était un héros, un combattant de la résistance. Rien de bon ne vient jamais de l’extrême gauche. Des pleutres devant le capital.

     

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  • #1232681

    Que Tsipras aille se faire voir chez..... lui !

     

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  • #1232715

    "Un politique qui a des testicules, cela n’existe pas".
    " On ne l’a pas menacé de mort... Je suppose. Peut-être !"

     

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  • #1232727

    "Il a pas été menacé de mort ? Quoi que peut-être..."
    C’est la 1ère chose à laquelle j’ai pensé.

     

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    • #1232817

      Un politique qui en avait, c’est incontestablement Chavez, assassiné d’une manière "moderne"en lui refilant un cancer foudroyant comme tout les opposants au système alors que les Rockfeller, Rostchild, Kissinger et compagnie flirtent allègrement avec un siècle d’âge . En revanche les opposants au NOM ( la présidente d’argentine et d’autres )attrapent des cancers comme on attrape un rhume.

       
    • #1232929

      Complètement facile a dire "sans testicules ni cerveau". Un petit empoisonnement au polonium est si vite arrivé ...

       
  • #1232795
    Le 21 juillet 2015 à 03:44 par Francois Desvignes
    Olivier Delamarche : "Tsipras, un politique sans testicules et sans (...)

    J’aime bien la définition du personnel politique par OD : "Des sans couilles et sans cerveau"

    Maintenant, on va les appeler les Sans-couilles

    Les SC ont décidé à la majorité des voix exprimées à l’AN leur refus de baisser leur traitement de 20% pendant que le peuple crève de faim.

    OD Président !

     

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  • #1232933

    Il me semble qu’à l’élection de Tsipras , bhl ne s’inquiètait pas trop, on en a la confirmation maintenant . Tout ça c’est du théâtre , Tsipras est comme Mélenchon un type qui se prétend de la gauche radicale mais qui est un membre du système infiltré. C’est pas de la lâcheté mais une manipulation parfaitement planifiée dans le but que le peuple paye la dette et ferme sa gueule.

     

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  • #1233043

    Erreur : il a bel et bien des couilles et il a un cerveau. Il n’a pas de coeur, c’est autre chose. Il a des couilles pour enculer le peuple et comment. Un politicien médiocre et sans couilles n’aurait jamais osé faire de référendum. Tsipras est un maître du viol des foules : la foule en rage c’est comme une femme frustrée et plus on la viole plus elle éprouve des orgasmes et en redemande. C’est effectivement un vrai populiste et un vrai démagogue dans le sens aristophanien du terme.

    Il a aussi et surtout un cerveau. Un politicien sans tête aurait cafouillé sous de telles pressions et se serait fait vite assassiner. C’est essentiellement un petit malin : toute son oeuvre qui se déroule sous nos yeux est trop bien orchestrée pour ne pas avoir été préméditée, et ce en faisant appel aux arcanes de la "sagesse" athénienne (ruse serait un terme mieux approprié). C’est un peu comme un Hercule qui a voulu accéder à l’Olympe Européen et qui a dû faire ses preuves devant l’aréopage de l’Eurogroupe avant que d’être consacré par les médias mondiaux en tant que demi-dieu d’un peuple d’enfants qui ne mérite pas la souveraineté.

    Ne vous faites aucune illusion : les divinités olympiennes ne furent jamais des êtres de compassion pour les humains et aujourd’hui elles se manifestent à eux sous les espèces des sociétés transnationales, que l’on peut invoquer en tant qu’esprits très exactement de la même manière qu’autrefois par leurs logos et leurs slogans.

    Le Parthénon qu’on voudrait restaurer était très essentiellement une banque privée, une trésorerie qui prêtait à intérêt à la ville, aux hommes politiques, et aux entrepreneurs en piraterie pas seulement des richesses monétaires mais aussi des femmes.

