« Dis Delachet (le gardien des Girondins de Bordeaux dans les années 80) montre-nous tes fesses, dis Delachet montre-nous ton cul », « Oh hisse enculé » (pendant un dégagement en 6 mètres du gardien adverse), « Aux chiottes l’arbitre », voilà les horreurs que chantaient les supporters du PSG du Kop Boulogne (et aussi Auteuil mais nous on était tribune Boulogne, en rouge, puis en bleu, puis en jaune – moins risqué – à cause des nervis de Batskin qui faisaient monter la tension). Les tribunes populaires, comme leur nom l’indique, étaient un des derniers endroits où l’on pouvait fumer, boire, gueuler et insulter les riches ou les adversaires. Cette liberté, quoi qu’en pensent les soi-disant intellectuels anti-beaufs ou anti-foot, se réduit comme la peau de Balzac de jour en jour.
Un jour, tout sera interdit : le « droit » féministe s’insinue dans les jeux du cirque masculin, où il n’a rien à faire. C’est comme si on créait un droit de l’amour qui punirait celui qui n’aime plus sa femme ou qui en aime une autre : aucun sens, une absurdité totale. Il est des domaines de liberté où le droit ne peut se glisser sans tout foutre par terre. Une femme réclame des tartes au lit ? Elle aime les mots crus ? Interdit, amende. Les sionistes avec leur droit communautaire ont foutu la liberté d’expression en l’air, et maintenant le droit féministe vient traquer les hommes là où sont bien entre eux, là où beaucoup échappent à leur femme. Une entreprise tout à fait schiappesque qui impose des lois là où justement on allait pour respirer.
On va rappeler (encore) pourquoi "Enculé !" et "La Ligue, on t'encule !" c'est homophobe.
Le mot est utilisé avec l'intention d'injurier et de dégrader en rabaissant la personne au statut (honteux selon certains) des hommes sodomisés, c-à-d homos consentants ou victimes de viol. https://t.co/KjSCP36NGJ
— Aymeric Parthonnaud (@P_Aymeric) 25 août 2019
Le problème n’est pas le droit, mais qui régit et qui exploite (en général les mêmes) ce droit privé devenu sournoisement public. Dans la droite ligne de la prise du pouvoir par les sionistes en France, le féminisme étend son pouvoir à la fois absurde et liberticide. Ces deux entités avancent de concert et détruisent chaque jour des arbres dans la forêt des libertés. Le poumon vert social est en train de souffrir. Ceux qui résistent à cette avancée de ce totalitarisme destructeur sont accusés d’antisémitisme et de sexisme, c’est plus facile comme ça. Les Indiens chassés de la forêt amazonienne sont des barbares, c’est bien connu ! La dictature est devenue le Bien et la résistance, le parti de la liberté, est devenue le Mal.
Illustrons la dictature du Bien avec l’hystérique Zohra Bitan [1] qui s’exprime chez Patrick Drahi :
Grâce à ces malades catégoriels, un match de foot pourra être arrêté pour un « oh hisse enculé », alors que le « enculé » ici n’a pas pour synonyme « oh hisse sale homosexuel » mais « oh hisse gardien de l’équipe adverse qu’on tente de déstabiliser ». Et naturellement, sur le modèle profondément pervers de SOS Racisme, ces nouvelles lois censées protéger les juifs, les femmes et les homos vont se retourner contre eux car toute vanne antisémite, toute vanne sexiste ou homophobe va s’entourer d’un parfum d’interdit qui deviendra rapidement épidémique. Le goût de la liberté est plus fort que tout ! L’interdit nuisible socialement – car l’interdit de l’inceste ou de la pédophilie est une protection pour la collectivité –, comme chacun sait, après une phase de crainte religieuse puis de calcul humain, provoque une réaction naturelle contraire à l’effet désiré.
« La Ligue, la Ligue, on t’encule ! »
En termes simples, cela donne : les communautés minoritaires qui imposent leur propre droit devront faire face à des attaques au carré. Et pour le coup, elles risquent de n’être pas que fantasmées. Des départs de feux surgiront ici et là, réprimés durement au départ, puis se multiplieront, feront leur jonction et alors, l’incendie sera inextinguible. Ce n’est qu’une question de temps.
Tout ça pour avoir criminalisé un « oh hisse enculé » dans un stade qui ne choquait personne, sauf les quelques homos dans les vestiaires… que personne dans le milieu n’a jamais outées. Eh oui, il y a un respect, du moins il y avait. Car la donne va changer : on ne sait jamais ce qui sort d’un système qui fonctionnait et qu’on déséquilibre… « Oh hisse enculé » fait semblant de choquer les lobbyistes des minorités qui cherchent à étendre leur pouvoir et leurs subventions victimaires, toutes payées rubis sur l’ongle par la communauté des salopards antisémites, sexistes et homophobes, on le souligne. C’est le grand paradoxe de ce pays très mal embarqué par ses dirigeants et leurs influenceurs.
Le peuple français, décrété antisémite, sexiste et homophobe, paye double tribut : non seulement il est méprisé, mais en plus il est extorqué. L’histoire nous a montré que les usurpateurs de la démocratie finissaient, dans le meilleur des cas, chassés manu militari de leur fauteuil totalitaire. La parenthèse maccarthyste française n’est pas terminée, on n’a pas encore atteint le sommet de l’Absurdité communariste, mais on approche de la fin, la fin d’un certain monde...