    Athéna était essentiellement la divinité de la ruse (métis sophia, art de voir sans être vu symbolisé aussi par le hibou) et des coups tordus (techné), ne projetez surtout pas de virginité chrétienne sur elle, si vous voulez vous faire un juste idée de qui elle est, considérez Margaret Thatcher qui l’invoqua tous les jours effectivement pour l’émuler dans le cadre de son néo-paganisme. Et de fait la ville d’Athènes ancienne, même si elle se targua d’avoir vaincu les Perses (comme aujourd’hui Kammenos se targue de haïr le Musulman jusqu’à se jumeler avec Israël), fut surtout experte par la suite à vendre la Grèce à tout empire occidental allant passant en échange d’éphèbes et de leçons de rhétorique.

     

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  • #1233057

    J’adore le franc parler d’Olivier Delamarche qui laisse les autres sans voix, ça change du blabla habituel et remet les pendules à l’heure qui est ,justement très grave, mais comme c’est le mois de juillet, tout le monde s’en fout, quant à notre président, c’est le Roi du monde,non ?

     

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  • #1233089
    Le 21 juillet 2015 à 17:50 par nicolasjaisson
    Olivier Delamarche : "Tsipras, un politique sans testicules et sans (...)

    Il faut quand même mettre à la décharge de Tsipras que ni la Russie ni la Chine n’étaient favorables au Grexit. A chaque fois que les Grecs ont mis en vente des actifs publics, les Russes ont exigé en contrepartie du rachat de parts, un droit de regard dans la gestion, ce qui supposait des vagues de licenciements. Les partenaires sociaux s’y sont fermement opposés à cause du rôle social joué par le secteur public en Grèce. Résultat : ni les Chinois, ni les Russes n’ont jamais mis les pieds en Grèce. Les appels du pied à Poutine pour obtenir de l’argent frais, se sont heurtés à des fins de non recevoir et ce d’autant plus que les Russes courent toujours après les Ukrainiens pour obtenir le remboursement des prêts octroyés à Yanukovitch. Idem pour les Chinois qui ne sont jamais allés au-delà du rachat de quelques infrastructures logistiques dans le port du Pirée. Donc Tsipras s’est présenté "à poil" devant ses créanciers européens, le secours des BRICS ne s’étant pas concrétisé. Pourtant ce n’est pas faute d’avoir attendu la cavalerie. Même un prêt de un milliard de dollars a été refusé par Poutine lors du sommet des investisseurs de St petersbourg (cf. http://russia-insider.com/en/politi...). Car le tout n’est pas de proclamer son indépendance, mais d’assurer le redressement national. Or dans le contexte de la globalisation et de l’intégration des échanges, il vaut mieux avoir les investisseurs de son côté. Autrement la Grèce deviendra le Venezuela européen. Même la Chine ne peut se passer des capitaux occidentaux. Elle émet ses obligations en dollars US et elle est sommée de libéraliser ses marchés de capitaux pour que le yuan devienne une monnaie de réserve reconnue par le FMI et la Banque Mondiale. Comme chacun a pu le constater avec la déroute boursière de la semaine dernière, la chose ne va pas de soi, surtout quand le parti communiste veut conserver le contrôle total des flux de capitaux. A fortiori pour la Grèce, qui a du mal à envisager son avenir hors de la communauté internationale. Tsipras n’est pas encore prêt à jouer la carte de l’autarcie en dénonçant tous les accords liant la capacité de décision du gouvernement grec (OMC, UE, TAP, TPP, etc) aux diktats de la réglementation internationale. Le plan B de Varoufakis consistant à émettre des IOU nationaux en euros pour faire face aux dépenses de l’Etat n’était pas suffisamment convaincant. Là on ne peut que le comprendre.

     

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  • #1233878

    Si ca peut aider : ajoutez un autoStart=false dans l’embed des vidéos pour éviter le lancement automatique. Il est à false par défaut mais peut-être que l’ "erreur technique" de BFM vient de là.

     

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